Archives de catégorie : Réemploi Récupération et bricolage
Récupération de terreau, de lombricompost, de crottin de cheval, de canalisation de chantier et autres. Dans le cadre du RRR (re-use, reduce or re-cycle).
Achats des 4 bacs lors des soldes à Botanic, Saint Anthelme le 10 et 11 Janvier 2015 : 70% de remise !
Bac long Renata de chez Robin Hood : 140/50/50 ; 189€
Bac haut Renata de chez Robin Hood : 165.90€
2 Bacs Renata de chez Robin Hood : 100/50/50 ; 143€
Réparation des bacs avant protection : Le bac Haut m’a été vendu avec 10% de remise supplémentaire car il manquait les 4 écrous ainsi qu’une lame de fond du plancher du bac. J’ai acheté les écrous borgne (10ZN S4) pour 2.75€ et un petit sachet de visserie avec quelques rondelles pour 1.50€. J’ai rafistolé le plancher… et resserré l’ensemble des tiges filetées. Certains écrous des tiges filetées étaient inatteignables par ma clé à pipe : Il m’a fallu agrandir l’orifice d’accès des écrous en cassant la base des pieds supportant les bacs…. Certaines autres tiges filetées étaient trop longues : il m’a fallu disquer près de 1.5 cm sur trois tiges filetées…
Préparation des bacs avant la protection : Lavage des bacs avec un produit dégraissant (lessive Saint Marc à la résine de pin). Le bac haut, le plus grisé des 4 bacs est passé l’eau oxygénée et oxydryne : cela a bien eu comme effet de dégriser le bac mais ça n’a pas enlever les tâches noires (champignons). Après un jour de séchage supplémentaire, les bacs ont étés poncés manuellement et avec ma ponceuse à plat. Les bacs étaient alors prêts pour être huilés.
Protection des bacs après 2 jours de séchage et une température extérieur de plus de 10°c : Je me suis renseigné sur les bonnes façon de protéger les bacs contre la pluie et les UV. Le mieux aurait été d’acheter de l’huile saturante (un saturateur possède des anti-UV dans sa formule mais les 50€ du pot m’ont refroidi…). J’ai opté pour une protection à base d’huile de lin et essence de térébenthine (moins de 10€). L’inconvénient est qu’il n’y a pas de traitement anti-UV et que l’huile de lin n’évite pas au bois de se charger, dans le temps, de tâche noirâtre (champignon). Peu importe, le mélèze en contact avec l’eau (c’est le cas de ces bacs dont ‘il me faudra bien arroser les végétaux qu’ils contiennent) n’est pas prévu de durer plus de 10 ans…
Étanchéité interne : Après 4 passages à l’huile lin et essence de térébenthine, je décide de parfaire l’étanchéité intérieur des bacs. Le géotextile présent lors de l’achat usée et vieilli (de couleur noire) est remplacé par du neuf (de couleur blanche). Une feuille plastique alvéolée est aussi déposée. Ces plastiques d’étanchéité ont été récupérés sur la route en allant au boulot, tout près de la zone de stockage de KP1 : Un exemple de RRR réussi ! Le (Re-use, Reduce or Recycle) devient ici (Re-use, Repair and Refresh !)
Le 13/02/2015 : Préparation de la terre de plantation : A part égale, terre du “pentagone”, terre et pâte de compost (avec lombrics) provenant de mon composteur, terreau provenant des terrines de chrysanthème mise aux déchets, terreau de la déchèterie. Les 5 derniers centimètres est du super terreau universel acheté en magasin.
En passant à la banque LCL des Angles, j’en profite pour aller faire le plein de fruits à Dia, 6 rue Balzac, 30133 Villeneuve les Angles. J’achète entre autre, 3 noix de coco pour 1€. Après pesée, j’en ai pour environ 2Kg. Soit 50 cent le Kilo !
Voilà un compte rendu de ce que j’ai fait avec mes noix de coco (je ne donne pas le processus ni les astuces de transformation car on trouve un bon nombre de détails sur le net et YouTube.
Je trouve 4 utilisations principales pour mes noix de coco : Avec mes 1Kg950 de noix j’ai fabriqué :
Écorce : Paillage pour le jardin. 390g, environ un demi litre en volume. Cela représente 40 cents de produit afin de couvrir un carré de 13cm de côté. Voir sur le Net. Nota Bene : Afin d’améliorer ce mulch et éviter qu’il ne s’envole lors des vents violents de notre région, pourquoi ne pas mélanger un peu de composte ou/et du crottin de cheval en laissant macérer préalablement le tout dans de l’eau. En séchant la couche épandue deviendra un peu plus compacte et restera plaquée au sol, lors des grands vents…
La chair de coco : 185 grammes, après séchage sur une plaque à pâtisserie placé une nuit au dessus de l’insert. Utilisation en pâtisserie. J’en ai ici pour une valeur marchande d’environ 2€.
L’eau de coco : En cuisine, pâtisserie ou en boisson. J’ai obtenu 620ml avec mes trois noix de coco. Soit 200ml par noix. Voir le lien Wikipédia sur l’eau de coco. Prix moyen autour de 6€ le litre. J’en ai donc ici pour 3€70 !
Huile de coco : Après une extraction à froid, puis une autre à chaud, 2 décantation et également une séparation de phase par chauffage (pour éliminer les agglomérats résiduels), j’ai réussi à séparer 99 grammes d’une huile pure de coco ! Soit une valeur marchande de 3€. Utilisations : Alimentaire ou cosmétique. Voir aussi le lien super intéressant concernant l’huile de coco et 50 de ses utilisations ! Un exemple cosmétique pour les cheveux : voir le lien WikiHow
Conclusion : Ainsi avec 1€ de noix de coco, j’ai obtenu l’équivalent de 9€10 de matières premières, en trois heures de temps. On peut alors valoriser ces matières premières lors de recettes plus élaborées….et obtenir des produits finis au prix au kilo encore plus importants.
En imaginant un atelier de trois, quatre personnes et la transformation d’une quinzaine de noix (5€), on a de quoi rentabiliser et passer une excellente demi-journée : Fort pouvoir potentiel de conception culinaire et cosmétique… en plus du lien social et bio-éthique.
Des super liens :
Afin de mieux comprendre les deux liens (2 et 3, ci-dessous) en se replongeant dans la biochimie des acides gras saturés et insaturés : http://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_gras
La noix de coco contient plusieurs acides comme l’acide laurique, et l’acide caprylique, connus pour leur effet antiviral et antimicrobien.
L’eau de coco, contenu dans les jeunes noix de coco de plus en plus disponibles sur le marché, est presque identique au plasma sanguin contenu dans le sang humain.
En plus des nombreux services que l’« arbre de vie » rend traditionnellement à l’être humain, une scientifique péruvienne a découvert un usage inusité pour sa noix. Celle-ci sert de milieu de culture pour élever une bactérie qui tue les larves du moustique responsable de la propagation du paludisme. Cette bactérie (une des formes du Bacillus thurigiensis (Bt), qui est largement utilisé en agriculture biologique) constitue une solution de rechange écologique aux insecticides chimiques destinés à combattre le moustique et dont plusieurs se sont révélés dangereux pour le cheptel et les êtres humains.
Pour les abeilles solitaires, cet hôtel n’est pas un hôtel fait maison. J’ai profité des soldes à Botanic pour acquérir cet hôtel vendu avec des bulbes de crocus “vernus 7/8” qu’il aurait fallu planter à 10cm de profondeur il y a deux mois de ça… d’où la remise importante faite sur le prix d’achat !
Nota bene : Un sac de crocus 5/7 se trouve dans la case inférieur de l’hôtel. Pourtant sur l’emballage, on voit écrit Crocus 7/8. Cela correspond à la taille des bulbes. En me renseignant sur le net j’apprends (sur ce site -très bon lien) que la taille idéale pour les crocus est de 9/10. La taille 7/8 est trop petite. Sur le sac de crocus, il est indiqué “25 crocus 5/7” : la taille est donc très insuffisantes. De plus il y a publicité mensongère car inadéquation entre la taille des bulbes indiquée sur l’emballage et la taille réel sur le sachet !!! Ces petits spécimens encore hors du sol fin Janvier ont d’autant plus souffert de la dessiccation et du froid hivernal. Il n’est pas dit qu’ils arrivent à pousser…. Affaire à suivre : nous les mettront en terre quand même. Bref, les crocus sont surtout un arguments commercial, ils ne se plantent pas dans l’hôtel mais dans sa périphérie et sont de toutes façon trop peu nombreux pour offrir à eux seuls la seule subsistance aux abeilles solitaires.
Le sac de crocus, une fois délogé, offre un espace vacant dans l’hôtel. Il me vient alors l’idée d’étendre la capacité d’accueil de l’hôtel en alimentant le rez de chaussé d’une vingtaine de lits supplémentaires (tubes de bambou de 10cm de long) ! Un grillage viendra parfaire l’affaire et préviendra des catastrophe lors de vents violents.
J’en ai acheté 2. Le premier sera offert à Lise du Jardin du LOUCASTARELET. L’autre ira dans mon Jardin.
Nota béné : Mieux vaut construire son propre Hôtel à insectes. Cela peut se faire avec des matériaux de récupération. Pourvu qu’ils soient exempt de produits chimiques ou nocifs pour ses habitants. Ici, concernant cet hôtels, trop d’arguments commerciaux sont présents :
Hôtels à abeilles : et les autres insectes auxiliaires alors ?…
Hôtel crée par des personnes en insertion sociale en hollande (et le local alors ?….)
Présence de bulbes : argument pour susciter l’acte d’achat mais les bulbes sont insuffisants en nombres et en qualité…
un feuillet double page est présent et surfe sur la tendance en donnant des arguments sur la nécessité de la préservation des abeilles (le bon point est de faire prendre conscience qu’il n’y a pas que les abeilles apicoles qui assurent la pollinisation et qu’il existe de “milliers d’espèces d’abeilles sauvages” qui sont également menacées… d’autres insectes pollinisateurs auraient pu être cité mais cela aurait montré une faille de cet hôtel en particulier : une seule sorte de cachette (ici des tubes de bambou), risque de n’attirer qu’un seul type de pollinisateur….
les logos : Le logo BEE-FRIENDLY et le logo européen “PRODUIT BIOLOGIQUE CERTIFIÉ”,
un petit grillage amovible aurait augmenter de beaucoup le coût de produit…. mais aurait été plus pratique et aurait augmenter la longévité d’emploi de cet hôtel…
Première mise en place et réparation le 17/02/2015 :
Du nouveau en 2015 et un retour sur mon expérience passée concernant la confection d’étiquette pour cultivar du Jardin. Si on n’a pas le porte monnaie pour l’achat d’étiquettes prêtes à l’emploi (en ardoise sur pic par exemple), on peut bricoler ses propres étiquettes (certes moins esthétiques).
Mon truc en 2015 : La confection d’étiquettes à partir de récupération !
Les outils : Cutter, paire de ciseaux, agrafeuse, et un lot d’alphabet à frapper.
Les supports : Bouteilles plastiques et cannettes de soda en aluminium.
Le pic doit être de préférence imputrescible tel le PEt (polyéthylène)
D’autres idées : taper “plants marker” dans une recherche Image de Google.
J’aime :
Cet article est la Réitération d’un ancien article de 2007… (voir l’ancien article). A cette époque, j’utilisais le bois et mon bon vieux pyrograveur comme support…
En bois : cela ne dure qu’un temps. L’usage du pyrograveur est fastidieux. A moins de passée une couche de saturateur sur la planche en bois, avec le risque de contaminer le sol de l’huile saturante et ses anti-Uv….
Cet hiver 2015, comme l’année dernière : le rêve : Tomber sur un filon de BRF frais !
C’est en allant chercher du terreau composté à la déchèterie des Angles (Nota Bene : pour avoir accès au terreau, il faut le jour même se rendre à la déchèterie pour y déposer des végétaux en échange), je trouve du BRF de fruitiers (bois de l’année de pommiers et poiriers, je pense). Superbe aubaine !
J’avais un énorme sac et plastique dans la voiture. A la place de remplir mes sauts de terreau, je préfère faire la razzias de BRF. D’ailleurs, le terreau de la déchèterie est un peu trop acide alors que le BRF fera augmenter le Ph du sol (voir l’article sur le chaulage du sol, très intéressant !)
La voiture pleine m’a permis de pailler l’ensemble de mon jardin sur 5 cm d’épaisseur ! Les deux photos ci-dessous montrent combien mes bacs se sont vus changer d’aspect avant et après de dépôt d’une couche de bois raméal fragmenté.
Nota Bene :
Concernant mes bacs et carrés potagers contenant de la terre originelle (terre de qualité passable): il me faudra enfuir sur 20cm de profondeur ce paillis lors du réveil de la végétation au printemps prochain, (effet amendement, effet anti agrégat (décompactant), effet chaulage du sol sans trop d’effet relargage d’azote)
Concernant mes bacs où une majorité du terreau provient du commerce ou de compostage maison ou encore de forêt (terre de qualité acceptable), je garderai la couche superficiel telle quel, sous forme de paillis.
Le 29/10/2018 : L’idée de réactualiser cet article vient en découvrant sur les réseaux sociaux l’arrivée dans notre commune de Rochefort du Gard, d’une nouvelle association : LA CROQUETTE DE ROCHEFORT DU GARD !
Ci-dessous, l’article crée le 12/10/2014 : J’ai depuis j’ai des idées pour améliorer le système et rendre le refuge plus agréable pour les félins.
Dans la série, je récupère et j’en suis fier, ou encore RRR (Réduire-Réutiliser ou Recycler).
Avec une chatière de fin de série (1€) et une boîte PSE, voilà un refuge à chat !
La porte battante magnétique est désactivée en coinçant une clé magnétique sous la porte, directement dans la largeur du montant, cachée à l’intérieur même du polystyrène. Ainsi, même si le chat ne possède pas de collier magnétique, il pourra s’y refugier !!!
Un autre essai de réalisation d’un refuge à chat : Total récupération.
La porte de la chatière est réalisée avec 6 écrous (trois de chaque côté) est une petite barre en métal de récupération (support Phalaenopsis, serre aux plantes). La porte battante provient de support plexis “l’occitane” de récupération. Les objets retrouvent une deuxième vie ! Les écrous sont coincés dans la boîte en PSE grâce à un pistolet à colle (colle polystyrène, je pense…). Sides entry are taped to prevent cat’s scratching… (En french la phrase est plus longue : Les côtés de l’entrée sont scotchés afin d’empêcher le griffage par les chats).
Nota Béné : Ne pas découper l’entrée de porte trop bas : il est préférable que le chat enjambe le bas de porte en poussant de la tête le battant. Le battant ne risquera pas de coincer lorsque vous placerez un coussin, couverture ou autre pour offrir une couche confortable à votre réfugié !
Idées : 29/10/2018 à tester.
éviter de mettre une porte battante rigide : risque que l’animal se coince.. (préférer une porte en tissus par exemple… voir rien du tout car l’animal à besoin de se rassurer en voyant ce qu’il se passe à l’extérieur),
on peut mettre 3 caisses, les unes à côté des autres (et pas forcement en ligne (façon puzzle). L’idée est de créer alors 2 ouvertures vers l’extérieur (une à chaque extrémités) et 2 passages (de la boîte 1 à la boîte 2, et de la boîte 2 (centrale) à la boîte 3. Ainsi, le chat saura qu’il peut fuir si nécessaire et ne sera jamais coincé !!! Cela le rassure et il s’appropriera son refuge beaucoup plus facilement.
Placer les refuges sur un support sur-élevé avec accès à celui-ci
D’autes idées pour améliorer le système ? POSTER UN COMMENTAIRE SVP !
D’abord, il afallu multiplier les fraisiers (voir l’article FRAISIERS JOJO), ensuite il a fallu trouver une place pour reçevoir les nouveaux plantules : c’est je sujet de cet article.
Au 28/08/2014 : Dans le carré “B”, les fraisiers donnent des stolons qui rampent en dehors de la structure du bac de bois. Tombés au sol compact, au vent et sur un tapis de cailloux, ils auront du mal à s’enraciner. Une solution : des gouttières de récupération !
Au 30/08/2014 :
Installation de gouttière réceptrice de la multiplication des fraisiers cultivés en carré potager. Une idée pour dans le futur cultiver mes fraisiers. Les années précedentes, je remarque que les fraisiers souffrent s’ils sont mals exposés. Une installation amovible pourrait être une solution… Les jours de canicule, je place les gouttières à l’ombre. Les jours plus courts, je déplace le dispositif et l’expose au soleil d’avantage.
Une idée : Placer les gouttières en les superposant. Placer un système de goutte à goutte. Incliner les gouttières pour que par gravité le surplus d’eau éventuel en soit extrait. Voilà une façon de gagner en surface de production ! Il faut tester cela !!!
D’abord je rampe sous la maison et tire du vide-sanitaire deux bouts de gouttières restant des travaux de la maison. Prêt pour du “Re-use & recycle”. Avec un cul de bouteille en plastique, du papier carton, une pierre du diamètre de la gouttière et du fil, j’invente un bouchon “stop” de gouttière. Avant de jeter mes anciens balais d’essuis-glace, je les démonte afin de réserver les languettes en métal formant le rampant du balais (arracher la lame du balais doucement). Je coupe à la pince coupante les languettes métalliques. En repliant les petites languettes, cela permettra de coincer les stolons permettant un enracinement efficace des futures plants.
Nous voilà dans la phase multiplication des fraisiers.
Par la suite, il me faudra réfléchir sur le dispositif pour soutenir et irriguer les gouttières.(…depuis un des récupérateur d’eau ?). La suite dans quelques jours ?
Le 03/10/2014 : Le troisième dispositif porte fraisier.
Le 09/10/2014 : Un quatrième dispositif est créé, type “gouttière” mais cette fois-ci le porte-fraisier est fait à partir d’une canalisation de 200 mm. Le tube est un tube mâle-femelle. Cool, j’y emboîterai le troisième dispositif (Mâle-mâle) ! La terre est au trois-quart récupérée (celle en face de la sortie client, contre le poulailler… elle était riche en lombric lors de “l’emporter client” !!! Le quart du dessus provient également de Bota mais d’un sac de terreau de bonne qualité.
Au 02/11/2014 :
Au 02/11/2015 : Un an après… Les gouttières réceptrices de 2014 sont actuellement disposées sur le rack à canalisation. Aucun transplant fait en 2014-2015 par manque de place (que ce soit au jardin DZprod ou du Loucastarelet).
Une idée Récup pour le paillage du potager : Le Ffin des abords des champs de Rochefort du Gard !
Attendre quelques jours après le passage de la faucheuse afin que les herbes montées en graines perdent leurs graines. Ne prendre que les pailles. Les quelques épis restent au sol et il est rare de les emportés. Nickel !
Un big bag de 1000 litres et facilement remplis en 10 minutes.
Il vous faut :
La voiture, banquette baissée, 2 km aller, 2 km retour.
un big bag de 1000 litres,
un rateau,
une poubelle de 125 litres noire pour transférer le foin dans le big bag de 1000 litres.
Pourquoi cet article : J’ai souvent recherché des idées afin de conserver des aliments et mes surplus de production. Fabrication de compotes, confitures, conserves maisons, aliments fermentés, etc… C’est en m’intéressant à la déshydratation que j’ai eu l’idée : La pure bonne idée… et purée ! Elle est bonne l’idée. (Lire l’article en Musique avec Macz de Carpate)
J’ai toujours voulu m’acheter un déshydrateur type SEDONA mais quand on a pas de pétrole on a des idées…
Du RRR (Recycle & Ré-emploi) et un usage détourné des tunnels de forçage Modul’O 40 hors saison hivernale !!!
Le bidon est découpé, retourné, entaillé pour y inclure le porte rayonnage.
Une bouche est découpée pour y faire tout juste passer une extrémité du tunnel de forçage en plastique recyclé de chez “Pouss’Vert”. Un ventilateur est placé à l’autre bout du tunnel.
Le soleil chauffant dans le tunnel est canalisé par le flux induit par le ventilateur. L’air chaud circule dans le tunnel puis entre dans le bas du bidon de 200 litres. L’air assèche les aliments contenus dans le bidon.
L’air chargé en eau s’échappe par le haut au niveau des entailles faites pour accepter le porte aliments.
Nota béné : Le bidon est propre. Il a contenu de l’eau de récupération ces deux dernières années. Remplacé par une cuve de 1000 litres, il passe maintenant une retraite bien méritée.
Vive la récupération, le ré-emploi.
Essai : 20 à 22 °c extérieur à l’ombre ; 36 à 38°c à l’intérieur du bidon (Étage du Haut du rayonnage).
Dans mon jardin, les abris doivent être en contact avec les végétaux souffrant d’attaques de pucerons ou d’escargots.
Les perce-oreilles sont bons grimpeurs, le pot peut-être surélevé mais à proximité de leur nourriture. Il faut donc déplacer les pots, fonctions de la localisation des attaques.
Il existe bien des sites pour vous conseiller sur les procédure et conseils de fabrication de ces simples et peu coûteux abris. Voila un lien de chez Bota : Conseil pour Installer un abri à perce-oreille.
Cette page est une simple présentation de ceux déjà mis sur site. La pertinence de la géolocalisation sera faite avec le temps et l’observation.
Il est vrai que le second abri n’est pas des plus judicieusement placé mais la saison ne fait que commençer, nous le déplaceront stratégiquement plus tard !
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.