Sirop de sapin : Avec les Jeunes pousses de sapin (vous savez les petites pousses vert tendre qui poussent au bout des branches au printemps ) et du sucre brun : Dans un bocal en verre, mettre une couche de 2 cm de pousses de sapin puis une couche de 2 cm de sucre et ainsi de suite. Fermer le bocal et les déposer sur un rebords de fenêtre exposé au soleil. Laisser reposer au minimum pendant un mois jusqu’à ce que le sucre soit bien fondu. à consommer comme un sirop contre la toux et les problèmes de bronches.
Cuisiner la tête de poissons blanc, c’est économique et très peu cher ! Pour VOUS, vos CHATS… et même vos POULES ! Idées recettes : c’est ICI !
C’est en regardant la composition de boîte pour mes chats et mon chien que j’ai eu envie de leur faire plaisir en cuisinant pour eux. L’idée faire au mieux avec des « sous produits de poissons » en allant faire un tour à la poissonnerie (Leclerc, Les Angles).
4€50/Kg : Collier ou tête de poissons blanc (Merlu, flétan, etc…)
Avec 1kg500g j’ai préparé :
320g de chair de poisson de première qualité (à utiliser en salade, tarte salée, etc…
700g de chair de poissons de seconde qualité (avec peau mais sans aucune arrêtes), pour mes 5 chats (J’ai mélangé ce poissons avec leur pâté habituel). L’idée est d’en congeler une partie pour ne leur en donner que 2 fois par semaine afin de ne pas trop perturber leur digestion en changeant leur alimentation trop brutalement…
1,5l de bouillon consommé de poissons (en laissant cuire les arrêtes 4 heures dans un court bouillon avec bouquet garni, fumet de poisson déshydraté, aneth du jardin en poudre, etc… J’utiliserai ce consommé plus tard… j’ai donc congelé ce bouillon après l’avoir filtré !
250g de résidus bouillis (ce sont les arrêtes restant de la préparation du consommé) : J’ai donné ça aux poules… elles se sont jetées dessus !
Ainsi l’ HOMME profite de la chair de poisson et d’un consommé (que je pense utiliser pour une soupe de poissons), les CHATS et le CHIEN eux ont eu aussi de beaux morceaux et un pâté amélioré ; et les POULES, quant à elles auront profité d’une sorte de pâté reminéralisante et très alcalin (cf cartilage de poissons)
Bref, c’est du boulot mais pour moins de 7€, j’ai fait plaisir à tout le monde !!!
Petite vidéo montrant que les résidus issus la préparation du consommé de poisson a bien plu aux poules !
Mon premier essai (pas concluant) m’a permis de comprendre que la feuille de capucine est trop forte en goût (poivrée et prégnante)… on ne peut pas concevoir une recette aussi concentrée telle que celle que je présente : il faut utiliser la capucine en mélange ou comme condiment !
J’ai pris plaisir pour ce premier essai et visuellement ça en jette : il fallait que je me vante de ce premier essai en créant un article sur mon blog mais ATTENTION, j’avoue : le recette ne plaira qu’à ceux qui on l’habitude de boire des jus vert, type extracteur de jus & jus style « DÉTOX », pour les plus habitués d’entre nous !
Mon « DEFIE DU JOUR » (ceux qui on la chance d’avoir un jardin et qui ont vécu le confinement du COVID19 en mars 2020, comprendrons ! : Avec l’équivalent de 2 bottes de radis et une visite de mon bosquet aux capucines… inventer une recette.
Autres recette à essayer :
Jeunes feuilles et fleur de capucine « grande de Loebb » pour agrémenter une salade ou une salade de pomme de terre)
Petits rouleaux de feuille de capucine au fromage frais (herbes du jardin). Fermer le rouleau avec un brin de ciboule. Placer une fleur comme déco !
Câpres de capucine (avec les graines nouvellement formées). Il y a des recettes sur le net où la conservation se fait dans le vinaigre. Je vais essayer en lactofermation (conservation en saumure, donc dans le sel + H2o, 15g/l, avec un opercule pour garder les boutons immergés dans la saumure)
Omelette à la capucine (en ciselant simplement quelques feuilles)
J’ai essayé pour commencer de réaliser un PESTO DE CAPUCINE et également une SOUPE de CAPUCINE comme on pourrait obtenir un jus via un extracteur à jus.
Le but de ces premiers essais : En apprendre un peu plus sur la capucine (au jardin : C’est la première à pousser (dès février)… elle attire les pucerons et donc invite les coccinelles à se reproduire en début de saison au potager !!!) ; côté cuisine, jusqu’à présent j’utilisais les fleurs comme décoration de salade.
La fleur est étonnante mais il faut savoir que TOUS EST BON DANS LA CAPUCINE (FLEUR mais aussi jeune FEUILLE (très poivrée), les GRAINES peuvent donner des « câpres de capucine », j’ai également lu que les RHIZOMES sont consommables (concernant la capucine tubéreuse) !
Quelques liens sur mes recherches que je trouve pertinentes :
Après bien des années d’effort pour passer d’une terre caillouteuse à une terre propice à faire pousser quelques légumes sans aucun traitement : ça paye aujourd’hui.
Nous sommes le premier jour de printemps mais aussi le 21/03/2020 (pandémie de COVID19) avec rappelle au confinement de la population.
Je ne profite qu’une heure par jour pour aller sortir le chien et nourrir les poules au jardin du LOU CASCARELET.
Pour le reste, je profite de mon jardin qui m’offre déjà, plus de 50% de mes repas en ce tout début de saison au potager.
C’est au printemps, alors que beaucoup essaie d’éradiquer les oignons sauvages qui poussent souvent en plein milieu des allées, hors des plates bandes cultivées, que j’ai enfin compris (avec le COVID, on a le temps de réfléchir à des solutions »survivalistes ») que l’on peut consommer ces oignons.
De l’oignons « mauvaises herbes » (-), à l’oignons « trésor de la patchamama » (+) : Wa ! Il fallait que je vous en parle !
Pour bien comprendre le but de cet article, on peut lire en diagonale le sujet d’un forum où de nombreux jardiniers soulèvent le problème de ce chiendent d’oignons ! « Se débarrasser des oignons sauvages«
Je suis parti du constat que les poireaux sauvages arrachés les années antérieures repoussent inexorablement aux même endroits les années suivantes… Se sont les bulbilles des oignons arrachés qui redonnent des oignons encore plus nombreux les années suivantes !!!
De plus, après quelques années, je remarque que très tôt ces nouvelles pousses attrapent vite la rouille… Je ne suis plus un jardinier amateur et j’ai vite appris qu’il ne faut pas faire pousser « ails et oignons » au même endroit (5ans) pour éviter ce risque… De plus, il a fait chaud en ce début mars (à 18°c, le champignon de cette maladie cryptogamique explose !!! Le risque alors de toucher les cultures d’ail et d’échalote voisine est inévitable !!!)
Bref, j’ai fait le tour de la maison et recueillis un bon kilo d’oignons dont je n’ai gardé que le bulbe (débarrasser des bulbilles) et quelques centimètre de la tige. Lors du nettoyage, j’ai pris soin de ne pas jeter au compost les tiges touchées par la rouille !!!
Après avoir sur-cuit le riz dans l’eau et laissé refroidir le tout, je coupe en 4 les bulbes, tronçonne d’un demi-centimètre les tiges et mélange le tout…
ET C’EST TOUT !
Pas de cuisson ni de stérilisation fastidieuse, 7 jours à température ambiante… Conservation : Plus d’un an !
Je me servirai des bocaux de 250ml lors de mes préparation de salade, wok, poêlée de légumes ou chiche ou garniture de sandwiches !!!
CONCLUSION : Les oignons sauvages auparavant jetés, deviennent des préparations riches en goût. L’agradation vitaminique est aussi à prendre en compte ainsi que le bilan carbone nul (comparée à une préparation stérilisée).
De l’oignon « déchet », on passe ainsi au « bienfait probiotique » !
Citre Méréville, gigérine ou encore gingérine, cette courge n’est vraiment bonne (voir excellente) qu’en confiture.
Nous la cultivons dans notre jardin mais cette année, on a eu que de petite citre de 600g à 1.3Kg. L’an dernier nous l’achetions à un Rochefortais dont nous citions le nom sur le pot. Cette année nous avons acheté les citres BIO provenant du local mais chez botanic® à Villeneuve les Avignon.
Notre recette : pour 13 pots de 200ml
2,4Kg de citre en cube de 1cm
0,6Kg de mélange orange et citron passés au blender
3kg de sucre blanc
Cette confiture élaborée à l’atelier DZprod Jardin pour l’association la JARRE Écocitoyenne sera en vente au profit de l’association le 01 décembre 2019, salle Jean Galia à Rochefort du Gard lors du Marché de Noël
NB : Suite au marché de Noël,on note la remarque d’un passant : Ajouté de la vanille, enlever l’albédo des agrumes et peut-être en mettre moins ou ajouter le jus des oranges plutôt que de le réserver pour le boire…. ne mettre que le « flavedo » (le zeste)…
La récolte a lieu à 2 moment distincts dans l’année :
Mai-Juin : Amandes fraiches (en vert),
Septembre : Amandes sèches.
Il est pénible d’enlever la bogue sur les amandes en vert alors que les amandes de septembre présente une bogue ouverte, voir tombée au sol, ne laissant que l’amande sur l’arbre (ce qui facilite la récolte et l’obtention de l’amande de l’amande)
250g amandes entières
250g de sucre en poudre,
25cl de lait,
7 feuilles de gélatine,
50cl de crème liquide 30%
Broyer les amandes. Dans une casserole faire chauffer les amandes + lait + sucre + feuille de gélatine une à une.
Fouetter le demi-litre de crème.
Mélanger à la maryse 1.+2. Mettre la préparation dans un moule unique ou dans des ramequins individuels, 7 heures au réfrigérateur.
Voir 19min à 22min, les carnets de Julie, Saint-Rémy de Provence :
Mémo de la recette de Christiane Lambotte, ma voisine. En ce qui me concerne tout les ingrédients viennent du jardin à l’exception de la crème fleurette ! Mon petit plus 250g de lardons !
1Kg de courgettes
6 œufs
25cm crème fleurette
3 oignons,
bouquet de persil
Faire revenir à la poêle les courgettes en rondelles et oignons en lamelles. Saler poivrer. Laisser refroidir 15 min…
Battre les oeufs en omelette et les ajouter aux courgette + persil haché + crême fleurette.
35min au four 180° (pointe couteau OK) dans un moule en silicone. Si on a pas de moule en silicone, on peut cuire le cake au bain marie, 45min.
Mon petit plus :
Faire doré des lardons avec les oignons,
Ajouter une cuillère de maïzena pour éponger l’éventuel surplus d’eau, si les courgettes en sont gorgées,
Si pas de crème fleurette, une crème 30% de matière grasse suffit
Si pas de persil, on peut utiliser d’autres épices sorties des placards.
Présenter une tranche de flan de courgette avec un coulis de tomate au basilic…
Un article Timelapse sur la vraie première récolte de mon cerisier bigarreau BURLAT… ainsi que le conditionnement des cerises en vue de faire des clafoutis tout au long de l’année !
L’an dernier, on a fait des confitures, cette année ce sera clafoutis !
Cette année, la moitié de la récolte m’a été soufflée par le vent 110Km/h le 06/05/2019. Le 07/05/2019, jour de la récolte il a fait inhabituellement froid (8°C). La récolte s’est pourtant faite avec une semaine d’avance ! On y comprend rien à ce temps !
Bref, une petite vidéo en « Timelapse » et un rappel de la recette du clafouti en fin de vidéo, comme en fin d’article… Simple et rapide.
Dans la vidéo, j’ai fait des sachets de 850g alors que des sachets de 650g aurait suffi…. cf les proportions de ma recette :
100g Farine
1/2 sachet levure chimique
1 sachet de sucre vanillé
pincée de sel
4 oeufs
60g beurre fondu
*(30sec +/- microonde par tranche de
10 secondes)
Dans moules individuels en silicone,placer les cerises. Mouiller juste à raz avec la préparation.
Four : 210° 10 min puis 25 à 30 min à 180° (pointe du couteau sec)
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.