Description de la variété : Variété condimentaire et aromatique. Plante à feuillage fin. Plus compact que le cerfeuil commun. Sa saveur est équivalente (au goût légérement anisé). Utilisé en cuisine pour relever la saveur des mets.
Conseils et mode de culture : Apprécie tout type de sol. Exposition chaude : printemps, automne, hiver. Exposition au Nord en été (pour un peu plus de fraîcheur : dans le bac Eychenne se serait parfait…). Arroser régulièrement.
Semis : De novembre à février sous abri. De fin mars à octobre en pleine terre, en lignes espacées de 20 cm ou à la volée. Renouveler le semis tous les 15 jours.
Nombre de jours pour la levée : 14 à 18 jours.
Date de récolte : A partir de décembre, environ 6 mois après le semis ! (j’y suis arrivé au bout de 4 mois mais le cerfeuil avait séjourné les premiers mois (en hiver) sous serre.
Cliquer sur l’image ci-contre et noter la sauterelle qui se confond dans son environnement !
Cerfeuil Bac Bain de Soleil saison 2014 :
Le cerfeuil dans le Bac “Bain de Soleil” en 2014 n’a mis que 6 mois pour passer de la forme de “graine pour semis” à “en fleur pour la graine”. Entre temps deux récoltes de feuilles ont été faites (une en vue de congélation, l’autre en usage quotidien en cuisine et condimentaire salades)
Description de la variété : Variété condimentaire et Aromatique. Plante parfumée au feuillage vert et lisse. Peut-être cultivée en pots ou jardinière, sur terrasses et balcons.
Conseils et mode de culture : Apprécie tout type de sol. Exposition mi-ombragée (le bac Eychenne lui irait bien !!!) Maintenir le sol propre et frais.
Semis : De février à Septembre directement en pleine terre. Tremper les graines dans l’eau 24 heures avant le semis (pour vite faire sortir les graine de leur phase de dormance).
Nombre de jours pour la levée : 12 à 30 jours.
Date de récolte : D’avril aux gelées. Semis tardifs, hiver doux : Jusqu’au printemps. En ce qui me conserne, l’hiver, je sème sous erre toute l’année.
Le saviez-vous : Le persil est riche en vitamine A et C, c’est à dire deux fois plus que le Kiwi (donc autant que mon Kawaï). Sandryne s’en fait des boissons reminéralisantes en faisant bouillir quelques minutes une grosses poignée de Persil.
La racine est diurétique : Infusion de 50 à 100 g.l-1)
Les feuilles et graines sont stimulantes et emménagogues : 2 g
Le persil fait partie des 5 racines de lu sirop du même nom : Le “sirop des 5 racines” utilisé en médecine pour ses vertus apéritives. Cf racines d’Asperge, de fenouil, de persil de petit houx et d’ache.
Conseil de culture : Planter l’oseille seule, dans un carré potager à part (Allélopathie : voir bas de page)
Description de la variété : Rumex (Rumex signifie “fer de lance”), Variété très productive à feuilles tendres, très larges, vert clair. Plante vivace utilisée en assaisonnement des potages, sauces, omelettes et poissons.
Conseils et mode de culture : Apprécie les sols frais et profonds. Arroser fréquemment pendant la période de sécheresse.
Semis : De mars à Juillet, directement en pleine terre, en lignes espacées de 25 cm. Ne pas enterre les graines. Eclaircir pour laisser un plant tous les 15 cm.
Nombre de jours pour la levée : 10 à 12 jours.
Date de récolte : De juin jusqu’au gelées, au fur et à mesure des besoins
Conservation à la maison : Les jeunes feuilles (limbes) sont débarrassées de leurs pétioles (tiges). Lavées et séchées, elles sont alors congelées dans des sacs de congélations. Ne pas hésiter de presser le sac pour en réduire le volume en aplatissant le tout c’est moins de place dans le congel ! 1 m2 de culture vous assure une utilisation culinaire à l’année !
Nota béné : Source WIKIPEDIA : Sa saveur est acidulée, l’acide Oxalique [HOOC-COOH] qu’elle contient, donne l’Oxalate[–OOC-COO–] ou éthanedioate : après cuisson et ne permet pas sa conservation, même au réfrigérateur. Il faut donc consommer la production culinaire très rapidement. Risque de production d’Oxalate de calcium (les cailloux ou calcul rénaux, évacués à 70% par les urines)
Le Rumex peut produire dans le sol une ou plusieurs toxines phénoliques destinées à affaiblir, voire à tuer d’autres plantes, afin de s’assurer un espace vital propre (allélopathie). Voilà certainement la raison de la grande difficulté à se développer de la tomate Royale des Guineaux, des haricots et du persil plantés juste à côté !!!!!
Frotter une feuille de rumex sur une peau piquée par les orties ou les insectes supprime les démangeaisons.
RECETTES à base d’Oseille : Voir l’article très complet : http://www.boitearecettes.com/fruits_legumes/oseille-text.htm, on y lit notamment que les feuilles d’oseille enlève les tâches de rouille (décapant des métaux). C’est d’ailleurs pour cela qu’elle est loin d’avoir un effet inhibiteur de la pompe à protons… et qu’elle provoque des brulures digestives acides, (surtout si on ne la consomme pas tout de suite après cuisson et qu’on lui laisse le temps de s’oxyder à l’air libre).
Dans pas mal de page sur le Net on lit que le terme Rumex signifie “en fer de lance”. Je pense plutôt que la forme de la feuille “hastée” est le terme qui qualifie le mieux ,la forme des feuilles d’oseille. Cf :
Depuis sa création le 10/10/2013, les plantes se sont bien acclimatées avec le plus doux des hiver depuis plus d’un demi-siècle.
On y trouve :
13 sauges, repiqués depuis les bac “Porte d’entrée”, “B” , “Pentagone” et “Petit-rectangle”,
8 Menthes (poivrées?),
1 romarin (bouture du février 2014
une rangée de sedums repiqués depuis le pourtour de l’olivier transplanté
Au 07/08/2014 : Voir le visuel ci-dessus.
Les graines seront destinées à Pierrick. La récolte aurait pu être réalisée dès mi-juillet.
Les sauges ont envahi tout l’espace et il est difficile d’y observer les sédums, menthes poivrées ou romarin repiqué.
Au 20/11/2014 : Les feuilles auraient pu être récoltées jusqu’à fin septembre. Dès la fin Octobre, les feuille se font grignoter et de nombreux trous apparaissent. Sandryne décide d’avoir dans ce bac des verveines : c’est vrai que, à comparer à la sauge, la verveine est bien meilleurs en tisane… Les plants de sauges sont d’abord rabatus, puis quelques-uns sont transplantés dans des pots. Ces sauges en pot pourront alors agrémenter le futur jardin aromatique de quartier…
Une autre moitié des sauges en place sont détruites.
On retrouve sous les sauges, des sedums et de la menthe poivrée.
La dernière image : Paillage avec du bois raméal fragmenté. (voir Article sur le sujet)
Les patates sont des Patates Amandines. 20 à 25 plants s’y trouvent depuis le 15/03/2014. Vu la qualité de la terre, le rendement devrait être productif.
A la date du cliché ci-contre le 02/04/2014, les patates sont entrées dans leur phase de tubérisation. Entre le 20ième et le 50ième jours, elles demandent d’être arrosées abondamment (justement pendant la phase de tubérisation).
A la place de buter les plants, j’ai relevé le niveau de la terre de 5cm.
Le 16/04/2014, avec l’aide de Sandryne (cf opération du carpien main gauche), nous avons paillé les plants avec de la paille récupérée dans un champs proche de chez la Christine…
Depuis, au 20/04/2014, il y a eu deux passages à la bouillie Bordelaise.
Le 05/05/2014 : 2 seaux de terre sont rajoutés afin de buter les plants.
Les plants ont grandement souffert du vent (perte d’un tiers du feuillage).
Fin de la phase du tubérisation autour du 10/05/2014. Les arrosages peuvent se faire plus rare.
Fin Mai et Juin : les fanes se meurent sans avoir donné aucune fleurs ! Je suppose que le rendement sera pauvre.
Récolte des patates le 01/07/2014.
Le 01/07/2014 :
Semis sur 1/4 : Radis de 18 jours (semis de Mars à Septembre). Les derniers du sachet de graines.
Semis sur trois rangs de Haricots Lexus Mangetout, les derniers de la boîte. Ces semis de haricot suivent ceux faits il y a un mois exactement sur L-tronc. Le 01/07 est le jour du semis de L-base et du paillage de L-tronc.
Au 01/09/2014 : Transplant de quelques céléri en surnombre dans le bac Edika’s Garage. Les haricots Nains Lexus, semés il y a exactement deux mois, ont vite produit car sur l’emballage ils étaient supposés ne produire uniquement qu’au bout de deux à deux mois et demi après le semis !!! et cela fait bien au mois une vingtaine de jours que nous cueillons l’équivalent d’une grosse poignée chaque jour.
Nota Béné : planter des haricots pas trop consommateur juste après la plantation de patates amandine bien plus gourmande : Bonne idée.
Au 13/11/2014 : Dernier cliché pour L-Base été 2014, passons à l’article L-Base Hiver 2014 !
Sur une demi-longueur, sous serre :Semis au 04/11/2013 Persil Frisé ; Persil commun ; Cerfeuil
Sur une demi-longueur, d’abord sous serre du 04/11/2013 au 17/03/2013, puis hors serre : Laitue d’Hiver
Sur 1/8ième de la surface : l’oseille conservée de l’année précédente semée le 02/04/2013, il y a 1 an !
Le 05/04/2014 :
Sous serre parmi le persil et le cerfeuil : 3 tomates supersweet100 mis en place le 05/04/2014
L’année dernière à la même place les tomates ne s’y sont pas bien développées. Elles y ont vite développé des maladies. Lire l’article “Petit rectangle Saison 2013”
Cette année, c’est pareil.
Nota Béné : Ne plus mettre de tomates dans le petit rectangle et travailler la terre…. (solarisation fin juillet si maladie sur les tomates ?)
Le 25/04/2014 : Plantation de deux poivrons, sous cloche
Ces 2 poivrons prennent la place de l’oseille semée 02/04/2013 et arrachée le 18/04/2014 (elle montait en graines et je n’arrive pas à consommer toute la production : très productive d’une part et trop acide (acide oxalique voir article sur l’oseille) pour notre goût.
Nota-béné : Les exsudats racinaires de l’oseille, encore présents dans le sol, risque d’avoir un effet allélopathique négatif (amensalisme) sur le premier mois de développement des mes deux poivrons. La terre n’étant pas travaillée, pas d’amendement en 2012, 2013, pas de travail de défonçage, pas de tamisage au delà des 15 premiers centimètres. Le développement des poivrons est attendu d’être modéré.
Le 22/05/2014 : Semis de Haricot à la place du rang de salade. C’est au même endroit que l’année dernière (rendement 2013 presque nul). Cette année la terre s’est peut-être améliorée…. Je vais également pailler le sol. Ces différences joiront-ils sur le rendement ? A voir… dans plus de 6 semaines.
Au 26/04/2014 : on y trouve :
2 poivrons,
3 tomates ,supersweet100 (dont 1 encore sous serre)
1 demi rang de salade d’hiver,
1 œillet d’Inde.
Le 26/06/2014 :
2 poivrons, 3 tomates supersweet100 qui végètent, 1 œillet d’Inde, 1 courgette, deux rang de Haricot (comme en 6 semaines les premiers haricots se récoltent, il faudra encore patienté 15 jours….)
Le 04/08/2014 :
Les persil plat et frisé semés le 04/11/2013, il y a 9 mois exactement sont de beaux bébés aujourd’hui. Je n’ai pas arrêté d’en utiliser dans mes préparations et il y en avait à récolter toujours de plus en plus.
Le 03/10/2014 : C’est la fin des haricot semés le 22/05/2014, il y a 4 mois et une semaine. 26/06, les premiers haricots. Ils auront donner pendant près de trois mois. Par contre, le rendement a été moindre que dans les autres carrés. Cela confirme la pauvre qualité du sol. Il manque de quoi ? Les exudats racinaire de l’oseille qui repousse ça et là n’explique pas l’amensalisme (allélopathie négative) et la difficulté des autres plantes à se développer. ? !
Seuls les poivrons ont donnés de beaux fruits. Les poivrons en cours de mûrissement se sont fait manger par des punaises et bébés escargots.
Poivrons au 02/11/2014 :
Nota Béné : les plants de poivrons auraient nécessité un peu plus de fumure et la production aurait été meilleure. Le mois d’octobre très doux a fait fleurir de nouveau fruits (voir en haut à droite de l’image les petits poivrons vert). Dans les étalages des marché et supermarché on trouve : des poivrons rouges (Espagnols) et des poivrons verts (Français). Je pense que les producteurs français ont fini de vendre leurs poirvrons rouges de la fin de l’été et qu’il ne leur reste uniquement que des poivrons verts pour la mise en vente actuelle (11-2014) alors que les espagnols ont déjà leur deuxième production sur le meme pieds mais arrivent à les obtenir à maturité (rouge). Bon, c’est pas clair mais je me comprends !!!!
Au 22/11/2014 : Les deux persils donnent des feuilles qui deviennent de moins en mois foncées. L’hiver (qui ne vient toujours pas) vont avoir raison d’elles. Il aurait mieux fallu les congeler plutôt que de les voir se perdre. Malgré cela, je les utilise toujours en salades et dans mes plats cuisinés car je n’ai pas le reflexe d’utiliser mes récoltes antérieures déjà congelées… D’ailleurs, il va falloir faire le tri dans toutes mes boîtes conservées au congélateur….
20/01/21014 : Les persils ne sont toujours pas morts; comme je l’imaginais… Ils sont simplement un peu défraichis. Il me faudra faire un essai et les raser à la base à la reprise de la végétation, d’ici deux mois…
La suite dans l’article Petit rectangle : saison 2015 !
L’angélique est une plante bisannuelle : elle donne des feuilles la première année puis l’inflorescence la deuxième année.
Intérêts culinaire :
La récolte des tiges (ou bâtons) destinées au confisage et à la confiture se fait de juillet à septembre. En fonction de la saison estivale et pour éviter une trop forte lignification, elle sera plus ou moins précoce en juillet. Un confisage dans les règles commence par un épluchage minutieux puis le bain de sucre à renouveler sept fois. J’ai essayé mais le résultat obtenu ne m’a pas rendu satisfaction : La tige était trop lignifiée, par contre le jus de cuisson était parfait pour aromatiser nos yaourt et fromage blanc. Et puis il faut être patient car la tige s’obtient au bout de deux ans seulement. De plus, nous ne sommes pas dans une région pluvieuse et chez nous, notre Angélique nous a demandé pas mal d’eau pour au final peu de matière…
J’ai trouvé d’autres utilisation culinaire sur le net :
aromatise le Gin et certaines liqueurs et vins.
en pâtisserie où, une fois confite, elle permet de décorer les desserts.
ciseler pour aromatiser les plats, elle fait partie de la même famille que le persil, la carotte ou encore l’aneth.
On cuisine les feuilles en salade, ou cuites comme les épinards.
Entre dans la composition de tisanes…
Intérêts médicinal :
Ses propriétés médicinales anciennement reconnues :
Tonique, excitante, stomachique, sudorifique, emménagogue, carminative, l ’herbe aux anges pourrait concurrencer le ginseng de Corée !
Recette confisage :
On choisit les tiges les plus tendres. On les coupe sur une longueur de 15 cm. On les jette dans une eau froide puis une eau prête à bouillir et ce pendant une heure environ. On les retire de l’eau pour retirer la peau et les filandres. On les jette dans une bassine et on porte à ébullition jusqu’à ce que les tiges fléchissent sous les doigts. Bien égouttées, on les fait macérer dans un sirop où le sucre entre pour un poids égal à celui de l’Angélique. (Mélange poids/poids). Ensuite, le confisage commence (étape sur plusieurs jours, où l’eau s’évapore progressivement.
Plus en détail :
Couper et ôter les feuilles de 15 à 20 belles tiges d’angélique.
Épluchez soigneusement pour ôter les fibres.
Déposer les bâtons d’angélique épluchés dans une casserole et couvrir d’eau froide.
Blanchir : (une demi-poignée de bicarbonate fait reverdir les tiges à ce stade) : départ eau froide jusqu’à ébullition. Recommencer l’opération encore une fois.
Égoutter.
Dans une casserole verser le sucre et l’eau.
Amener doucement à ébullition jusqu’à ce que le sucre se dissolve dans l’eau.
A ce moment ajouter les bâtons d’angélique et laisser à feu très doux.
Au bout de 2 heures on distingue nettement cet effet de transparence des tiges confites.
Laisser égoutter et sécher sur grille à l’air libre en protégeant juste avec une cloche non hermétique pendant 48 h puis stocker au réfrigérateur en boite hermétique.
Récupérer le sirop qui à pris un très léger goût d’angélique et le mettre en bouteille et au frais. Il pourra servir à sucrer limonades maison, yaourts, etc…
Le 20/06/2015 : Conditionnement en vue de l’utilisation de tisane.
Ré-étiquetage des contenants d’une vingtaine de gramme chacun.
Ce bac devrait donné du feu de dieu cette année : Tamisée et amendée (lombricompost, fumier de cheval).
3 plants de tomates cerise allongées “Aligote” : c’est la nouvelle création de Bota cette année. D’abord sous cloche, puis sous serre haute, puis tuteurées (12/04/2014)
1 plant de tomate cerise noire : : c’est également la nouvelle création de Bota cette année.
Le 10/04/2013: Mis en place des tomates steak de boeuf du père Barbarin (voisin de chez la Mémé du Poitou !)
Du 10 au 15/04/2014 :
Grand vent ! Les premiers dégâts dû au vent, ou peut-être au Mildiou ou au dépérissement souvent constaté chez la tomate en début de culture si trop d’Azote…
Le 24/04/2014 : Plantation de 5 œillets d’Inde.
Début Mai : Plantation d’un Kaki-Pomme offert par Maman, en plein milieu du pentagone !
Du 01 au 04 mai 2014 :
Grand vent de nouveau. Encore des dégâts : La moitié de la récolte est compromise ! Le travail de mettre en place un système de maintien efficace des tiges de tomates est urgent.
Vue d’ensemble au 04/05/2014 :
Les tomates cerises déjà sur tuteurs ont été massacrées par le vent violent de ses trois derniers jours. Moitié de récolte perdue ! Des fils tuteurs ont été tendus la veille mais les tiges n’étaient pas assez grandes pour pouvoir se tuteurer dessus; Trois jours de plus auraient suffi…. dommage !
Paillage du Pentagone : Fin Mai 2014.
Le Paillage du Pentagone est fait simplement avec une couche de plus de 10cm avec des paille de tonte des fossés et accotement entretenues par la mairie de Rochefort du Gard. La collecte des paille s’est fait en voiture avec un big bag de chantier (1000 litres) et un simple râteau. En 10 minutes le sac est rempli. Avec un sac, on peut pailler 20 m² sur 10 cm de hauteur.
Les tomates “Barbarin” ont elles aussi soufferts des grands vents.
Les tomates “Barbarin” ont elles aussi soufferts des grands vents. De plus elles n’ont pas été conduites : seule la tige principale aurait du être sauvegardée. Or, j’avais pensé pouvoir conduire les tomates “Barbarin” de la même façon que les tomates “cerises allongés” : Erreur. J’ébourgeonne les tomates cerises allongés en enlevant le départ juste en dessous de la grappe de fruits (environ 1 sur trois). J’ébourgeonne les tomates “Barbarin” en pinçant systématiquement tout les départ qui ne sont pas fruits.
Je décide de réduire les tomates “Barbarin” à une seule tige principale (voir deux tiges).
Encore de la perte !!!
Pentagone au 02/06/2014 :
Malgré les vents violents, grâce au tuteurage, les plants de tomates se sont bien développées :
Pentagone au 26/06/2014 :
Cela fait une semaine que l’on mange quelques tomates cerises. La palme va à la tomate cerises noires. Bon goût, bonne chaire.
Pentagone au 23/07/2014 :
NOTA BENE : L’année prochaine il ne faudra plus planter de tomate dans le pentagone : cela fait trois ans que les tomates y poussent et elles chopent toutes la maladie cette année. Les fruits se piquent de taches. Les tiges et le feuillage jaunissent.
J’estime à une perte de 50% cette année : vent violent + maladie.
Début Août c’est le boom de production.
Fin Août c’est la fin de production.
Nota Béné : la production aurait pu être prolongée de 15 jours mais le mildiou stop net le mûrissement des fruits déjà en place …
Semis de salades au 28/08/2014 :
Laitue “Brune d’Hiver” (Rang du haut) et laitue “Merveille d’Hiver” (Rang du bas)
fin d’article.
Les cultures suivantes, comme les récoltes sont détaillées dans l’article : Pentagone Hiver 2014-2015
Ce bac a été créer aux dimensions de celle de trois serres hautes afin de préparer le forçage des semis de printemps.
Depuis fin 2013, le Bac a été totalement tamisé et amendé en lombricompost et terreau du commerce en mélange avec la terre originelle.
Semis sous serres :
Carottes “Touchon” : semis le 02/06/2013 excellentes !
Courgettes : Semis le 02/06/2013, un peu tard, il me semble… car production abortive.
3 boutures de tomates mi-juin 2013 : elles n’ont données grand chose mais les boutures ont bien prises… Les boutures provenaient des tomates du bac Grand Rectangle dont certaines branches ont cassé sous la force du vent. SALOPERIE DE VENT DE MERDE !!! Conclusion : Inutile de perdre du temps à planter puis à arroser des boutures éventuelles de tomates….
Le jour suivant sa création en début Août 2013, le bac Edika-Portail accueille des plants se salades chicorée rouge de véronne.
L’hiver se passe et les salades sont consommées jusqu’en Avril 2014. Une moitiée de la production est déracinée et jettée au compost pour laisser place le 11/04/2014 à des semis de Radis Savour, Radis de 18 jours et Betterave de Détroit.
Les radis sont bientôt prêt à consommer : Il n’aura fallu que (du 18/04/2014 au 08/05/2014) 20 jours pour obtenir les premiers radis. Check point ! Les radis portent bien leur nom.
Il me restait quelques graines de courgettes. En voila quelques unes semées dans les interstices laissés par les radis.
Le 20/05/2014 : L’ensemble des radis sont consommés.
Le 24/05/2014 : Le tunnel de forçage est enlevé, un paillage protège maintenant les plantules de courgettes et les quelques betteraves.
Les plants de courgettes grandissent vite. En un mois elles envahissent le terrain !
Il est surprenant de voir les feuilles bien ouvertes le matin avec des fleurs jaunes magnifiques. Dans la journée, en pleine chaleur, les feuilles se flétrissent afin de n’offrir que peu de surface au soleil et de ne pas en souffrir.
Au 23/07/2014 :
La courgette s’étends au delà de son bac. Je lui laisse un tuteur de plus d’un mètre cinquante : elle y monte, s’y accroche puis y redescend !
Au 04/08/2014 :
Résultat d’une pollinisation manuelle. Process : Prendre 2 à 3 fleurs mâles différentes et les frotter au matin sur les fleurs femelles. En 15 jours : une courgette d’un kilo et 600 grammes ! Elles sont quand même étranges ces grosses courgettes.
Au 28/08/2014 : Il faut bien se rendre à l’évidence, je me suis planté complet sur la variété de cette “courgette” qui est semblablement une courge ButterNut. Les graines plantées provenaient d’une enveloppe sans annotation. L’hiver dernier, j’ai conservé quelques graines. J’ai peut-être utiliser mon compost trop tôt, des graines ont pu germées malgré un séjour dans le compost ?
Une courge Butternut à la place d’une courgette que j’imaginait de type espagnole ??? Il me semblait bien que la dernière “courgette” consommée avait une peau un peu dure. Je me disais : c’est surement “typique de cette courgette espagnole” !
Bref, y’aura confirmation après découpage et consommation mais je me bien mis le doigt dans l’œil.
Au 03/09/2014 : Nettoyage du bac. Les Butternuts sont récoltées. Les petites courges sont consommées en omelette. Les feuilles jaunies et les autres certainement attaquées par l’oïdium et le mildiou sont jetées à la poubelle verte et non au compost (pour ne pas contaminer le composteur dans le doute…)
Le bac a reçu 50 litres de compost de cheval (CF Jardin d’Emeraude) et 70 litres de terreau : Le niveau avait baissé de 5 cm.
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Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.