13 desserts – courge longue de nice – Tarte sucrée géniale !

En plus de produire de superbe courge un peu courbée (“violons de Nice”), la culture de cette variété de courge permet une conservation longue. Pour mon premier essai, nous avons obtenu avec Antoine, une belle courge de près de 4kg (Jardin partagé du LouCascarelet, Bande A, Les trois sœurs).

Ne sachant rien de cette courge lors du semis, j’en ai récolté une jeune de 30cm… elle était succulente, la peau fine pouvant se consommer aisément.

Sur le sachet de graine, on pouvait lire : Peu se consommer jeune comme une courgette ou on peut la laisser pousser… elle peut faire alors jusqu’à 1 mètre de long… et une dizaine de Kilos !!! J’en ai donc laisser pousser une. La peau devient épaisse et du vert passe à une belle couleur brune. Je l’ai gardée sur le buffet un bon trimestre… elle n’a pas bougée.

Par hasard, j’apprends en regardant un reportage (ci-dessous), que la courge longue de Nice entre dans la préparation des 13 desserts de Noël, en remplacement de la pompe à huile, la pogne ou les bugnes : c’est une spécialité de la région de Grasse. (voir l’article à ce sujet)

J’essaie alors ma recette que j’adapte à souhait : La pulpe obtenue par pressage dans un tamis avec une maryse, n’a donné que peu de volume…. juste de quoi préparer l’équivalent de 2 appareils à tarte.

J’ai choisi de mixer un appareil Amandine (beurre-sucre-poudre d’amande) à cette pulpe en délayant une brique de 200ml de crème épaisse 30%.

Super résultat… d’où l’idée :
1) Produire cette courge au jardin communautaire des Amariniers…
2) Présenter cette recette lors du marché de Noël 2019 au stand de l’association la JARRE Écocitoyenne dont je suis le confiturier attitré !

Idée pour Octobre/Novembre et décembre 2019 : (à préparer pour le marché de noël)

http://www.recettesdecuisinedumonde.com/tourte-sucree-a-la-courge/

Amélioer la recette avec un mélange de la chair de cette courge + appareil amandine !
(recette de la jarre !)

Tour d’arbre imitation pierre et plaque alvéolaire pour stabiliser le gravier !

Dans le passé j’avais fait des tour d’arbre avec de simples galets roulés de bon diamètre (de 10 à 20cm). Cela est très suffisant… et n’est utile que pour délimiter le pied de l’arbre si celui ci est dans un espace engazonné. Par contre, pour amender les arbres et griffer la terre en surface, un tour d’arbre, quel qu’il soit, n’est pas pratique !!!

Le but a été visuel, et m’a permis d’utiliser enfin les pavé “imitation pierre” que j’avais mis de côté depuis plus de 2 ans !

J’ai fait le test d’utiliser également 3 plaques alvéolaires que j’avais gardées pour l’entrée au niveau du portillon en me disant que les alvéoles s’abimeront moins rapidement au pied de cet olivier car on n’y marchera pas dessus tous les jours…

Bref, c’est que de la récup ! (je n’ai acheté qu’un sac de 35kg de sable pour stabiliser les sections de dalles, soit 3€30)

  • section de dalles imitation pierre,
  • plaque alvéolaire
  • gravier (2019)

Avantage de ce travail :

  • permettre de circuler autour de l’arbre plus facilement,
  • les feuilles et les olives tombées au sol restent sur le dessus du gravier, ce qui facilite le nettoyage et le ramassage central,
  • évite que les chats viennent enterrer leur M…,
  • permettre à Sandy d’avoir un petit espace japonisant pour y poser son bouddha !
  • ne plus avoir à désherber !

D’autres exemple de tours d’arbre mis en place dans le passé :

Olivier botanic® au 08-04-2013 et tour d’arbre avec des galets roulés avec des sédums dans les interstices des galets !

Voir d’autres articles sur le sujet :

Olivier devant la maison en 2019

Depuis 2011 plusieurs tailles d’éclaircissements ont été faites sur cet olivier. Cette année, on veut pouvoir circuler autour de l’arbre sans avoir à faire une détour ni avoir à se baisser. Le but sera d’utiliser les segments imitation pierre mis de côté depuis juin 2016 afin de réaliser un tour d’arbre…

Les deux vidéos ci-dessous présentent :

Vidéo 1 : la taille des 2 charpentières et une rétrospective de la vie de cet olivier, (observation d’un chancre sur le tronc naissant en fin de vidéo)

Taille de l’olivier devant la maison depuis 2011 jusqu’à 2019 !

NB : Dans cette vidéo, on parle de passer un cicatrisant après les taille de coupe…. l’olivier n’en a pas vraiment besoin… on espère ainsi limiter la prolifération du chancre trouvé sur quelques branches ainsi que sur les lauriers roses juste à coté

Vidéo 2 : la mise en place du tour d’arbre et le stabilisation de gravier à son pied… avec que de la récup !

Oliviers au 19-08-2012

Voir l’article concernant cet olivier devant la maison (depuis 2011)

Pression de la mouche de l’olive en 2018

L’an dernier, en 2017, nous avions pressée une huile de super qualité : En effet, c’était une fastueuse année en terme quantitatif et qualitatif (été caniculaire qui a réduit le nombre de mouche de l’olive adulte). Cette année, 2018,  l’absence d’hiver rigoureux, un peu d’humidité quand il ne fallait pas et autres facteurs… feront une huile d’olive, un moins bon millésime.

A Savoir : Toute les années, on retrouve dans les paniers de récolte, des olives piquées, c’est inévitable… Que l’on place des pièges, que l’on traite… il y a toujours une pression plus ou moins forte de la mouche de l’olive.

POURQUOI CET ARTICLE ?

Ceux qui n’ont jamais cueilli d’olive  dans le but des les amener au moulin, n’ont jamais eu la surprenante expérience de voir des larves de mouche de l’olive. La vidéo ci-dessous va donc en surprendre plus d’un !!!

NOTA BENE : La larve dans le fruit se développe. Une fois tombée au sol (le fait d’avoir une larve dans le fruit accélère d’ailleurs la chute des olives), la larve ressent que le fruit est inerte : c’est le signal pour sortir et trouver refuge dans les premiers centimètres de terre, sous l’arbre. C’est ainsi, sous forme de pupe qu’elle passera l’hiver pour se métamorphoser dès février de l’année suivante…

IL Y A DONC TOUJOURS DES OLIVES PIQUÉES amenées au moulin : C’est normal & NATUREL. Par contre plus la proportion d’olive est piquée, plus la qualité de l’huile en sera impactée : En mettant la pulpe de l’olive au contact de l’air et des déjections de la larve, les dégâts de mouche conduisent à une altération de la qualité de l’huile, facilement détectable au goût et par une augmentation de l’acidité, de l’indice de peroxyde et du K 232.

Lien super intéressant pour en savoir plus :

http://afidol.org/oleiculteur/mouche-de-lolive/

VOS OLIVES SONT PIQUÉES :

Il ne sera pas possible de faire des olives de bouche.
Par contre, la récolte fera une huile d’olive très appréciée.

La pression de la mouche de l’olive est naturelle… plus ou moins forte d’une année sur l’autre…

Pour des arbres BIO, il faut accepter de la pression soit plus forte… d’avoir un peu plus d’acidité dans notre huile… mais zéro PESTICIDES !

Ce message est diffusé par l’association La JARRE Écocitoyenne de Rochefort du Gard qui travaille pour proposer une huile produite sans aucun traitement et hyper-locale ! (Vous pouvez faire une demande de réservation d’un peu de cette huile Millésimée 2018, en remplissant ce formulaire).

Psyllium et confiture ? Le test concluant !

Cet article est une aide-mémoire sur le test fait lors d’un atelier confiture au sein de l’association la JARRE Écocitoyenne, le 27/10/2018.

Le but : Épaissir une confiture.

Comme gélifiant, on connaissait :

  • l’agar/agar (une algue japonaise)
  • la pectine (de fruit usuellement la pomme, le coing, etc…),
  • la gélatine (généralement porcine) que l’on utilise pas forcément pour la réalisation de confiture mais beaucoup en pâtisserie.
  • la graine de caroube (cf additif épaississant utilisé dans les sucres pour confiture d’un Kilo que l’on achète dans le commerce)

Le test se porte sur l’utilisation de poudre de Psyllium blond bio pour son effet mucilagineux. Cette poudre provient de l’enveloppe de la graine du plantain ou Ispaghul. Après des recherches sur le net, je me rends compte que l’utilisation de “Tégumen d’Ispaghul” pour épaissir les confitures, n’est relaté que dans de très rares cas (cuisine Végan, crudivorisme, colopathie, etc…).

J’apprends que le psyllium n’est autre que le nom donné à l’enveloppe de la graine de plantain. Le plantain blond vient des indes et donne le psyllium blond (1/3 plus épaississant que son homologue plantain “de Provence”, le plantain à graine brune).

Je jardinier que je suis connais le plantain comme plante bio-indicatrice d’un sol pauvre et tassé nécessitant d’être ameubli et amendé. Je viens de découvrir que ses graines (supers petites comme une puce, d’où le nom provenant du grec “psylla”) donne le psyllium à fort pourvoir épaississant (mucilage : qui retient l’eau)

Le biochimiste que je suis, se souvient que l’effet mucilagineux qui provient de la cohésion des forces de Van der Walls des polysaccharides contenus dans l’écorce de la graine et l’eau pour former un colloïde.

Sur le Net, j’apprends aujourd’hui que le psyllium est surtout connu pour ses valeurs en pharmacopée et industrie alimentaire comme épaississant. Je me rassure alors en comprenant que l’effet “laxatif de lest” du psyllium à pour effet de faciliter le transit mais pas de fluidifier les selles (ça ne provoque pas la diarrhée mais permet une meilleur circulation). Je découvre également que certains hygiénistes utilisent le psyllium pour son effet “nettoyant” de notre tuyauterie !

TEST CONCERNANT LE CONFITURAGE :

L’essai se fait sur une la préparation d’une confiture de sureau. Le jus extrait des baies de sureau donne un liquide faible en pectine mais très riche en anthocyanes (antioxydant et polyphénols). En d’autres termes, il faudrait faire cuire la préparation (50/50, jus/sucre) trop longtemps afin de concentrer le jus et obtenir une confiture qui se tienne à peine.

Jusqu’à présent, sans aucun additif, je ne suis arrivé à faire qu’un coulis (pour faisselle ou fromage blanc). C’est à dire que le jus sucré, certes, avec une cuisson longue et l’évaporation de l’eau du jus, devient plus visqueux mais ne prend pas en masse.

TEST pour l’obtention de 15 pots type Bonne Maman (de 325ml) :

  • 3,15l de jus
  • 3Kg150g de sucre cristallisée,
  • 8 cuillères à soupe de spyllium.

PROCESS : Je réserve 500ml de jus et fait cuire dans ma bassine en cuivre le reste du jus et la totalité du sucre. Après 15 min de gros bouillon, je réduis l’induction. J’incorpore l’équivalent de 8 cuillères à soupe rase de psyllium (par précaution : j’ai passé préalablement, le psyllium au moulin à herbe (afin de le réduire en très fine poudre) dans le demi-litre de jus réservé à cet effet. Je comprends vite que 8 cuillères à soupe dans si peu de jus c’est trop. Par peur d’une thermolyse (que la cuisson fasse perdre son effet épaississant au psyllium), je décide d’incorporer quand même le bol hyper compact obtenu du mélange 500ml de jus de sureau et du psyllium en poudre.

ASTUCE : Afin d’incorporer rapidement le bloc gélifié dans l’ensemble de la masse du contenu de la bassine : utilisez un MIXER PLONGEUR !

Après 10min à gros bouillon, on peut réduire la cuisson et mettre en pot.

Résultat : Je peux appeler “confiture” et non plus “coulis” mon mélange 50/50, jus/sucre. Le lendemain j’observe que la confiture est même trop épaisse !

NOTE : Afin de réduire les coûts, dans les sucres vendus dans le commerce spécifiquement pour la réalisation de gelée ou confiture, on lit sur les étiquettes : Épaississant : graines de Caroube. Cela représente bien souvent bien moins de 1% du sachet. On trouve aussi de l’agar/agar ou de la pectine pour le pouvoir gélifiant.

Je comprends mieux la différence entre gélifiant et épaississant !

Réalisation du test : Laboratoire et atelier cuisine “DZprod Jardin”, 2 allée du Pébrier, 30650 Rochefort du Gard.

Limonade auto-gazeuse : Fuck SODASTREAM !

Idée pour faire une limonade D.I.Y avec zéro eau gazeuse (par lactofermentation) : La fermentation naturelle et légère n’altère en rien le goût de votre limonade “HOME-MADE”

INGRÉDIENTS :

  • 5 litres d’eau 500 g de sucre ( ou miel, sucre fleur de coco, Rapadura)
  • une poignée de fleurs de sureau où de tilleul
  • deux gros citrons bio couper en tranches
  • un peu de vinaigre de cidre, (optionnel mais ajoutera du “pétillant”),
  • une poignée de raisins secs ou 4 figues sèches ou mangue sèche…
  • Une cuillère à soupe de riz (optionnel mais ajoutera du “pétillant”)

PROCESS :

  • Mettre le tout dans un grand récipient (un bidon dont on laisse le bouchon de côté, ouvert ou un seau)
  • Mélanger un peu tous les jours
  • Laisser reposer environ 3 jours puis mettre en bouteille en filtrant le liquide. NOTA BENE : Les bouteilles doivent “tenir la pression”, comme pour celle conservant du Kéfir ou Combutcha) car ici aussi, une fermentation se produit. Les bouteilles sont mises sous pression. Il n’est pas rare que la limonade sautent littéralement hors de la bouteille quand on l’ouvre. Vous obtenez en effet une vraie limonade gazeuse !

VARIANTE et ARÔMATISATION (sugestion de présentation) :

Avant ou après la fermentation, on peut ajouter divers éléments qui vont venir parfumer la boisson :

  • du citron en rondelle,
  • des herbes aromatiques (mélisse, menthe, sauge ananas, etc…),
  • un bout de gingembre frais, passé au presse-ail,
  • thé infusé,
  • eau de fleur d’oranger,
  • eau de rose,
  • lavande,
  • fleur de sureau,
  • canelle,
  • Etc…

La recette que nous vous proposons et une vieille recette, variante des Kéfirs ou Kombutcha sans mère comme starter : Les bactéries de l’air, des fruits secs, du riz suffisent à lancer la fermentation douce en dégradant les glucides (C6H12O6 : du glucose dans la formule ci-dessous)(dont l’amidon du riz), aider par quelques goutte de vinaigre pour être dégradé, par fermentation en acide lactique lactique (CH3-COH-COOH)

L’effet du citron, en plus d’aromatiser la boisson, est un effet assainissant, afin de vectoriser la réaction de lactofermentation en privilégiant les “bonnes bactéries”, en limitant l’action des levures et champignons éventuels présents naturellement dans le mélange de fermentation, en les plaçant dans un liquide rendu alors trop acide pour proliférer à outrance.

Devant tout ce langage qui peut sembler barbare, on peut penser que l’on puisse s’intoxiquer avec cette boisson : Bien au contraire !

A part les sucres raffinés qui n’est pas nécessaire à l’organisme (car lorsqu’il en a besoin, il sait les produire tout seul, sans que l’on ai besoin de les lui en apporter de l’extérieur. On rappelle que les boissons sucrés sont acidifiante pour l’organisme…), cette boisson possède presque une valeur nutritionnelle prébiotique !

AVANTAGE :

  • faire soi-même,
  • limiter la production de déchet (pas de bouteilles en verre à recyclées ou de canettes jetées),
  • limiter le coût de production (par rapport à l’achat de boisson gazeuse standardisées),
  • c’est une façon de consommer ses herbes arômatiques du jardin !

Vive l’automne et les cucurbitacées !

Un article pour garder en mémoire la réussite des cultures de cucurbitacées de cette saison 2018 :

  • Potimarron ICHIKI KURI, (bande C, jardin du Loucascarelet)
  • Mini courge “Jack be little”, (bac Edika portail, jardin de DZprod),
  • Potiron Atlantic GIANT, (jardin urbain du Pébrier),
  • Courge longue de Nice, de la MILPA (bande A, jardin du Loucascarelet),
  • Courgettes de toutes nominations (maraîchère, ronde, italienne, etc…)

La grosse découverte : le potimarron ICHIKI KURI ! Il est productif et a un petit goût de châtaigne. Avec le premier de ses 9 fruits j’en ai fait un velouté étonnant. (2/3 de potimarron, 1/3 pomme de terre, une brique de crême de coco : voir le détail de la recette du velouté de potimarron à la crème de coco).

Cliquer sur l’image de la galerie pour découvrir les plus surprenante de mes découvertes de cucurbitacées cette année 2018 :

Afin d’éviter l’hybridation des cucurbitacées entre elles, j’ai procédé à une fécondation manuelle dans le but de produire des semences Bio !!! Le but : avoir des graines à proposer aux membres de l’association la JARRE Écocitoyenne pour le jardin communautaire de 5000m² qui va s’ouvrir, un 500m du centre du Village de Rochefort du Gard.

Recette de velouté d’ ICHIKI KURI -potimarron goût châtaigne

Je ne détaille que rarement comment faire une soupe ou un velouté. Lorsque les ingrédients viennent du jardin Bio : c’est toujours bon !

Par contre, le potimarron Ichiki Kuri donne un résultat étonnant et il fallait que je garde en mémoire mon essai :

Les ingrédients : Une cucurbitacée potimarron Ichiki Kuri, quelques pomme de terre, un oignon, 200g de lardons, une brique de crème de coco… poudre de curcuma, gingembre, noix de muscade, origan… sel, poivre, huile de noix.

Les ustensiles : Faitout ou cocotte-minute, bon couteau de cuisine pourla découpe du potimarron.

Process : Faire revenir oignons et lardons dans un faitout un peu haut (ou cocotte-minute), puis réserver dans un bol. Dans le même faitout (ou cocotte) en gardant le gras des lardons, ajouter un peu d’huile et faire revenir les pomme de terre et le potimarron coupés en dés (on peut garder la peau de cette courge). Ensuite je rajoute un verre d’eau et je ferme la cocotte-minute. 10-15 minutes après le sifflement de la soupape, j’arrête la cuisson. Je mixe le tout avec un mixeur plongeur. Je rectifie l’assaisonnement : sel, poivre, noix de muscade râpée, origan, herbes de Provence, curcuma en poudre, pincée de gingembre, huile pili-pili du comptoir de Mathilde… J’ajoute alors la brique de crème de coco, puis le bol contenant les oignons émincés et les lardons. J’ai donné un peu de couleur à la présentation des veloutés en saupoudrant de l’origan et des pistils de Safran (des faux, je présume car ma mère me les avais ramenés du Maroc pour “pas cher, mon frère”).

Soupe potimarron pomme de terre et crême coco - recette dzprod jardin
Soupe potimarron pomme de terre et crême coco – recette dzprod jardin

Trop bon !

Rentabilité d’un plant d’aubergine greffée à 6.95€ à botanic®

Mon premier sentiment : un plant unique d’aubergine à 6.95€ le pied, ça fait pas un peu chérot ça ?… 3 mois après la mise en terre, mon sentiment est apaisé par une récolte abondante d’aubergine.

Conseil : Puisque le plant est F1, il est inutile de laisser les fruits sur le pieds afin de produire de la graine. Mieux vaut-il les cueillir tôt, quitte à ce qu’elle ne deviennent pas énorme : on aura moins de graines et ce sera plus facile pour d’une part travailler l’aubergine côté cuisine, et en bouche c’est plus agréable. Je pense également que les cueillir jeunes, permet aux autres aubergines laissées sur le pieds de s’ épanouir d’avantage. Ce n’est qu’une supposition…

Plant greffé aubergine ronde F1 - botanic® - dzprod jardin
Plant greffé aubergine ronde F1 – botanic® – dzprod jardin

En tout plus d’une quinzaine d’aubergine a été cueillies ! On s’y retrouve donc pour 6.95€, on a environ 5kg d’aubergine BIO, produite avec un impact carbone relativement bas (pas de transport et la fraîcheur en plus).

AGRÉABLEMENT SURPRIS pour un premier essai d’aubergine au jardin : Le plant résiste aux grands vents à comparer aux autres végétaux. De plus, une fois en production et chargées de fruits, les branches ne se cassent pas sous le poids des fruits. Mieux vaut-il quand mème lui proposer quelques tuteurs…

Du coup j’ai fait une petite vidéo pour garder en mémoire cette réussite au jardin :

Utilisation :

  • en rondelle + huile d’olive au pinceau (au four) : on laisse refroidir puis on dispose les rondelle en canapé sur de la mie de pain + fromage etc..
  • en ratatouille (cuire séparément à la poêle) dans un fond d’huile d’olive, puis essorer sur du papier absorbant.
  • farcies (au four)
  • en caviar ! le fameux caviar d’aubergine !
  • en soupe (je viens d’essayer une recette de soupe tibétaine : c’est pas mal du tout !) (aubergine, lentille corail, lait de coco, curry)

NB : Si on en a trop d’un coup, les aubergine se conservent super en lactofermentation (savoir faire, recette, etc… voir avec l’association “du jardin à l’assiette” : La JARRE Écocitoyenne 09.52.17.44.69)

 

Plant greffé aubergine ronde F1 – botanic® – dzprod jardin

Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.