Achat fin septembre d’un seau de 5,5l de mélange de graine.
20% Vicia Sativa Omiros, (Vesce commune d’hiver). C’est une plante grimpante à la base !!!
20% Medicago Sativa Plato, (Luzerne Alfalfa) (tien tien : javais déjà essayer les graines à germer… c’est de la luzerne ) Grande résistance à la sécheresse et leur richesse en protéines (TB en plante fourragère pour la production de lait)! Wikipédia Luzerne
Je me suis cassé la citrouille pour avoir de belles courges mais cet été 2020 entre sècheresse et manque de pollinisateur, la récolte a a été relative… Même si quantitativement, ce n’est pas ça… je suis fier de ma récolte !
Ichiki kuri, potimarron, courge butternut, citrouille et courge longue de Nice… avec la sècheresse de cet été 2020 la récolte est relative… mais elle fait cependant plaisir : à l’œil, ça le fait non ?
Si vous voulez manger quelques fraises dans votre petit jardin, 3 ou 4 plants de fraisiers ne suffiront pas… Mais en jardinerie la barquette de fraisiers n’est pas donnée !Laissez faire le temps en multipliant vos plants par STOLON..
Dans la vidéo ci-dessous, on donne l’astuce d’ancrer au sol les nouveaux petits plants issus du pied mère par un bout de fil métallique….Ne pas planter trop serrés les plants mères pour laisser les stolons tracer au sol à leur guise… 1 mètre en chaque pied mère… c’est bien…
Au bout de 2 ou 3 ans : On peut repenser sa culture de fraise en transplantant l’ensemble de ses fraisiers dans une bande dédiée avec FILM DE PAILLAGE SPÉCIAL FRAISE avec TUYAU MICROPOREUX ou GOUTTE à GOUTTE… là on aura une vraie production !
Le but était de ré-employer des panneaux de bois de récup mais aussi d’offrir un socle de culture pour des cuves de 1000l fissurées (tonnes à eau devenues hors-services) en les ré-employant également en cloche de forçage : La cage métallique servira de structure pour la culture verticale de plantes potagères grimpantes (cornichons, potimarrons, haricots grimpants… et la fameuse Milpa !
On retient l’intérêt de construire des bacs de culture avec des panneaux 3 couches (3 couches de bois massif collées et tournées à 90°, ce qui permet d’obtenir un effet de blocage sans déformation des panneaux dans le futur !)
L’intérieur du bac est composé :
d’un lit de bois en putréfaction (récup d’un voisin qui avait depuis 10 ans un tas de bûches non couvert et qui n’utilise plus sa cheminée) : merci Monsieur Lambotte !
un voile de géotextile qui protège le pourtour du bac (c’est le seul investissement : coût 4€ pour ce bac.
D’après une idée originale et une réalisation
de David Zicola (DavidZ de DZprod Jardin) pour l’association
la J.A.R.R.E Écocitoyenne de Rochefort du Gard.
www.lajarre.fr
association@lajarre.fr
En plus de produire de superbe courge un peu courbée (“violons de Nice”), la culture de cette variété de courge permet une conservation longue. Pour mon premier essai, nous avons obtenu avec Antoine, une belle courge de près de 4kg (Jardin partagé du LouCascarelet, Bande A, Les trois sœurs).
Ne sachant rien de cette courge lors du semis, j’en ai récolté une jeune de 30cm… elle était succulente, la peau fine pouvant se consommer aisément.
Sur le sachet de graine, on pouvait lire : Peu se consommer jeune comme une courgette ou on peut la laisser pousser… elle peut faire alors jusqu’à 1 mètre de long… et une dizaine de Kilos !!! J’en ai donc laisser pousser une. La peau devient épaisse et du vert passe à une belle couleur brune. Je l’ai gardée sur le buffet un bon trimestre… elle n’a pas bougée.
Par hasard, j’apprends en regardant un reportage (ci-dessous), que la courge longue de Nice entre dans la préparation des 13 desserts de Noël, en remplacement de la pompe à huile, la pogne ou les bugnes : c’est une spécialité de la région de Grasse. (voir l’article à ce sujet)
J’essaie alors ma recette que j’adapte à souhait : La pulpe obtenue par pressage dans un tamis avec une maryse, n’a donné que peu de volume…. juste de quoi préparer l’équivalent de 2 appareils à tarte.
J’ai choisi de mixer un appareil Amandine (beurre-sucre-poudre d’amande) à cette pulpe en délayant une brique de 200ml de crème épaisse 30%.
Super résultat… d’où l’idée : 1) Produire cette courge au jardin communautaire des Amariniers… 2) Présenter cette recette lors du marché de Noël 2019 au stand de l’association la JARRE Écocitoyenne dont je suis le confiturier attitré !
Idée pour Octobre/Novembre et décembre 2019 : (à préparer pour le marché de noël)
Un article pour garder en mémoire la réussite des cultures de cucurbitacées de cette saison 2018 :
Potimarron ICHIKI KURI, (bande C, jardin du Loucascarelet)
Mini courge “Jack be little”, (bac Edika portail, jardin de DZprod),
Potiron Atlantic GIANT, (jardin urbain du Pébrier),
Courge longue de Nice, de la MILPA (bande A, jardin du Loucascarelet),
Courgettes de toutes nominations (maraîchère, ronde, italienne, etc…)
La grosse découverte : le potimarron ICHIKI KURI ! Il est productif et a un petit goût de châtaigne. Avec le premier de ses 9 fruits j’en ai fait un velouté étonnant. (2/3 de potimarron, 1/3 pomme de terre, une brique de crême de coco : voir le détail de la recette du velouté de potimarron à la crème de coco).
Cliquer sur l’image de la galerie pour découvrir les plus surprenante de mes découvertes de cucurbitacées cette année 2018 :
Afin d’éviter l’hybridation des cucurbitacées entre elles, j’ai procédé à une fécondation manuelle dans le but de produire des semences Bio !!! Le but : avoir des graines à proposer aux membres de l’association la JARRE Écocitoyenne pour le jardin communautaire de 5000m² qui va s’ouvrir, un 500m du centre du Village de Rochefort du Gard.
Mon premier sentiment : un plant unique d’aubergine à 6.95€ le pied, ça fait pas un peu chérot ça ?… 3 mois après la mise en terre, mon sentiment est apaisé par une récolte abondante d’aubergine.
Conseil : Puisque le plant est F1, il est inutile de laisser les fruits sur le pieds afin de produire de la graine. Mieux vaut-il les cueillir tôt, quitte à ce qu’elle ne deviennent pas énorme : on aura moins de graines et ce sera plus facile pour d’une part travailler l’aubergine côté cuisine, et en bouche c’est plus agréable. Je pense également que les cueillir jeunes, permet aux autres aubergines laissées sur le pieds de s’ épanouir d’avantage. Ce n’est qu’une supposition…
En tout plus d’une quinzaine d’aubergine a été cueillies ! On s’y retrouve donc pour 6.95€, on a environ 5kg d’aubergine BIO, produite avec un impact carbone relativement bas (pas de transport et la fraîcheur en plus).
AGRÉABLEMENT SURPRIS pour un premier essai d’aubergine au jardin : Le plant résiste aux grands vents à comparer aux autres végétaux. De plus, une fois en production et chargées de fruits, les branches ne se cassent pas sous le poids des fruits. Mieux vaut-il quand mème lui proposer quelques tuteurs…
Du coup j’ai fait une petite vidéo pour garder en mémoire cette réussite au jardin :
Utilisation :
en rondelle + huile d’olive au pinceau (au four) : on laisse refroidir puis on dispose les rondelle en canapé sur de la mie de pain + fromage etc..
en ratatouille (cuire séparément à la poêle) dans un fond d’huile d’olive, puis essorer sur du papier absorbant.
farcies (au four)
en caviar ! le fameux caviar d’aubergine !
en soupe (je viens d’essayer une recette de soupe tibétaine : c’est pas mal du tout !) (aubergine, lentille corail, lait de coco, curry)
NB : Si on en a trop d’un coup, les aubergine se conservent super en lactofermentation (savoir faire, recette, etc… voir avec l’association “du jardin à l’assiette” : La JARRE Écocitoyenne 09.52.17.44.69)
Plant greffé aubergine ronde F1 – botanic® – dzprod jardin
Le jardin devient de plus en plus grand, les surplus de production sont généralement donnés aux voisins et amis. Si on a le temps on fait ses propres conserves, on congèle ou on prépare de succulente lactofermentations (le top à faire).
Concernant les courgettes, c’est délicat. La forte teneur en eau rend la congélation/décongélation pas terrible : mieux vaut les cuisiner… et congeler ensuite.
En conserve (bocaux + bouilloire), il faut oublier… elles deviennent toute flagada et prennent un aspect peu ragoutant. De plus on perd toutes les vitamines et la plupart des minéraux…
On peut rapper les courgettes et préparer des lactofermentions mais la consistance est pour moi peu appétante… cependant cela reste une bonne solution (rapide et zéro carbone dépensé) si on veut garder de quoi préparer des soupes froides dans le futur (ou soupe chaude mais on va perdre alors une partie des bénéfices vitaminiques).
Réflexion autour d’une récolte peu abondante., au jardin partagé du Loucascarelet, avec une variété de fève “Fève de Sèville“, alors qu’auparavant nous étions fier de nos production avec une variété “Aguadulce“.
Cette année, les gousses sont peu abondantes, flétries, sans grains ?
La rotation des cultures n’a pas été respectée… du 10/2016 à mars 2017, on avait fait une culture de fève Aguadulce, puis ensuite des patates et des tomates (des solenacées propices au attaque du Mildiou) de fin mai 2017 à fin septembre 2017. Puis après un gros travail (engrais vert, amendement et mulch) on a retenté une culture de fève… On aurait pas du.
La variété Sèville ? C’est mon premier essai avec cette variété.
Trop d’eau (mois d’avril, mai record super pluvieux),
effet majeur de températures supérieures à 25°C avant Début
Floraison est une réduction du nombre final d’étages reproducteurs, (cf Pdf page : 9),
Mildiou présent (cf gousse desséchées), et je n’ai fait aucun traitement à la bouillie Bordelaise (ou purin d’ortie)…
plants trop serrés (5cm, à la place de 10/15cm) ?
stress hydrique car les gousses étaient présentes en bas du plant et non réparties sur toute la hauteur (c’est typique d’un stress hydrique par manque d’eau,
Maladie : ascochytose (p50 du Pdf) ou botrytis (cf P25 !)