Nous avons choisi de faire découvrir aux visiteurs du jardin urbain du Pébrier différents types de menthes !
Le jardin n’est pas conséquent mais depuis qu’il est référencé sur GOOGLE MAP, on voit de plus en plus de visiteurs passer en famille le dimanche en ballade digestive !
Le côté ludique de placer quelques menthes permettra de créer un peu d’étonnement.
On trouve les menthes dans les bacs hauts en fibres placés dans la longueur du terrain (bacs F1 à F5) : Menthe Pomme (F1), Menthe Fraise (F2), Menthe Ananas (F3), Menthe Chocolat (F4), Menthe Citron (F5).
Les menthes étant relativement onéreuses à l’achat : 5€30 l’unité. Nous avons fait le choix d’attendre 3 semaines avant les mettre en terre en gardant les pots a moitié enseveli dans de la terre. Le système racinaire est alors sorti des pots en empruntant les trous de drainage… Nous avons ensuite divisé la motte en deux afin de placer une moitié au jardin urbain et une autre moitié au jardin de DZprod en vu de produire d’autres menthes par multiplication (en laissant les menthes tracer au sol) :
Les semences colorées et la boîte présentant un semoir intégré font la spécificité d’Algoflash ! Nous testons ici des semences pour un gazon spécial terrain sec et ensoleillé.
S’il a fallu prendre beaucoup de temps pour enlever les adventices, les cailloux, les racines… et faire propre le terrain… le semis a été un jeux d’enfant !
Le but recréer un gazon sur une parcelle de terrain envahie par du chiendent !
Super satisfait de ses semences, j’en ai fait une vidéo :
Bref, que des avantages pour ces semences de gazon spécial terrain sec !
J’adore une assiette décorée d’une salade fraîche du jour.
On peut jouer sur la couleur en ajoutant des tomates, quelques fils de carottes rappées, etc…
On peut jouer sur la texture : salade craquante, petits cornichons en saumure du jardin…
Plus rare : jouer sur le goût de la verdure. Là, les industriels nous ont facilité la vie en proposant des salades composées en sachet sous atmosphère azotée… En ce qui me concerne : mon jardin me le rend bien !
J’adore les épinards frais : quelques feuilles agrémentent mes salades d’hiver et de printemps.
Cet article est la preuve qu’un plant de poivron peut être conservé plusieurs années.
La culture du poivrons est difficile :
semis tardif ou dès mars sous mini-serre chauffée, ou
achat en godet + cloche de forçage (Modul’O 35), en Avril, ou
semis directement en place, en mai… (+ cloche),
Préparation de la terre (compost) + Arrosage contrôlé + paillage…
tuteurage car la plante est fragile et cassante sous le poids des fruits.
Néanmoins, en automne j’ai fait l’expérience concluante de repiquer des poivrons sous serre froide (en ayant profiter d’un hiver assez doux en 2016/2017). L’année suivante de la plantation, j’ai eu un rendement nettement supérieur ! Il fallait donc que je raconte tout cela en image avec une petite vidéo comme preuve par l’image !
fin Novembre, début décembre 2016 : transplantation de trois pieds de poivrons dans la serre froide, (deux mois après, on arrache un pied devenu tout secos, un autre semble souffrir de stress hydrique mais on le garde quand même car on a la place dans la serre). On réalise un bon paillage de l’ensemble de la serre (25cm),
Printemps et été 2017, les poivrons ont soufferts des grosses chaleurs et ne produise que peu de fleurs,
En automne 2017, fort grossissement des fruits (une quinzaine sur le pieds) (de septembre à janvier on cueille 1 poivron par semaine pour agrémenter les salades, soit une vingtaine de poivrons). Ainsi, on rajoute des tuteurs car les branches ploient sous le poids des fruits…
Au 23/03/2019 : Les derniers poivrons de la saison 2018 sont consommés : On en revient pas, les plants, à un mois près, ont presque 3 ans !
Si je devait réitéré l’expérience, je procèderai à la transplantation sous serre fin septembre / début Novembre en réduisant le feuillage de moitié pour que l’énergie de la plante aille à l’enracinement et que l’évapotranspiration soit sous serre relativement réduite…
J’essaie d’éviter d’avoir des chats dans le jardin potager… mais ma femme les invite !
En effet, j’observe les chats (les 3 nôtres et leurs potes du quartier !) tantôt chercher une couche pour la farniente au soleil, tantôt creuser un cabinet de toilette improvisé, tantôt organiser un terrain de chasse pourtant en “propriété privé”, en plein milieu d’un rang de semis fraîchement aligné au cordeau…
Lutter contre les ravages des chats, j’y ai réfléchie longuement et tenter bien des choses afin de inciter à aller “jouer ailleurs”.
Ma femme (qui sera une dame aux chats pour sure sur ces vieux jours) a finalement opté pour une solution ma fois diamétralement opposée et dont j’étais à mille lieux de penser : Plutôt que de les chasser, attirons les ailleurs !!!!
La solution : Vous la trouverez à BOTANIC, à gauche de la cabane des pépiniéristes au niveau des plantes vivaces en godets.
NÉPÉTA : ce n’est pas le nom de notre dernière chatte mais celui d’une vivace que l’on appelle herbe aux chats !
Cette herbe attire les chats et pour ceux qui possède le gène récessif “cannabique” : ils deviennent fada au contact de cette plante entre autre florifère, aromatique et mellifère !
Idéale en association avec des œillets, gypsophiles nains et millepertuis, elle s’utilise en massifs.
Distance de plantation : 50cm.
Nota bene pour Madame qui en fera l’entretien : Chaque printemps, au démarrage de la végétation, enrichir le sol en surface avec du compost ou du fumier. Arroser régulièrement la première année de plantation. Rabattre légèrement après floraison pour densifier la plante et également au printemps.
Pour en savoir plus sur les plantes “herbes aux chats” qui rendent les chats tout foufou (lien Wikipédia)
Les chats font le buzz sur le net… alors vous aimerez certainement ces ARTICLES CONNEXES concernant les chats aux jardins de DZprod :
Conseil pour la conservation d’une récolte d’oignons au jardin potager biologique.
La lactofermentation est la solution idéale pour avoir des oignons toute l’année !
Les avantages :
pas besoin de surveiller la récolte car pas de “pourrissement”,
alors que les bulbes mis en cave se conservent entre 3 et 6 mois, une lactofermentation peut attendre gentiment plus d’un an ! On couvre ainsi, ses besoins en oignons pour l’année !!!
on ne pleure qu’une fois (lors de la préparation de la mise ne lactofermentation), ensuite on dispose des oignons déjà découpés,
on n’encombre pas son congélateur et on évite ainsi la transmission de l’odeur d’oignon au reste des aliments congelés !!!
on augmente les propriétés nutritionnelles par la lactofermentation…
on consomme l’intégralité de la récolte sans jeter aucun oignons (pas de pourrissement), donc en plus de la quiétude de ne pas surveiller son panier d’oignons mis en cave… on est certain de consommer l’intégralité de sa récolte !!!
L’achat d’un pot de basilic en grande surface, au marché ou en jardinerie spécialisé, ne coute que 2 à 3€.
Bien des personnes ne profitent de cette aromate que 2 à 3 semaines….avant de voir le basilic péricliter et mourir…
Ils ne cueillent le basilic que si besoin. Ils laissent le pot tel qu’ils l’ont trouvé dans les étals. Bien souvent, les gens disposent le pot à l’intérieur de la maison mais trop exposé au soleil (les feuillent se recroquevillent et les tiges se plient). D’autres les gardent trop à l’ombre (les tiges s’allongent et le feuillage ne se développe que peu : vert foncé, il devient vert clair).
Ces gens trouvent naturel que le pot ne perdure que 2 à 3 semaines… et pourtant… un pied de basilic bien conduit vous donne des feuilles en quantité et cela pour toute la saison estivale !
Comment faire pour un rendement de fou à partir de votre achat d’un pot de basilic du commerce :
Après l’achat, observez que le pot contient non pas un seul pied de basilic mais une multitude. Faite une première récolte en coupant toutes les tiges au dessus du troisième ou quatrième étage. Bien souvent cela équivaut à réduire les tiges de plus de la moitié de la motte !
Si vous avez une terrine, un bac ou des pots vacants, de la terre du jardin, du terreau ou une jardinière non encore utilisée vous allez rentabilisé votre achat pour sur !!!
Casser la motte et séparez délicatement les plants de basilic pour les transplanter dans vos contenants !
Il faut faire cela à l’ombre par temps frais car les racines sont hyper fragile. Il faudra ensuite garder les transplants à mi-ombre et pas en plein cagnard !… et surveiller l’arrosage.
Il faudra être patient un bon mois pour pouvoir de nouveau profiter de votre basilic et pouvoir à nouveau prélever de quoi agrémenter salades de tomate ou autre… et si lors de la première récolte vous avez pensé à congeler votre basilic vous ne manquerez de rien pendant ce temps d’attente….
Vous allez observez que les tiges que vous avez réduites vont engendrer 2 rameaux. D’une seule tige principale, on obtient maintenant deux tiges ! On observera dans le temps que ces deux tiges vont s’étoffer… et on coupera de nouveau ces tiges au dessus du troisième étage lorsque ces nouvelles tiges proposeront au moins une dizaine d’étage.
2 à 3 semaines plus tard, on obtient un plant qui s’est renforcé avec, une tige principale, deux tiges secondaires et sur chacune encore 2 tiges tertiaires !!!
Idem, on coupera les tiges tertiaires au dessus du troisième étages lorsque celles ci auront produite une dizaine d’étage…
On note que réduire ainsi le pied de basilic empêche la production de fleurs et donc la montée en graine…. C’est intéressant car seules les feuilles sont destinées à la cuisine….
On conclut donc que si on ne fait rien, on obtient en 2 mois, un basilic tout chétif et qui est montée en graine.
Réduire les plants la première fois, va privilégier le système racinaire à se développer. Les plants seront plus vigoureux.
Si pas de transplantation après achat, les plants meurent tous très vite (trop serrés, le système racinaire comme le système foliaire se gênent entre-eux et entre en compétition).
Au bout de 2 mois après la transplantation, on obtient des plants de basilic bien touffus et volumineux. Chaque plant est alors aussi volumineux que le pot initialement acheté (contenant une multitude de basilic qui étaient en compétition dans ce “petit pot”)
cornichon culture semis grillage récolte bocaux lactofermentation un titre qu’avec des mots clefs pour ne pas dire : la culture du cornichon, de la graine à l’assiette !
L’unique plant va donner des récoltes tout les 3 / 4 jours : une poignée de cornichon qu’il est facile de mettre en bocaux, grâce à la lactofermentation (eau + sel à raison de 30g/l).
Le rendement d’un seul pied de cornichon : 3 bocaux par semaine !
Le seul hic est de voir une branche partir à travers le grillage et proposer ses fruits du côté du voisin… mais comme les récoltes se font presque journalièrement, il est facile de rectifier la trajectoire des ramifications portant les fruits…
La culture des cornichons est une culture sympa, ludique et les enfants du voisinage sont curieux de voir la plante grandir. Les fruits grandissent vite : un cornichon peut tripler de volume en 1 jour : c’est étonnant !
Pour obtenir d’autres cornichons, il faut veiller à récolter des cornichons de taille moyenne, sans les laisser trop grossir car cela freine la pousse et la fertilisation des fleurs en bout de ramifications
Cet article donne des astuces pour la récolte des graines de coriandre.
C’est la suite logique de l’article sur la coriandre. La feuille a été utilisée, ciselée sur des préparations culinaire ou garder surgelée pour être utilisée toute l’année. La plante sèche ensuite sur pied pour offrir enfin des graines que l’on se doit d’utiliser à deux fins : condimentaire (culinaire) et semis (jardin aromatique).
Astuce n°1 pour la récolte : Utiliser deux seaux de grande capacité. Le premier sert lors de la récolte. On le place sous la plante sèche qui offre ses ombelles de graines (dès fin juin). L’autre s’utilise pour nettoyer les graines des peluches et des petits branchages lors de la récolte.
Une image puis une vidéo pour illustrer le tout :
Astuce n°2 : Nettoyage après récolte Comment se débarrasser efficacement des petits branchages et poussières tombés dans le seau de récolte… On utilise le vent. Un peu comme on le faisait dans le temps pour nettoyer le blé de son écorce (en utilisant un VAN, un panier en osier…). Cette action s’appelle le VANNAGE (vannage. Séparation des grains battus de leur balle et de leurs impuretés, soit en les lançant en l’air avec une pelle, soit en les secouant dans un van).
Moi, j’utilise ce que j’ai sous la main : 2 seaux un peu profonds. La profondeur importe pour ne pas perdre trop de grains lors du vannage.
Ne pas vanner bien sur lors de forts vents. Une légère brise suffit, vous vous en rendrez compte….
Process : il suffit de faire transiter la récolte d’un seau à l’autre en laissant un demi-mètre entre le seau du haut qui laisse tomber les graines dans le seau du bas. Le vent va gerber les parties fines, poussières, petits branchages réduits en poudre par le frottement entre les mains…
Une technique comme au bon vieux temps que l’on peut actualiser : Utiliser un sèche-cheveux ou encore le soufflant du desherbeur thermique électrique de chez BERTHOUD !
La vidéo ci-dessous est un petit clin d’œil pour un usage détourné du desherbeur BERTHOUD :