Commandez vos confitures !

Oyé, oyé, Braves gens !

Les confitures issues des « ateliers confiture » sont prêtes à être dégustées !

DZprod Jardin s’est joint à l’équipe des cueilleurs de l’association La Jarre écocitoyenne afin d’apporter des fruits gorgés de soleil aux « ateliers confiture » de l’association Rochefortaise.

Les confitures sont en vente au profit de l’association :

  • 5€ le pot (type Bonne Maman) ; 12€ les 3 pots !
  • 4€ le pot type (le comptoir de Mathilde) ; 10€ les 3 pots !

Choix parmi :

  • Figues noires (Arbre BIO de chez Isabelle & Éric)
  • Figues blanches (Arbre BIO de chez Sandra et Stéphane)
  • Mûre (sauvage de Rochefort du Gard)
  • Sureau (de Tavel)
  • Mûre / Sureau
  • Abricot (Arbre BIO de chez Sandra et Stéphane ou Marie & Franck)
  • Tomate verte (Julien Rochas)
  • Poires Williams (Arbre BIO de chez Sandryne & David)
  • Poires / Figues (10%) (Arbre BIO de chez Sandryne & David)
  • Quetsche (Arbre BIO de chez Sandryne et David)
Vente de confiture 330ml 5 euros le pot - 12€ les 3 pots - Au profit de l'asso "la jarre écocitoyenne"
Vente de confiture 330ml 5 euros le pot – 12€ les 3 pots – Au profit de l’assotiation « la jarre écocitoyenne »

Le projet, l’achat d’une nouvelle bassine à confiture en cuivre à fond épais ! Les bassines seront en prêt aux membres de l’association La Jarre écocitoyenne et aux lecteurs inscrits à la newsletter et à la chaine Youtube de DZprod Jardin !

Famille, amis, passez commande SVP (cliquez Ici et indiquez votre choix, livraison gratuite !).  Merci d’avance.

Nota Béné : Afin de nous aidez dans la recherche de pots vides, sachez que DavidZ tient promesse d’un pot plein en échange de 10 pots vides. Merci d’ailleurs à Claude & Claude Laurent pour la 50aine de pot Bonne Maman !

Forum des associations – Rochefort du Gard – 09 septembre 2017

Le forum des associations aura lieu début septembre 2017. La nouveauté, l’inscription de l’association la JARRE Écocitoyenne !

L’association La JARRE Écocitoyenne sera pour la première fois présente au Forum des associations de Rochefort du Gard, Samedi 9 septembre 2017, de 10h à 17h30.

Forum des associations à Rochefort du Gard - 9 septembre 2017 - salle Jean Galia
Forum des associations à Rochefort du Gard – 9 septembre 2017 – salle Jean Galia

Venez en savoir plus sur les activités de l’association, inscrivez vous, devenez membres et soyez force de proposition pour notre première année de vie associative au sein de notre belle commune de Rochefort du Gard.

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(DZprod Jardin & président de l’association la Jarre Écocitoyenne) vous accueillera. Le  stand vous fera découvrir en photos nos activités (jardin, jardin partagé, jardin communautaire, fabrication de composteur, outils en partage, mutualisation de matières premières (couvert, paillage, compost, terre végétale).

Du jardin à l’assiette : On vous parlera des ateliers « Kéfir Yaourt végétal, lactofermentation, jus & extrateur de jus, atelier de cuisine à l’année, aggradation alimentaire, partage des récoltes issus des jardins, achats de groupe, etc…

R.R.R : On vous parlera des notions de Recyclage (atelier réutilisation & réemploi), atelier « Dans quelle poubelle, je mets ça », la notion de recyclage et réemploi car « les déchets pour certains sont des trésors pour d’autres ».

L’Écocitoyenneté : le désherbage écocitoyen à Rochefort du Gard, c’est quoi ? On vous parlera de solution de désherbage écologique : prêt d’outils pour essai (désherbeur thermique, désherbeur électrique, tondeuse à gazon manuelle, serfouette & huile de coude). Venez rejoindre & Intégrer ou faites intervenir notre équipe « after rain squad ».

Échange de savoirs & de savoir-faire, au jardin, en cuisine, en ville comme en campagne… en partenariat avec de nombreuses entreprises ou associations au local.

Le stand proposera un atelier Lactofermentation : En 2 minutes vous apprendrez à lactofermenter un citron Bio ! Vous repartirez avec un bocal (style « Le parfait ») contenant votre citron confit, de quoi là agrémenter quelques uns de vos plats et salade de fin d’été !

Inscription : 15€ à l’année.

Conseil Conservation Récolte Oignon : Lactofermentation !

Conseil pour la conservation d’une récolte d’oignons au jardin potager biologique.

La lactofermentation est la solution idéale pour avoir des oignons toute l’année !

Les avantages :

  • pas besoin de surveiller la récolte car pas de « pourrissement »,
  • alors que les bulbes mis en cave se conservent entre 3 et 6 mois, une lactofermentation peut attendre gentiment plus d’un an ! On couvre ainsi, ses besoins en oignons pour l’année !!!
  • on ne pleure qu’une fois (lors de la préparation de la mise ne lactofermentation), ensuite on dispose des oignons déjà découpés,
  • on n’encombre pas son congélateur et on évite ainsi la transmission de l’odeur d’oignon au reste des aliments congelés !!!
  • on augmente les propriétés nutritionnelles par la lactofermentation…
  • on consomme l’intégralité de la récolte sans jeter aucun oignons (pas de pourrissement), donc en plus de la quiétude de ne pas surveiller son panier d’oignons mis en cave… on est certain de consommer l’intégralité de sa récolte !!!
conserver vos oignons en lactofermentation - DZprod Jardin
conserver vos oignons en lactofermentation – DZprod Jardin

Voir l’article sur la bande de culture qui a permis de créer cet article : la culture des oignons au jardin partagé du Loucascarelet et la mise en lactofermentation de 4 cultivars d’oignons.

Basilic en pot : (culture et astuce), un seul pot pour toute la saison !

L’achat d’un pot de basilic en grande surface, au marché ou en jardinerie spécialisé, ne coute que 2 à 3€.

Bien des personnes ne profitent de cette aromate que 2 à 3 semaines….avant de voir le basilic péricliter et mourir…

Ils ne cueillent le basilic que si besoin. Ils laissent le pot tel qu’ils l’ont trouvé dans les étals. Bien souvent, les gens disposent le pot à l’intérieur de la maison mais trop exposé au soleil (les feuillent se recroquevillent et les tiges se plient). D’autres les gardent trop à l’ombre (les tiges s’allongent et le feuillage ne se développe que peu : vert foncé, il devient vert clair).

Ces gens trouvent naturel que le pot ne perdure que 2 à 3 semaines… et pourtant… un pied de basilic bien conduit vous donne des feuilles en quantité et cela pour toute la saison estivale  !

Comment faire pour un rendement de fou à partir de votre achat d’un pot de basilic du commerce :

comment mieux cultiver le basilic en pot ou en jardinière - conseil DZprod Jardin
comment mieux cultiver le basilic en pot ou en jardinière – conseil DZprod Jardin

Après l’achat, observez que le pot contient non pas un seul pied de basilic mais une multitude. Faite une première récolte en coupant toutes les tiges au dessus du troisième ou quatrième étage. Bien souvent cela équivaut à réduire les tiges de plus de la moitié de la motte !

Si vous avez une terrine, un bac ou des pots vacants, de la terre du jardin, du terreau ou une jardinière non encore utilisée vous allez rentabilisé votre achat pour sur !!!

Comment mieux cultiver le basilic en pot en terrine ou en jardinière - DZprod Jardin
Comment mieux cultiver le basilic en pot en terrine ou en jardinière – DZprod Jardin

Casser la motte et séparez délicatement les plants de basilic pour les transplanter dans vos contenants !

Il faut faire cela à l’ombre par temps frais car les racines sont hyper fragile. Il faudra ensuite garder les transplants à mi-ombre et pas en plein cagnard !… et surveiller l’arrosage.

Il faudra être patient un bon mois pour pouvoir de nouveau profiter de votre basilic et pouvoir à nouveau prélever de quoi agrémenter salades de tomate ou autre… et si lors de la première récolte vous avez pensé à congeler votre basilic vous ne manquerez de rien pendant ce temps d’attente….

Vous allez observez que les tiges que vous avez réduites vont engendrer 2 rameaux. D’une seule tige principale, on obtient maintenant deux tiges ! On observera dans le temps que ces deux tiges vont s’étoffer… et on coupera de nouveau ces tiges au dessus du troisième étage lorsque ces nouvelles tiges proposeront au moins une dizaine d’étage.

2 à 3 semaines plus tard, on obtient un plant qui s’est renforcé avec, une tige principale, deux tiges secondaires et sur chacune encore 2 tiges tertiaires !!!

Idem, on coupera les tiges tertiaires au dessus du troisième étages lorsque celles ci auront produite une dizaine d’étage…

On note que réduire ainsi le pied de basilic empêche la production de fleurs et donc la montée en graine…. C’est intéressant car seules les feuilles sont destinées à la cuisine….

On conclut donc que si on ne fait rien, on obtient en 2 mois, un basilic tout chétif et qui est montée en graine.

Réduire les plants la première fois, va privilégier le système racinaire à se développer. Les plants seront plus vigoureux.

Si pas de transplantation après achat, les plants meurent tous très vite (trop serrés, le système racinaire comme le système foliaire se gênent entre-eux et entre en compétition).

Au bout de 2 mois après la transplantation, on obtient des plants de basilic bien touffus et volumineux. Chaque plant est alors aussi volumineux que le pot initialement acheté (contenant une multitude de basilic qui étaient en compétition dans ce « petit pot »)

Jardinière calipso de chez MV Industrie pour du basilic et des aromatiques tout l'été !
Jardinière calipso de chez MV Industrie pour du basilic et des aromatiques tout l’été !

L’image est le résultat au bout de 2 mois de la transplantation d’un pot de basilic bien reparti dans la jardinière. Si vous avez la chance comme moi de posséder une jardinière calipso (de chez MV Industrie), votre récolte en sera d’autant plus belle. Pour comprendre pourquoi lire l’article vantant les mérite de la jardinière calipso…

Nota bene : de la même façon que l’on a transplanté les salades surnuméraires lors d’un semis en ligne trop serré, on utilise la jardinière calipso pour rentabiliser l’achat d’un seul pot de basilic. On estime à une dizaine d’euros l’économie faite sur 3 mois et surtout la joie d’avoir du basilic de mai à septembre !!!!

Tryphon le pigeon

Ce pigeon (oisillon de 3 semaines certainement) a été recueilli en Avignon après être apparemment « tombé du nid »… Un de mes voisins (Mansour) me l’a confié ce matin car il prépare son déménagement. Lui, s’envole pour un autre habitat et il s’inquiète pour son petit protégé rescapé Avignonnais !

Le pigeon est un animal sauvage, qui vit en société : sa réintégration dans un groupe est souvent plus que difficile mais nous allons essayé. On va le garder encore une quinzaine de jours, en cage dans la maison et pas sous la clim (les oiseaux sont sensibles au courant d’air).

Alors Tryphon deviendra t-il PIGEON ou PIGEOFF ?

tryphon futur pigeon ou pigeoff
tryphon futur pigeon ou pigeoff

On va tous faire pour qu’il devienne un beau pigeon autonome en espérant qu’il réintègre un groupe de pigeon sauvage Rochefortais !!!… mais il faut commencer par le nourrir :

Plutôt que broyer des graines germées, je lui donnerais entière… (cela est conseillé, vu sur le net !!!). Je vais présenter à Tryphon, des graines et de l’eau… Dans sa caisse, je ne met pas de paille comme je l’aurais fait pour des poussins mais simplement du papier absorbant et une ou deux poignées de sable sur le dessus. Le sable peut être ingérer pour broyer les graines ensuite dans son jabot.

Vidéo le jour où Mansour m’a transmis Tryphon :

Lorsqu’il commencera à voler, je le mettrai avec les poussins au jardin du Loucascarelet. J’y ai vu une colonie de tourterelle et des pigeons qui aiment profiter des grains laissés par les poules. J’espère que Tryphon pourra un jour intégrer une colonie. Je sais que les chances sont faibles. Les chats du voisinage passant par le poulailler des poussins n’en ont jamais encore dévorer un seul… J’espère seulement qu’ils épargneront Tryphon également !

En souhaitant la bienvenue et une longue vie à TRYPHON le pigeon !

NB : Mise en garde de ma femme…. (et il faut toujours les écouter !!!). Le pigeon est vecteur de maladie… surtout par ses fientes. Dans la maison, c’est pas top… Dans la nature (heu… en ville), il se serait fait dévorer…

En effet : Lien des maladies transmissibles à l’homme (zoonose).

Directement, au poulailler, vu qu’il ne s’alimente pas seul… il risque de ne pas faire long feu. Je pourrais le gardé, le temps qu’il apprenne à manger seul et à voler, à la maison mais en dehors de l’habitat.

Le 24/07/2017 : Je viens de le trouver mort ce matin. Il avait une maladie respiratoire, la même me semble-t-il qui a tué mes 2 poussins le 25/04/2017 (voir article) : Difficulté respiratoire, arrêt de l’alimentation 2 jours avant. Son état s’est empiré la toute plus rapidement que pour les poussins. Les symptômes respiratoires étaient présents quand Mansour m’a confié le pigeon et ils se sont rapidement amplifiés. Je pense à une Laryngotrachéite… C’est certainement la raison pour laquelle la mère pigeon a éjecté son petit hors du nid…

Maladies du poirier : la rouille grillagée, la fumagine (via la punaise Tigre) et autre coup de chaud

Les maladies observées sur mes poiriers cette année 2017, sont relatées dans la vidéo suivante, présentant la rouille grillagée, la fumagine et le coup de chaleur de juin 2017.

Chaque année, durant l’été, des tâches oranges apparaissent sur les feuilles de mes poiriers. Ensuite, au revers de la feuille, des tumeurs véruqueuses se développent. Enfin, (mi-Aôut, fin d’été) des excroissances coniques sur les tumeurs libèrent des spores… Les poiriers ont chopé une maladie crytogamique : la rouille grillagée.

Je pensais initialement que cette maladie cryptogamique était d’autant plus virulente si on arrose trop son arbre. Du coup je n’ai presque pas arrosé les doubles-U. RÉSULTAT poiriers ont souffert d’un manque d’eau et j’ai retrouvé pas mal de feuilles sèches sur l’arbre.

Juin 2017 a été un mois record (record de chaleur)… De plus, les doubles-U, ont été plantés le long de la longrine du mur, côté « Allée de Provence », par une entreprise paysagiste, mais les trous de plantation étaient bien trop petits : Les racines n’ont trouvé que peu de place. Ces deux facteurs, ont provoqués un coup de chaleur, surtout sur le poirier pourtant le plus à l’ombre du mûrier platane… (j’avais réduit une charpentière l’hiver dernier). La sècheresse apparente gagne (au 19/07/2017) la moitié de ce double-U mais également la charpentière du poirier double-U, de gauche.

Je pensais les feuilles malades mais je n’ai rien vu sur le Net, à par des clichés identiques parlant de coup de chaleur :

NB : la température a grimpé à 37,2 degrés lundi 12 juin, en Avignon, un record ! Alès, la ville la plus chaude de France, en juin 2017… et moi qui ait voulu pas arroser !!!

J’ai trouvé des vidéos complétant mes observations cette année :

Conseil pour limiter les maladies sur mes fruitiers pour mémoire :

L’an prochain, je vais redoubler d’effort sur les points suivants :

  • Automne, après la chute des feuilles : Ramasser les feuilles, nettoyer le pourtour de l’arbre (le sol clean !).
  • Anti maladie d’hiver (tuer les œufs d’insectes à base d’huile végétale (huile de lin) ou de chaux (blanc arboricole mais il est conseillé de ne pas l’utilisée tous les hivers).
  • Avant l’éclatement du bourgeon : bouillie bordelaise. Après fructification : pièges aux phéromones.

Bouillie bordelaise : Mode d’emploi, faire sa bouillie bordelaise soi-même :

Pourtant cette année, je m’étais donné du mal, mais il faut savoir que si on a des genévriers dans les environ (et c’est le cas pour moi avec la garrigue et les jardins de particuliers tout autour de chez moi… il y a d’ailleurs « l’allée des genévriers à Rochefort du Gard » pas loin du tout.

Pour une bonne récolte voilà le travail fait cette année (et l’hiver dernier) :

Les feuilles malades avaient été ramassées… mais les genévriers environnant (vecteur primaire de la maladie) m’amèneront toujours la rouille grillagée…d’une année sur l’autre…

On résume les 3 facteurs pertubateurs d’une récolte réussie en 2017 :

  • La rouille grillagée,
  • la fumagine (via les punaises Tigre),
  • la sècheresse record.
Maladies poirier - rouille grillagée - fumagine due à la punaise tigre - sècheresse - 2017
Maladies poirier – rouille grillagée – fumagine due à la punaise tigre – sècheresse – 2017

Remarque : les pommiers ne sont pas attaqués par la rouille grillagée du poiriers. Ils peuvent choper la rouille grillagé également mais ce n’est pas le même champignon…

Le cognassier : Idem, il chope la rouille grillagée et comme le pommier, le champignon est spécifique. Par contre, contrairement aux poiriers, le cognassier présente la maladie sur les feuilles mais surtout sur les coings qui stoppent littéralement leurs croissances. Je n’ai à ce jour encore pas récolté de coing…

cornichon culture semis grillage récolte bocaux lactofermentation ou vinaigre

cornichon culture semis grillage récolte bocaux lactofermentation un titre qu’avec des mots clefs pour ne pas dire : la culture du cornichon, de la graine à l’assiette !

culture cornichon jardinière grillage - jardin urbain - association la jarre écocitoyenne
culture cornichon jardinière grillage – jardin urbain – association la jarre écocitoyenne

Un essai concluant en bac au jardin urbain (bac en fibre, jardin urbain au 2 allée du pébrier à Rochefort du Gard (cf Association La Jarre écocitoyenne) !

L’unique plant va donner des récoltes tout les 3 / 4 jours : une poignée de cornichon qu’il est facile de mettre en bocaux, grâce à la lactofermentation (eau + sel à raison de 30g/l).

culture cornichon - récolte du jour sur un seul pied
culture cornichon – récolte du jour sur un seul pied

Nous utilisons des bocaux de 200ml réutilisés après achats de pâte à tartiné sans huile de palme, de moutarde à l’ancienne ou autres caramel au beurre salé du Comptoir de Mathilde !

culture cornichon du jardin urbain lactofermenté - association la jarre écocitoyenne
culture cornichon du jardin urbain lactofermenté – association la jarre écocitoyenne

Le rendement d’un seul pied de cornichon : 3 bocaux par semaine !

Le seul hic est de voir une branche partir à travers le grillage et proposer ses fruits du côté du voisin… mais comme les récoltes se font presque journalièrement, il est facile de rectifier la trajectoire des ramifications portant les fruits…

La culture des cornichons est une culture sympa, ludique et les enfants du voisinage sont curieux de voir la plante grandir. Les fruits grandissent vite : un cornichon peut tripler de volume en 1 jour : c’est étonnant !

Pour obtenir d’autres cornichons, il faut veiller à récolter des cornichons de taille moyenne, sans les laisser trop grossir car cela freine la pousse et la fertilisation des fleurs en bout de ramifications

Un article complet sur le sujet :

https://jardinage.ooreka.fr/plante/voir/256/cornichon

Engrais du commerce + compost : c’est trop !

Engrais du commerce + compost : c’est trop !… et cette année encore, je suis déçu.

Un retour sur expérience montre que l’énergie et le temps passé à construire des composteurs et produire du compost n’est peut-être pas la meilleure des solutions si le but est d’obtenir une terre fertile riche en biodiversité.

Le plus judicieux, à mon sens est de déposé sous le paillage les contenus des poubelles de table que l’on jetterait au composteur. Les vers de terre s’en nourriront. Les vers de terre s’y multiplierons, in situ.

Le compost est finalement le résultat de la digestion de tous les organismes qui le produisent. Introduit en terre, c’est finalement donné de la merde à manger aux organismes détrutivores !!!

De la même manière les engrais du commerce, ne donne pas à manger aux organismes qui aggradent la terre du potager.

J’ai souvent eu la main lourde en utilisant ces produits (même lorsque je pensais sous doser les engrais).

Il faut se poser la question de biodisponibilité des éléments nutritifs contenus dans le sol pour les plantes potagères. Les organismes qui produisent ses éléments nutritifs produisent également un substrat (la terre potagère) « well-balanced », bien équilibré, permettant la bio-assimilation des éléments nutritifs. On ne peut pas espérer cela en utilisant les engrais du commerce même si les dosages en KPN sont en adéquation avec les besoins des plantes…

J’ai l’impression que l’utilisation d’engrais liquide ou en granule en plus de l’amendement avec du compost maison rend une terre potagère saturée. J’ai souvent observé après une utilisation d’engrais que mes plants produisent des jeunes fruits pollinisés qui en une semaine jaunissent sur pied, comme pourraient l’être les fruits non pollinisés.

Compost + engrais : ça ne fait pas bon ménage !!!

Mes essais se sont portés sur la culture en bac, au jardin urbain allée du Pébrier.

Algoflash Naturasol - Engrais longue durée Tomates Courgettes Poivrons - dzprod Jardin
Algoflash Naturasol – Engrais longue durée Tomates Courgettes Poivrons – dzprod Jardin

Pour les tomates ça passe encore, mais pour les haricots c’est une bêtise de ma part car ils n’ont pas besoin de beaucoup d’amendement (surtout en azote) : le feuillage a vite jaunie.

Algoflash Naturasol - Engrais universel liquide - dzprod Jardin
Algoflash Naturasol – Engrais universel liquide – dzprod Jardin

En ce qui concerne la structure sur-élevée en ballot de paille qui concentre (tomate / melon / cornichon / butternut) l’usage de l’engrais à bruler les fruits naissants ( de melon / butternut / cornichon)…

Algoflash Naturasol - Engrais universel liquide pour le potager - dzprod Jardin
Algoflash Naturasol – Engrais universel liquide pour le potager – dzprod Jardin

Je ne sais pas gérer l’utilisation des engrais commerciaux… c’est mon dernier essai, c’est décidé j’arrête !

Récolte au Kajo – MV Industrie – Pouss’vert – 2017 (all year long)

Article créé afin de montrer ses belles récoltes, la fierté du jardinier !

Le Kajo ® la « star des cagettes » mis en scène au jardin potager !

Kajo cadeau aux adhérents - 30-03-2017
Le contenu d’un Kajo comme cadeau de bienvenue aux adhérents de l’association LA JARRE ÉCOCITOYENNE  – 30-03-2017
Récolte de fève au Kajo® 02-05-2017
Récolte de fève au Kajo® 02-05-2017
Récolte d'oignons rouges RYDED au Kajo - 17 Juillet 2017
Récolte d’oignons rouges RYDED au Kajo – 17 Juillet 2017
Le Kajo - un panier de récolte de marque Française - MV Industrie
Le Kajo – un panier de récolte de marque Française – MV Industrie

Les récoltes de juin juillet et août sont dédiés à l’apprentissage de la conservation alimentaire par le biais de la lactofermentation (en saumure).

Cet article n’a pas été suivi cette année car je me concentre au développement de l’association La JARRE Écocitoyenne (bureau, planning des ateliers sur l’année, dépenses, recherche de subvention, etc…) ; je m’occupe des sites DZprod Jardin et lajarre.fr ; je gère les jardins ( jardin DZprod, jardin de quartier, jardin partagé… et cet été, je suis seul) ; je continue en parallèle le travail de web marketing afin d’obtenir des outils pour le mutualisation communautaire.

Bref, la recherche de subvention est pour l’instant nulle (refus de la mairie de Rochefort du Gard pour nous allouer une enveloppe de démarrage). Aujourd’hui les caisses sont plus que vides… et avec ce qu’il m’arrive dans le civil… je suis forcé d’arrêter les dépenses pour les associations.

Concernant les paniers de récoltes… voir l’article de l’année dernière :  Récolte au Kajo – MV Industrie – Pouss’vert – 2016 (all year long)

Comment conserver les légumes du jardin rapidement par la lactofermentation

Comment conserver les légumes du jardin rapidement par la lactofermentation ? Tout simplement en s’inscrivant aux ateliers de l’association La JARRE Écocitoyenne à Rochefort du Gard (association@lajarre.fr)

La lactofermentation est la solution idéale pour traiter les surplus de production au jardin potager.

Faire ses conserves et bocaux est chronophage, c’est la raison pour laquelle les jardiniers amateurs ont tendance à donner les surplus de production à leur famille ou voisins : On ne peut pas être « au four et au moulin », cultiver, récolter… et faire des conserves !!!!

David des jardins de DZprod propose ses surplus de production lors de ses « récoltes au Kajo » pour mettre en place des ateliers au sein de l’association La Jarre.

Des ateliers conviviaux vous apprendrons à traiter vos surplus de production : Inscrivez vous !

Renseignez-vous auprès de l’association La JARRE Écocitoyenne de Rochefort du Gard : site web : lajarre.fr ; mèl : association@lajarre.fr ; tél (09.52.17.44.69)

Kajo de bocaux lactofermentés - DZprod Jardin
Kajo de bocaux lactofermentés – DZprod Jardin

On ne reviendra pas sur les bienfaits de la lactofermentation (effet probiotique, préservation vitaminique, conservation zéro carbone car on ne chauffe pas les aliments… etc…). Une rubrique entière est dédiée à la lactofermentation sur ce site (essais, recettes et conseils, c’est Ici), pour la mise en pratique… restent les ateliers (voir plus bas).

Cet article donne une solution, si on a la chance d’avoir gardé les bocaux de grand-maman (style « le parfait »). L’association vous fournira les conseils, le sel, des opercules

La conservation se fait en saumure (eau + 30g de sel de mer non chloré par litre d’eau minérale). Certains légumes ne demandent aucun ajout de saumure mais simplement l’adjonction de sel de mer non chloré à raison de 10g/Kg (carotte, chou blanc pour faire de la choucroute, etc…).

Les bocaux après une semaine de fermentation sont conservés à température idéale de 17°C. Je les place en cave, au jardin du Loucascarelet :

Stock de Lactofermentation en cave au Loucastarelet - 14 juillet 2017
Stock de Lactofermentation en cave au Loucastarelet – 14 juillet 2017

Autres articles concernant la lactofermentation :

Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.