Suite Chronologique des articles : Bac Cabanon saison 2014 – Création du Bac Cabanon en 2013
Janvier 2015 :
Depuis un paillage avec du bois raméal fragmenté (voir Article sur le sujet), rien n’a changé dans la composition de ce bac d’aromatiques. Seulement une verveine a été plantée. Dans le futur des verveines viendront remplacer les sauges en place.
Achat le 04/11/2012, 14,95€ à moins 20%, encaissé par Julie.
Cognassier Champion : Récolte Octobre-Novembre, Fruit très parfumé. Variété auto-fertile.
Je l’ai un peu tué en semant à la volée de l’engrais en pellet en mai 2013.
Au 08/04/2014 :
Au 08/08/2014 : Amendement et pose d’un pourtour. Ce n’est pas la saison pour apporter de l’engrais ou du compost : mieux vaut attendre l’automne (cf Manu de la Pep).
Au 20/11/2014 : Traitement d’hiver du cognassier au blanc arboricole
Nota Béné : Les branches charpentières du cognassier sont tendues (haubanées) afin d’accélérer la fructification de 2015…. on espère…. !
Au 15/04/2015 : Le cognassier a maintenant deux ans en place. Les fleurs en nombre cette année, se sont ouvertes. Je remarque que celles à moitié closes renferment des bébettes ! J’apprends ce jour quelles ne deviendront pas des copines mais des indésirables « cétoines » qu’il me faudra, à la main, éradiquer chaque matin afin de garantir une récolte. Les cétoines se gavent des organes géniteurs de la plantes… (voir l’article sur le sujet des cétoines).
Le 25/07/2015 : Quelques branches développent du chancre. Elles ont été coupées. Les cétoines ou vent trop violant ? Encore aucun fruit cette année !
Au 15/04/2016 : 1 an jour pour jour par rapport à l’image ci-dessus et toujours les mêmes commentaires : Les cétoines enlevées à la main (avec l’aide de Pierrick !) se comptent par dizaines (150 environ en une semaine !)
Suite à quelques heures de lecture sur le net, je retiens pour l’année prochaine (saison 2016) :
Roma
Petit moineau (porte greffe)
Cobra
Ananas (2.7kg ; 350g)
Galina
Rose de berne (3.5kg ; 180g)
Indigo (couleur, fort pouvoir antioxydant)
Trésor F1
Corazon F1
Achat le 11 Janvier 2015 : Ce bac haut Renata de chez Robin Hood (165.90€, prix plein ; 70% de remise !) ne contient finalement pas beaucoup de terre (seules les 4 premières planches représentent la hauteur en terre). En plein été, il faut impérativement un arrosage journalier !
Mise en place du « Bac Mélèze portillon » le 14-02-2015 :
Le 25/07/2015 : C’est la fin de la saison pour les plants de tomates cerises rouges. Elles n’ont pas données grand rendement mais à la base les plants étaient les plus laids de mes semis que je n’avais pas osé jeter ! J’ai quand même récolté trois bonnes poignées de tomate… pour l’apéro (clin d’oeil à Jean-Claude et Sandryne).
Le Jasmin, n’a pas produit de fleur cette année, il a souffert de stress hydrique et de la compétition avec les trois plants de tomate cerise qui ont eux aussi végété…
Les haricots Moncayo sont plats. Ils mouillent un lit de salade. Gardez les assiettes au frais avant de servir : l’effet rafraichissant de cette salade en sera renforcée !
Provenance et composition de la salade Bio :
Seul, le lit de salade de Batavia rouge vient du commerce…
Assaisonnement : Huile d’olive à la tomate, sel de céleri, poivre du moulin, ail en poudre et des graines de lin broyées.
Quelle chance d’avoir un peu d’espace pour un poulailler…. j’adore les poules.
Pour un peu plus de fun, consulter ce post avec le clip ci-dessous :
Encore un prétexte pour quelques photos souvenirs.
Lorsque je suis au jardin, juste à côté du poulailler, ces coquines ne me quittent pas yeux : Elles savent bien que si je déterre un vers de terre, une limace etc…. je leur jette : c’est alors la bagarre et à la plus rapide des trois !!!! Il y a donc trois poules, une cou-nu et deux rousses.
Je leur amène friandises pour oiseaux du ciel, et des déchets végétaux issus de mon extracteur de jus.
Elles me reconnaissent quand elles me voient arriver…. j’en suis certain.
Juillet 2015 : canicule ! Les poules se font des nids de poules improvisés à l’ombre, sous les double-U. L’endroit est à l’ombre mais aussi souvent arrosé lorsque je change l’eau des abreuvoirs, je vide le surplus aux pieds des arbres. Du coup la terre aux pieds des arbres est fraiche, les poules l’ont vite remarquer…
Merci Sandryne, pour le don de bidons alimentaires de 5 litres.
Premier prototype : Le bidon est coupé en deux dans le sens de la hauteur. On obtient deux récipients d’égale contenance (2.5 litres). Les poules ont tendance à patauger dans le récipient. L’eau est salie très rapidement et la température l’eau devient vite importante dans la journée.
Remarque : les poules lèvent le bec au ciel afin de faire glisser l’eau jusqu’à leur gosier. On pourrait croire qu’elles se gargarisent avec délectation !
Deuxième prototype : Je découpe un des côté à la disqueuse (on évite ainsi de se blesser avec un cutter, couteau ou autres objets tranchants ). On obtient un récipient ouvert de 5 litres. La capacité doublée permet un développement d’algues moins rapide. L’abreuvoir est également plus haut et les poules ont moins tendance à tremper leurs pattes et pourrir l’eau !
Troisième prototype : Le bidon n’est pas découpé mais troué afin d’inclure des tétines (style goutte à goutte : dripping system !). J’ai trouvé les tétines spéciales volailles sur un site Chinois (4.7€ les 10, transport compris !).
Pour moins d’un euro, on obtient un double abreuvoir que l’on peut suspendre à l’ombre.
Je vais installer un abreuvoir près du poulailler (à l’ombre) et un autre sur le parcours (à l’ombre également). Le problème que je suppute et le nettoyage difficile des abreuvoirs-tétine lorsque l’eau virera et que les algues se développeront…. Un autre problème sera d’habituer les poules à s’abreuver avec les tétines. Je placerai les tétines à hauteur de têtes des poules : Voir la remarque faite à propos de l’image du prototype 2. Les poules s’hydrateront avec plus de facilité avec ce système : elles prendrons vite le plis, à mon avis…
Quatrième prototype : Pas encore réalisé, celui-ci répondra au problème du nettoyage des récipients-tétine. Il me faudra découper le haut du bidon sur 4 à 5 cm. Inclure les tétines toujours au même endroit sur le fond du bidon. La partie découpé de 5cm (avec le bouchon) servira de capuchon, retourné sur l’ensemble du système une fois mis en place.
Les poules ont maintenant des récipients assez grands pour ne pas voir l’eau tournée dans la journée ! De plus l’eau est à porter de bec, plus de gymnastique du cou fastidieuse.
Un autre avantage est de pouvoir administrer aux poules un médicaments sous forme liquide, si besoin.
http://www.the-chicken-chick.com/2015/03/fermented-chicken-feed-why-how-in-3.html
En additionnant 0.5% de vinaigre à l’eau :
Pas besoin de déshydrateur ou dessiccateur électrique en ce plein mois de Juillet 2015 caniculaire !!!
Provenance des tomates Roma : Bande A du jardin partagé du Loucastarelet.
1) Préparation des tomates : On peu enlever la peau ou la laisser. Je choisi de l’enlever pour ensuite profiter d’un bon jus de tomate (voir l’article » Jus de tomate de récupération »)
2) Séchage des tomates : Placer les demi-tomates côté peau sur une grille ou une plaque (une grille permet un séchage plus rapide car on double la surface de contact avec l’air ambiant et comme c’est la circulation de l’air qui assèche…). Aromatiser les tomates d’un filet d’huile d’olive, de sucre, sel, sel de céleri, origan, thym. Laisser sécher à convenance. Nota bene : bien saler pour faire dégorger les tomates !
On arrête le séchage lorsque l’on presse une tomate, il n’y a pas de rendu de jus.
On peut poursuive le séchage pour obtenir des tomates bien sèches, ciselées en lamelles, que l’on destinent à la décoration de salades. Taillées en brunoise, des dès de tomates séchées peuvent être incorporées à de la faisselle (façon cervelle de canut) ou un taboulé.
Conditionnement des tomates : En bocaux dans l’huile avec des aromates (branche d’estragon de thym, brunoise d’olive noire, baies de coriandre, ail en poudre, etc…). Il faut prendre soin de bien laver les bocaux et les collerettes en caoutchouc, les stériliser et les sécher avec un chiffon propre.
La vidéo ci-dessous de « Tomates séchées au micro-onde », et une alternative si le soleil n’est pas assez généreux pour un séchage au naturel. La vidéo détaille également le conditionnement. J’aime également la façon de condimenter les tomates.
Il existe également des déshydrateurs électriques mais l’achat impose une rentabilité par un usage régulier.
Pour le fun voir l’article classer dans la catégorie « Récupération et bricolage »sur la dessiccation en bidon de 200 litres et tunnel Modul’O. C’est une troisième façon de sécher les tomates encore plus rapide que les deux autres car un ventilateur accélère le processus de séchage dans la colonne de séchage (le bidon de 200 litres).
Cet article concerne le séchage des aliments. Suite de l’article « Dessiccateur bidon 200l et tunnel de forçage« , cet article propose deux autres techniques alternatives au déshydrateur électrique du commerce.
Un exemple en photo, le séchage en plein soleil de tomates Roma, issue du Jardin partagé du Loucastarelet :
1) Séchage sur la plage arrière de l’auto (65°c intérieur/ 32°c extérieur) en moins d’une journée !
2) Séchage sur la table en ardoise : (je n’ai pas pu relevé la température du plateau car mon thermomètre sature à 70°c !) Température extérieure : 32°c.
Un titre étrange qui appel à la lecture de cet article. C’est un article « Anti-Gaspi » du genre : « je cuisine mes épluchures ». Ici, pas de cuisine : c’est de la transformation (pas de cuisson pour garder les vitamines…).c
C’est un préparant mes « tomates séchées au soleil de Provence« , que me viens l’idée d’optimiser les résidus de conditionnement des tomates. D’une part, je réalise un jus avec les peaux, les pépins et le jus résiduel. D’autre part, je me constitue une banque de graines pour les semis avenirs.
Comme les tomates ne proviennent pas du commerce mais du Jardin du Loucastarelet (Tomates Roma), je les prélève à maturité. La peau s’enlève facilement au couteau. Je réalise un gain énergétique en évitant de faire bouillir une casserole d’eau pour monder les tomates…. Le peu de chaire recueilli malencontreusement au couteau se retrouvera de toute façon dans le jus…. De plus, le choc thermique en mondant les tomates diminue la concentration en vitamines contenues dans la peau. Ici, ce ne sera pas le cas !
Je n’utilise ici pas mon extracteur Huron mais une simple passoire à maille fine et une maryse.
J’obtiens un jus limpide et vitaminé (riche en lycopène (un antioxydant) et vitamine C). Boire ce jus dès sa réalisation, c’est optimiser tout ses bienfaits !
Le bol avec les pépins sera ensuite réhydraté (un demi-verre d’eau) puis laisser 24 heure de côté. L’amorce d’une fermentation permettra d’une part d’augmenter la fertilité des graines vouées aux semis de la saison prochaine et d’autre part de mieux se séparer de la chaire résiduelle.
