Larve de syrphe sur le pêcher, le 21/04/2014.
C’est un insecte bienfaiteur ! Ce sont les larves qui mangent les pucerons !
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La page wikipédia sur les syrphes pour voir la tête de l’adulte (il n’ferait pas un peu de mimétisme celui-là!)
Larve de syrphe sur le pêcher, le 21/04/2014.
C’est un insecte bienfaiteur ! Ce sont les larves qui mangent les pucerons !
La page wikipédia sur les syrphes pour voir la tête de l’adulte (il n’ferait pas un peu de mimétisme celui-là!)
Sur le fusain bicolore (EUONYMUS fortunei ‘Emerald gold’ ), infesté en 2012, ratiboisé en 2013, réinfecté en 2013
En blanc, exuvie ? Exosquelette de mâles. En noir, la cochenille est certainement encapsulée dans son bouclier pour éviter la déshydratation ? J’ai lu que son bouclier est fait à partir de ses déjections. Les déjections sont cimentées par le liquide anal (certainement proche du miellat ?).
Bonnes pages sur les cochenilles :
Les pucerons. Biens connus. Se confondent avec les spylles.
Les pucerons s’attaquent à presque toutes les plantes. Ils sucent la sève et produisent en grande quantité une substance sucrée et collante, appelée miellat, et sur laquelle se développe un champignon noir : la fumagine.
Il existe de nombreux ennemis des pucerons. Les ennemis de mes ennemis sont mes amis, les « auxiliaires » cités ci dessous sont donc précieux au jardinier pour lutter contre les ravageurs au jardin.. Ces auxiliaires (pour le jardinier) sont essentiellement des prédateurs et des parasites :
Le cliché ci-contre : spylle ou puceron ?
La fourmis, son allié, la protège contre ses prédateur tout en profitant de son miellat.
Voir la vidéo de la coccinelle qui se fait courser (page coccinelle ; page fourmis)
Si on en parle peu aujourd’hui, on en parlera bien plus demain….
C’est quoi l’eutrophisation ? Lire l’article Wikipédia sur l’eutrophisation.
C’est donc un étouffement d’un milieu aquatique, provoquant son assèchement.
Le processus :
La loi de Liebig sur le minimum : Avoir en tête l’image du tonneau où chaque planche est un éléments nécessaire au développement végétal….
Qu’est ce qu’un facteur écologique : Biotique ou abiotique, ils agissent directement sur TOUS les êtres vivants.
L’Anthropisation : Transformation d’un écosystème par l’action de l’homme.
L’Anthropisation et entropie ? L’anthropisation : action entropique, amène du désordre…. Homophonie et presque synonymie, finalement !!!?
Bien que la technique soit récente et liée au monde professionnel du Maraîchage, peut-elle se décliner aux particuliers et aux jardins potagers ?
Comment s’y prendre :
http://www.grab.fr/wp-content/uploads/2010/09/APREL-GRAB_solarisation_122011.pdf
Je vais mettre en place cette technique si :
Avantages : Effet désherbage, pas de toxicité, pas de résidus (donc pas de remise en culture ou temps de ré-entrée à respecter), lutte contre les maladies et ravageurs du sol superficiels (10cm), technique de culture conventionnelle et biologique.
Inconvénients : Utilisation de plastique, mise en place en juillet-août et réquisition d’un espace de culture non productif le temps de la solarisation, libération de Nitrates dans le sol (du à la dégradation).
Comment parer et gérer la libération des nitrates ?
Mon mode opératoire pour la solarisation :
L’article est à développer….dzans le futur avec la mise en place de la technique.
La cicadelle spumeuse ; Cicadelle écumeuse.
L’écume que l’on voit sur le cliché ci-dessus se nomme :
Pour faire simple disons que les excréments larvaires sont à la fois liquides et visqueux , et que les larves en question y pulsent de l’air pour former les fameux « crachats » où elles vont se développer jusqu’au stade adulte. Etant très fragiles et vulnérables, elles y trouvent une très efficace protection contre la déshydratation, et dans une certaine mesure contre les prédateurs. D’autre part, les bulles d’air ainsi formées assurent une indispensable et très efficace régulation thermique
La Cicadelle écumeuse (également nommée : Philène spumeuse) un insecte de l’ordre des homoptères (comme les pucerons, cigales, cochenilles…). Ces insectes se caractérisent par leur mode de nutrition : munit d’un rostre, ils piquent la plante pour en absorber la sève.
Leur impact sur la santé de la plante est plutôt négligeable car la Cicadelle écumeuse vit en solitaire, cependant elle peut parfois favoriser l’apparition de fumagine (une maladie des végétaux causée par des champignons parasites). L’amas de mousse est secrété par la larve, elle insuffle de l’air à ses sécrétions pour former cette redoutable protection qui la préserves des intrus, de la déshydratation mais qui sert aussi de remarquable isolant thermique.
Voir la page très complète : http://www.insectes-net.fr/cicadelle/cica2.html
Sur cette page, observer les cicadelles adultes, que je n’est pas encore pu prendre en photos afin de compléter cet article.
Dans le Jardin :Sur les poireaux, les fraises, …
Achat Leclerc Bollène : 2.18€ -1€ : 1.18€ ; Attention les graines périmes en 07/2015 !
Semis : Mars et Avril, en lignes espacées de 20cm
Eclaicir : Lorsque les premières feuilles apparaissent, ne laisser qu’un plant tous les 10cm.
Récolter : D’avril à septembre.
Nota Béné : Saison 2014 dans un bac bois carré surélevé : ça ne marche pas : trop tôt dans la saison ; les racines sont trop souvent exposées au srtess hydrique.
De plus : difficulté de mettre en place un paillage due au fort vent.
Après paillage, dès que les plants ont grandi,ça marche finalement bien. Semer en 2015, 15 jours plus tard et SOUS SERRE.
Où trouve-t-on ces oignons dans le jardin :
Saison 2014 : Bac Carré Bois Edika (cf cliché ci-dessus)
Saison 2015 : des transplant au niveau du bac L-tronc sont montés en graines. Des graines ont étés semées le 10/09/2015 dans le bac palette surélevé de la bande B du jardin du Loucastarelet.
Suite à la réalisation des travaux autour de la maison en 2013-2014, il a été difficile de prévoir et financièrement et en terme de temps (et faisabilité : canal carpien (Avril-mai2014) la construction d’une petite serre en dur.
Dans cet espace en face de la porte d’entrée du Cabanon, j’avais la faciliter d’avoir un peu d’espace pour y travailler la terre (et le travail de tamisage…), d’avoir un espace d’entreposage: palette d’agglos, les tamis, les plateaux empilables (de Fabrice), les cailloux en attente de transport à la déchetterie ; etc…
Liste :
Le 27/04/2014 : c’est mon anniversaire, 42 ans, la famille vient partager le repas du midi. Tiscott, dès la première minute de visite, a bien pris soins d’amender le romarin d’un gros Caca ! Voilà de l’engrais pour quelques semaines, mais attention l’engrais est frais et risque de brûler le romarin. En tous cas, si le romarin devient majestueux nous saurons pourquoi !!!
Image d’une nouvelle méthode d’amendement concernant la culture de la sauge. Exécutant : Le Docteur Mac’Titi Chaudet (Maître formateur de Claude Bourguignon).
Au 07/05/2014 :
Ma sœur nous a offert un muguet en pot : le voilà en terre.
Le muguet côtoie l’estragon et la tétragone. On y trouve aussi toujours : le pommier greffé, un très beau romarin fraîchement amendé !
Un mois après « le premier amendement », le romarin est splendide. Par contre le muguet est mort
Le 26/06/2014 : Plantation d’un Bambou Fargesia Robusta « Rufa » gagné par Sandryne au repas annuel de fin d’année au boulot.
Le 26/06/2014 : Semis de salades Appia sous serre (cette partie du jardin étant à l’ombre l’après midi, je tente la serre l’été dans l’idée de surtout protéger les salades du grand vent dans cette partie-ci du jardin.
Heu, les salades sont des laitues mais « Appias » ou « Merveille d’HIver », je ne me rappelle plus.
Les salades ont un peu moins d’un mois sur le cliché ci-contre.
Le 08/08/2014 : Etat des salades.
Le 28/08/2014 : Les salades montent en graine… Si les graines utilisées sont bien des graines « Appia », il est bien normal de les voir monter en graine aussi rapidement car il aurait fallu en cette saison utiliser des graines type « Brune d’hiver » ou « merveille d’hiver » qui sont appropriées au semis d’août septembre et Octobre.
Suivre le second essai semis de salade d’hiver dans le pentagone fin de saison 2014.
Au 27/04/2014, on y trouve :
Quelques clichés :
Les fraises sont « attaquées » par la Cicadelle écumeuse.
Voir l’article sur la cicadelle cracheuse de crachats gluants !
Dès le 15/05/2014, plus de cicadelle écumeuse ?
A voir sur cliché : L’abeille prise en plein vol, nous fait Un bras d’honneur ! Comme un « Non aux pesticides » évidant !
Voir d’autres cliché des abeilles : Article « Abeille« .
Voir d’autres clichés sur la sauge en fleur avec Abeille, Coccinelles, Fourmis, Pucerons…. Voir l’article sur la sauge.
Le 04/05/2014 :
Sur le quart de la surface laissée en jachère, je décide de laisser les stolons de fraisiers chercher de nouveaux territoires. Je compte ainsi multiplier mes plants de fraisiers Jojo pour la saison 2014-2015. J’ai déjà les tapis tressés et les feuille de papier pour un paillage biodégradable : manque plus que de nouveau plants de fraisiers !
Au 26/05/2014 : une vingtaine de nouveaux plantules essayent de faire des racines afin de s’ancrer dans la terre. La natte protectrice des plants mères est pratiquement détruite pour permettre aux stolons d’investir la place !
Au 26/06/2014 :
Récolte des dernières fraises des fraisiers remontants. Certains stolons ont séchés sur place brûlés par le soleil ou déracinés par le vents… D’autres tiennent encore le coup. Début Juillet, je les couvre d’un peu de paillage. Il me faudra absolument les déplacés vers un endroit un peu plus à l’ombre, un peu plus frai.
Au 23/07/2014 :
Je décide de raser le carré de la sauge qui a donnée ses graines. Je les garde pour Pierrick depuis la mi-juillet.
Aujourd’hui j’arrache tout. Du quart de place qu’elle prenait il y a 15 jours, elle en prend là un bon tiers ! Stop, de la place pour les stolons de Jojo.
Merci à Sandy pour le tri et la constitution de bouquets de Sauge. Ils sèchent tranquille à l’ombre suspendus et bien rangés sur le séchoir à linge.
Expansion des fraisiers :
Au 30/08/2014 :
Installation de Gouttières réceptrice de la multiplication des fraisiers cultivés en carré potager. Une idée pour dans le futur cultiver mes fraisiers. Les années précedentes, je remarque que les fraisiers souffrent s’ils sont mals exposés. Une installation amovible pourrait être une solution… Les jours de canicule, je place les gouttières à l’ombre. Les jours plus courts, je déplace le dispositif et l’expose au soleil d’avantage.
Une idée : Placer les gouttières en les superposant. Placer un système de goutte à goutte. Incliner les gouttières pour que par gravité le surplus d’eau éventuel en soit extrait. Voilà une façon de gagner en surface de production ! Il faut tester cela !!!
D’abord je rampe sous la maison et tire du vide-sanitaire deux bouts de gouttières restant des travaux de la maison. Prêt pour du « Re-use & recycle ». Avec un cul de bouteille en plastique, du papier carton, une pierre du diamètre de la gouttière et du fil, j’invente un bouchon « stop » de gouttière. Avant de jeter mes anciens balais d’essuis-glace, je les démonte afin de réserver les languettes en métal formant le rampant du balais (arracher la lame du balais doucement). Je coupe à la pince coupante les languettes métalliques. En repliant les petites languettes, cela permettra de coincer les stolons et suivre le long de la gouttière.
Au 30/01/2015 : Les quatre récepteurs sur les côtés du Bac-B sont maintenant bien fournis en plantules de fraisiers. Les stolons sont cassants. Il me faut maintenant repartir les fraisiers ailleurs…. Voir la suite de cette histoire là, dans l’article suivant : Carré B : saison 2015