Dans l’Épinard-Fraise les feuilles comme les fruits sont comestibles. Variété surprenante formant une touffe bien ramifiée de 30 à 60cm de haut et trouvant sa place tout aussi bien dans le potager que dans un massif ornemental. Ses feuilles, au petit goût de noisette, se consomment crues en salade ou cuites comme l’Épinard. Après la floraison, la plante produit des petites baies rouges acidulées et juteuses ressemblant à des fraises avec un goût de Betterave.
Apprécie les sols riches et frais à exposition ensoleillée. Semis de Mars à Juillet, en peine terre, en lignes espacées de 20 cm. Bien tasser le sol après le semis. Au stade de 3-4 feuilles, éclaircir pour ne laisser qu’un plant tout les 10-12cm. Maintenir ensuite le sol propre et frais par des binage et des arrosages réguliers. La récolte se fera à partir de juillet pour les feuilles. À l’automne pour les petits fruits rouges. Il est possible de ne pas ramasser tous les fruits, il se ressème alors naturellement pour l’année suivante si l’emplacement lui convient.
Infos trouver sur le net et wikipédia : C’est un légume oublié.
Ses feuilles sont comestibles, soit crues en salade, soit cuites comme des épinards. Crues, elles ont un léger goût de noisette, mais elles doivent être consommées modérément car elles contiennent de l’acide oxalique et des saponines. Les graines sont toxiques en grande quantité, il est donc préférable de passer les fruits au chinois avant de les consommer en sirop, en confitures ou en gelées. Il est possible de ne pas ramasser tous les fruits, il se ressème alors naturellement pour l’année suivante si l’emplacement lui convient.
Très fier de mes productions de carottes « Touchon » lors de la saison 2014, je réitère en 2015 sous la demande de Sandryne. Je reviens sur la fiche signalétique.
Description de la variété : Variété à racine demi-longue, lisse et cylindrique.
Conseils et mode de culture : Apprécie tout type de sol, mais préfère les sols sableux, ameublis et profonds. Arroser régulièrement.
Semis : De février à juin, directement en pleine terre, en lassant 25 cm entre les lignes.
Oui, j’ai acheté de l’Hybride…. mais il est écrit « excellente qualité de chair », je voulais pouvoir comparer avec une carottes d’excellence, un genre de témoin pour plus tard, me faire une idée et en finalité pouvoir sélectionner une variété de carotte non F1 mais qui me conviennent gustativement parlant.
De plus il est prédit un très bon rendement.
Description de la variété :
Variété précoce de type Nantais de 16 à 18 cm de longueur. Appréciée pour sa vigueur, son excellente qualité gustative de chair, sa couleur et son rendement. Tolérance à l’Alternaria. Excellente conservation. (Quoique avec Sandryne les carottes du jardin ne trainent pas dans le frigo !!!)
Conseils et mode de culture :
Apprécie tout type de sols, mais préfére les sols sableux, ameublis et profonds. Arroser régulièrement.
Semis :
De mars à juillet, directement en pleine terre, en laissant 25cm entre les lignes. Effectuer le premier éclaircissage à 2, 3 feuilles, puis le second 10 jours après. Laisser 3 à 5 cm entre chaque plant. Butter légèrement pour éviter les collets verts.
Variété tardive à forte production. Gousses contenant 9 à 10 grains. Recommandé pour la conserve. Hauteur : 140cm !
J’ai compris pourquoi cette boîte de chez les semenciers « Vita » était vendue si peu chère à Leclerc Bollène : Si je respecte les dires du sachets, je ne pourrai utiliser ces semences uniquement cette année. À Botanic, les boîtes de même grammage se vendent deux fois le prix mais perdurent 3 à 4 années ! Bref, il semblerait que les vieux stocks de graines se négocient à bon prix afin de nous les refourguer plutôt que de les jeter.
Semez : de mi-février à Avril et fin Juillet, ou de Septembre à Novembre, en ligne distantes de 60cm (1 grain tout les 2 à 3 cm, à 4cm de profondeur) ou (en poquets distants de 40cm contenant de 4 à 5 grains)
Binez/Buttez : Binez en surface dès la levée puis une seconde fois, 3 semaines plus tard, ne buttant les pieds.
Ramez : Enfoncez des branches ramifiées à 10 cm en dedans des lignes et inclinées vers le sommet.
Récoltez : 3 mois après le semis. De mai à juillet et en Octobre, ou de mars à mai (Ouest, Sud-Ouest et midi)
Bref, les conseils succins inscrits sur le paquet seront plus clairs pour moi après un essai, cette saison 2015. Il me tardait d’essayer une culture sur rames. Je n’ai de tige de robinier ou autre imputrescible mais j’ai l’idée d’utiliser un bout de grillage à grosse maille, récupéré lors de la mise en place du chantier photovoltaïque. A suivre…
Si l’on veut transplanter des fraisiers, par exemple, il faut couper le bas des racines : cela stress la plante. Elle se dit : « au secours, je vais mourir! » et se met à refaire plus de racines.
La racine est l’organe souterrain d’une plante servant à la fixer au sol et à y puiser l’eau et les éléments nutritifs nécessaires à son développement.
source: wikipédia La racine sert a puiseé la nourriture et l’eau qui est dans la terre et à la plantes de ne pas être déracinée au premier coup de vent.
Depuis les quelques plants récupérés chez Jojo (voir l’article en 2013), et depuis leurs multiplications depuis le bac Grand rectangle, puis ensuite repiquage dans le bac « B » et de nouveau une multiplication des pieds par stolons (voir l’article en 2014) (stolons naturellement repiqués dans des gouttières de récupérations ou encore dans des canalisations détournées à cet effet).
Ce concept est un essai afin de vérifier si les fraisiers sont capables de produire à partir d’un espace contraint. Le risque est le stress hydrique…. vue l’emplacement plein soleil et le peu de terre que contiennent les gouttières.
Gouttière ou canalisation : 2 usages différents
Les gouttières : pour un repiquage des pieds de fraisiers ailleurs (cf le jardin du Loucastarelet, les tours aux fraises, etc…)
Les canalisation : pour une culture de la fraise sur le rack.
Au 25/07/2015 : Il a fallu arroser et arroser encore pour ne pas voir sécher les canalisation cette année caniculaire en Juillet (37°c). Bref, la récolte a été très faible par rapport à la pleine terre. La culture en canalisation ne peut être efficace que si le substrat est optimal sans stress hydrique (avec la mise en place d’un goutte à goutte par exemple).
Le 27/09/2015 : Les canalisations sont prêtes pour un repiquage.
Je ne sais tojours pas si je vais faire les repiquage de fraisiers Jojo… Les stolons poussent… le chat observe !!!
Au 18/03/2016 : Sandryne, après un an d’essai, m’a fait comprendre que le rack est sans doute pratique mais que visuellement…. un mur végétal, un bac comme ceux déjà réalisés, une petite pergola… quelque chose de grimpant pour habiller le mur… serait d’un meilleur effet. Elle n’a pas tors. L’essai de culture des fraisiers en canalisation reste, je le répète difficile par rapport à une culture de pleine terre. Il faut sans cesse surveiller l’apport en eau. Un apport mal contrôlé en engrais et les fraisiers sont brûlés, etc…
On aura essayé…
Par contre, beaucoup de gens tombe sur mon site et se renseigne sur la culture en canalisation. Pour eux, je résume en une phrase : En pleine terre, c’est mieux !
Dans la série RE-USE : Réutilisation des tunnels en serres de forçage hautes. Réutilisation des sous pots rectangle en plastique 87.5cm/40cm/2cm (Achat en solde 1€ à la place de 35€). Réutilisation des godets et barquettes (récupérées depuis ma jardinerie !). Une barquette contient 6 godets. Un sous pot rectangle contient 7 barquettes. Deux serres hautes juxtaposées contient l’équivalent de 2 rectangles et 4 barquettes (soit 108 godets)
Au 30/01/2015 : Les quatre récepteurs sur les côtés du Bac-B sont maintenant bien fournis en plantules de fraisiers. Les stolons sont cassants. Il me faut maintenant repartir les fraisiers ailleurs….
Le 26/03/2015 : Épandage d’engrais fraisiers et petits fruits (NPK : 5-3-8). Recommandation : 60g/m², trois fois par an (de février à septembre). Attention, le délais de retour sur les terres amendés est de 21 jours pour les animaux d’élevage (cf de jardin du Loucastarelet : les poules aimeraient-elles picorer les granules et ainsi s’intoxiquer ?)
Mon bac mesure 1m60cm par 1m30cm, soit un peu plus de 2m², soit 120g d’engrais pour le bac B (trois fois par an). En ce qui concerne les canalisations de récupération de 20cm de diamètre, pas plus de 15g par canalisation.
Il me faut épandre respectueusement moins de 540g d’engrais par an. Ainsi, le sac d’engrais de 750g, me durera un peu plus d’une année (voir 2 ans si j’engraisse moins au NPK 5-3-8 et que je complète par un amendement de compost et lombricompost).
Floraison au 11/04/2015 :
Au 06/06/2015 : Les plants sont à moitié cramés…. les raisons possibles :
utilisation trop fortes de granules d’engrais du 26/03/2015,
une densité trop importantes des plants,
une chaleur excessive de début juin (+ de 30c°, ces 15 derniers jours et cela, subitement),
des arrosages trop importants.
Comme je n’est jamais eu le reflex d’utiliser les engrais? Je pencherais pour cette cause en premier lieu….
Au 22/11/2015 : Les fraisiers cramés ont laissés de la place recolonisé par de nouveau stolons. L’ensemble de la surface est de nouveau recouvertes par de nouveaux plants. La seule gouttière encore en place se retrouve envahie de solons… Vue le rendement de fraise pendant la saison, je me demande si il est vraiment indispensable de se concentrer sur la culture de la fraise…
Cet hiver 2015, comme l’année dernière : le rêve : Tomber sur un filon de BRF frais !
C’est en allant chercher du terreau composté à la déchèterie des Angles (Nota Bene : pour avoir accès au terreau, il faut le jour même se rendre à la déchèterie pour y déposer des végétaux en échange), je trouve du BRF de fruitiers (bois de l’année de pommiers et poiriers, je pense). Superbe aubaine !
J’avais un énorme sac et plastique dans la voiture. A la place de remplir mes sauts de terreau, je préfère faire la razzias de BRF. D’ailleurs, le terreau de la déchèterie est un peu trop acide alors que le BRF fera augmenter le Ph du sol (voir l’article sur le chaulage du sol, très intéressant !)
La voiture pleine m’a permis de pailler l’ensemble de mon jardin sur 5 cm d’épaisseur ! Les deux photos ci-dessous montrent combien mes bacs se sont vus changer d’aspect avant et après de dépôt d’une couche de bois raméal fragmenté.
Nota Bene :
Concernant mes bacs et carrés potagers contenant de la terre originelle (terre de qualité passable): il me faudra enfuir sur 20cm de profondeur ce paillis lors du réveil de la végétation au printemps prochain, (effet amendement, effet anti agrégat (décompactant), effet chaulage du sol sans trop d’effet relargage d’azote)
Concernant mes bacs où une majorité du terreau provient du commerce ou de compostage maison ou encore de forêt (terre de qualité acceptable), je garderai la couche superficiel telle quel, sous forme de paillis.
J’ai tendance à semer en ligne et ne pas supprimer les pousses en surplus. Sur l’emballage des graines, il est conseillé, au stade de 4-5 feuilles, de mettre en place les laitues semées en godets, ou d’éclaircir celles semées en lignes, pour ne laisser que 25 à 30 cm entre les plants. Moi, je sème dru en ligne (une graine tous les deux centimètres).
Faire un semis en ligne (28/08/2014, salade d’hiver)
Quelques semaines après ne pas éclaircir ou éclaircir en prélevant une motte de terre puis transplanter cette motte ailleurs, toujours sous tunnel
On commence, à prélever les feuilles les plus proches du collet (dans le but de les manger en salade). Consommer les feuilles les plus proches du collet. Les tiges restantes avec une micro pomme sont transplantées ailleurs en laissant 25 cm entre chaque plants. Ne récolter les feuilles les plus proches du collet, que lors d’une utilisation en salades, et réitérer le transplants autant de fois que de préparation de salades.
Les micro-pommes devenant grosses (15/12/2014), les consommer en les coupant au niveau du collet. Ne pas déraciner les plants. (En laissant la racine pivotante dans la terre en coupant la salade au collet après la deuxième récolte…. Le but serait de laisser pourrir la racine en terre : amendement et aération du sol, tout comme le font les lombrics !!!)
Nota Bene : Il y a donc deux récoltes sur une même salade : d’abord les premières feuilles (jeunes et tendres), puis quelques semaines après, la pomme (alors bien développée). Avec cette technique, avec deux rangs de semis de 1m60 (Tunnel de 2 serres hautes), j’obtient près de 5 mois de consommation de salade (trois fois par semaine).
Nota Bene pour la Conservation : Là aussi, j’ai ma technique particulière. Après nettoyage et un bon essorage, je la garde dans une grande boîte plastique hermétique que je jonche de papier absorbant de tout côtés !!! Durée de conservation triplée !!!!! Pas d’oxydation, pas de pourriture par excès d’eau (l’eau résiduelle issue du nettoyage et l’eau issue de la dessiccation est absordée par le papier absorbant !). En effectuant un tri rapide après nettoyage, je garde les feuilles les plus belles au fond de la boite, et les plus abimées au dessus afin qu’elles soient mangées en premier !
La suite de l’article ci-dessous : C’est du Bla Bla pour me rapeller ce que j’ai fait dans le spot au fil du temps.
Année 2014 :
Les 2 premières photos, avant éclaircissement (transplantations de mottes) et avant récoltes des premières feuilles.
Salades restantes après transplantation de mottes et après consommation des jeunes feuilles issues des plants transplantés. On a ici, des salades complètes mais pas espacées comme il se doit !
Tunnel contenant les salades transplantées : (voir la photo ci-dessous)
1 serre hautes dans grand rectangle contenant 6 salades « merveille d’Hiver » (plus sur la photo car déjà consommées à la date du 20/12/2014). J’aurais du prendre des photos des superbes pommes obtenues dans la serre au niveau de la base du grand rectangle.
2 serres basses dans le L-tronc, contenant une quinzaine de laitues « Brunes d’Hiver »
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.