Si vous voulez manger quelques fraises dans votre petit jardin, 3 ou 4 plants de fraisiers ne suffiront pas… Mais en jardinerie la barquette de fraisiers n’est pas donnée !Laissez faire le temps en multipliant vos plants par STOLON..
Dans la vidéo ci-dessous, on donne l’astuce d’ancrer au sol les nouveaux petits plants issus du pied mère par un bout de fil métallique….Ne pas planter trop serrés les plants mères pour laisser les stolons tracer au sol à leur guise… 1 mètre en chaque pied mère… c’est bien…
Au bout de 2 ou 3 ans : On peut repenser sa culture de fraise en transplantant l’ensemble de ses fraisiers dans une bande dédiée avec FILM DE PAILLAGE SPÉCIAL FRAISE avec TUYAU MICROPOREUX ou GOUTTE à GOUTTE… là on aura une vraie production !
Mon premier essai (pas concluant) m’a permis de comprendre que la feuille de capucine est trop forte en goût (poivrée et prégnante)… on ne peut pas concevoir une recette aussi concentrée telle que celle que je présente : il faut utiliser la capucine en mélange ou comme condiment !
J’ai pris plaisir pour ce premier essai et visuellement ça en jette : il fallait que je me vante de ce premier essai en créant un article sur mon blog mais ATTENTION, j’avoue : le recette ne plaira qu’à ceux qui on l’habitude de boire des jus vert, type extracteur de jus & jus style “DÉTOX”, pour les plus habitués d’entre nous !
Mon “DEFIE DU JOUR” (ceux qui on la chance d’avoir un jardin et qui ont vécu le confinement du COVID19 en mars 2020, comprendrons ! : Avec l’équivalent de 2 bottes de radis et une visite de mon bosquet aux capucines… inventer une recette.
Autres recette à essayer :
Jeunes feuilles et fleur de capucine “grande de Loebb” pour agrémenter une salade ou une salade de pomme de terre)
Petits rouleaux de feuille de capucine au fromage frais (herbes du jardin). Fermer le rouleau avec un brin de ciboule. Placer une fleur comme déco !
Câpres de capucine (avec les graines nouvellement formées). Il y a des recettes sur le net où la conservation se fait dans le vinaigre. Je vais essayer en lactofermation (conservation en saumure, donc dans le sel + H2o, 15g/l, avec un opercule pour garder les boutons immergés dans la saumure)
Omelette à la capucine (en ciselant simplement quelques feuilles)
J’ai essayé pour commencer de réaliser un PESTO DE CAPUCINE et également une SOUPE de CAPUCINE comme on pourrait obtenir un jus via un extracteur à jus.
Le but de ces premiers essais : En apprendre un peu plus sur la capucine (au jardin : C’est la première à pousser (dès février)… elle attire les pucerons et donc invite les coccinelles à se reproduire en début de saison au potager !!!) ; côté cuisine, jusqu’à présent j’utilisais les fleurs comme décoration de salade.
La fleur est étonnante mais il faut savoir que TOUS EST BON DANS LA CAPUCINE (FLEUR mais aussi jeune FEUILLE (très poivrée), les GRAINES peuvent donner des “câpres de capucine”, j’ai également lu que les RHIZOMES sont consommables (concernant la capucine tubéreuse) !
Quelques liens sur mes recherches que je trouve pertinentes :
Le confinement du COVID19 me permet maintenant de considérer les tas de dalles stockées ça et là depuis juin 2016. Il a fallu près de 4 ans pour en faire quelques chose…
PROVENANT de la RÉCUP : Dalles, Sable jaune, Gravier, Mélange Béton, Bordure de trottoir : Récup des chutes avec l’accord des chefs de chantier lors de la réfection de la descente de la « montée des Oliviers »
PROVENANT du RéEMPLOI : briques réfractaires (provenant des anciens piliers de mon bureau lorsque j’habitais à Pierrelatte) : Elles m’ont servies à faire l’assise de la délimitation de la rupture de pente. Dalles en gravillons : Déjà sur le terrain lors de l’achat de la maison.
PROVENANT d’un don contre un BILLET SPONSORISÉ : un sac de ciment pour join spécial Dallage par PRIMAVERA. L’article n’a pas encore été réalisé !!!
Géotextile : 2m², il m’en restait juste assez pour finir, juste avant la rupture pente au niveau de l’étendoir. 2€
· Le coût du Transport des matériaux est nul car la récup s’est toujours faite lors de mes déplacements primaires au boulot ou au jardin partagé !!!
Ciment : 15% d’un sac premier prix, soit 1€. Les dalles ne sont pas scellées entre-elles. Seule l’assise de la rupture pente a nécessité du mortier (sur les briques réfractaires uniquement mais pas sur le bloc énorme central).
· Hydrofuge : Offert par SOGEBI. Finition afin de protéger les dalles des taches de salissure et effet déperlant (effet mouillé).
Après bien des années d’effort pour passer d’une terre caillouteuse à une terre propice à faire pousser quelques légumes sans aucun traitement : ça paye aujourd’hui.
Nous sommes le premier jour de printemps mais aussi le 21/03/2020 (pandémie de COVID19) avec rappelle au confinement de la population.
Je ne profite qu’une heure par jour pour aller sortir le chien et nourrir les poules au jardin du LOU CASCARELET.
Pour le reste, je profite de mon jardin qui m’offre déjà, plus de 50% de mes repas en ce tout début de saison au potager.
C’est au printemps, alors que beaucoup essaie d’éradiquer les oignons sauvages qui poussent souvent en plein milieu des allées, hors des plates bandes cultivées, que j’ai enfin compris (avec le COVID, on a le temps de réfléchir à des solutions”survivalistes”) que l’on peut consommer ces oignons.
De l’oignons “mauvaises herbes” (-), à l’oignons “trésor de la patchamama” (+) : Wa ! Il fallait que je vous en parle !
Pour bien comprendre le but de cet article, on peut lire en diagonale le sujet d’un forum où de nombreux jardiniers soulèvent le problème de ce chiendent d’oignons ! “Se débarrasser des oignons sauvages“
Je suis parti du constat que les poireaux sauvages arrachés les années antérieures repoussent inexorablement aux même endroits les années suivantes… Se sont les bulbilles des oignons arrachés qui redonnent des oignons encore plus nombreux les années suivantes !!!
De plus, après quelques années, je remarque que très tôt ces nouvelles pousses attrapent vite la rouille… Je ne suis plus un jardinier amateur et j’ai vite appris qu’il ne faut pas faire pousser “ails et oignons” au même endroit (5ans) pour éviter ce risque… De plus, il a fait chaud en ce début mars (à 18°c, le champignon de cette maladie cryptogamique explose !!! Le risque alors de toucher les cultures d’ail et d’échalote voisine est inévitable !!!)
Bref, j’ai fait le tour de la maison et recueillis un bon kilo d’oignons dont je n’ai gardé que le bulbe (débarrasser des bulbilles) et quelques centimètre de la tige. Lors du nettoyage, j’ai pris soin de ne pas jeter au compost les tiges touchées par la rouille !!!
Après avoir sur-cuit le riz dans l’eau et laissé refroidir le tout, je coupe en 4 les bulbes, tronçonne d’un demi-centimètre les tiges et mélange le tout…
ET C’EST TOUT !
Pas de cuisson ni de stérilisation fastidieuse, 7 jours à température ambiante… Conservation : Plus d’un an !
Je me servirai des bocaux de 250ml lors de mes préparation de salade, wok, poêlée de légumes ou chiche ou garniture de sandwiches !!!
CONCLUSION : Les oignons sauvages auparavant jetés, deviennent des préparations riches en goût. L’agradation vitaminique est aussi à prendre en compte ainsi que le bilan carbone nul (comparée à une préparation stérilisée).
De l’oignon “déchet”, on passe ainsi au “bienfait probiotique” !
11/03/2021 : En voulant distribuer à qui veut des blettes du jardin, j’ai ventilé à Ola, DomyRun et Julien D des côtes de betterave chioggia ! C’est Sandryne qui s’est rendu compte du truc…. elle qui a l’habitude de prélever des blettes une fois par semaine pour faire son fameux Gratin-béchamel-thermomix !
18/09/2020 : Nettoyage… les semis de betterave chioggia sont minées et petites… Mis sous cloche un chou kale dans l’angle vers L-Base.
Le 13/05/2018 : Les tunnels modol’o 40 sont enlevés pour laisser place à trois cloches abritant des laitues batavia Amboise (douce et croquante).
24 et 25 Avril 2019 : Réfection de ce bac, changement de 50% de planches pourries. Inclusions de terreau 70l orange de botanic®, compost du Loucascarelet et 3 brouettes de compost DZprod.
08/05/2019 : Repiquage d’un plant de patate douce de chez botanic®
Comment dégrader un énorme volume de feuille dans des composteurs,
RRR : Ré-emploi de draps et tissus au jardin en permaculture,
Monter une pile rapidement en hiver dans un composteur selon la technique de la couche-chaude,
Ne pas jeter ses feuilles mortes à la déchèterie mais développer la vie de son sol potager !
En début d’hiver, une fois que les feuilles sont tombées en totalité à terre et que l’on en a plein partout autour de la maison… il faut bien trouvé un moyen de s’en débarrasser !!!
J’en met une grande partie dans mon triple composteur et j’en utilise aussi au jardin potager pour couvrir le sol pendant la saison hivernale.
Dans la vidéo on montre le ré-emploi de bande de tissus vouées à la benne. Les bandes de tissus en fibre de coton sont employées pour couvrir les composteurs mais aussi pour improviser et parfaire un mulch (un couvert fait avec des feuilles mortes, très peu de crottin frai, et d’autres déchets verts glanés ça et là).
Citre Méréville, gigérine ou encore gingérine, cette courge n’est vraiment bonne (voir excellente) qu’en confiture.
Nous la cultivons dans notre jardin mais cette année, on a eu que de petite citre de 600g à 1.3Kg. L’an dernier nous l’achetions à un Rochefortais dont nous citions le nom sur le pot. Cette année nous avons acheté les citres BIO provenant du local mais chez botanic® à Villeneuve les Avignon.
Notre recette : pour 13 pots de 200ml
2,4Kg de citre en cube de 1cm
0,6Kg de mélange orange et citron passés au blender
3kg de sucre blanc
Cette confiture élaborée à l’atelier DZprod Jardin pour l’association la JARRE Écocitoyenne sera en vente au profit de l’association le 01 décembre 2019, salle Jean Galia à Rochefort du Gard lors du Marché de Noël
NB : Suite au marché de Noël,on note la remarque d’un passant : Ajouté de la vanille, enlever l’albédo des agrumes et peut-être en mettre moins ou ajouter le jus des oranges plutôt que de le réserver pour le boire…. ne mettre que le “flavedo” (le zeste)…
Le cheptel est passé de 6 poules à seulement 2 en Septembre 2019…
Le 29/09/2019 : Achat de 2 poules prêtes à pondre “Coucou de Renne” à botanic® Saint Anthelme (Villeneuve lez Avignon)… Jusqu’à présent nous achetions des poussins que nous élevions “à la main” quelques semaines gardés au chaud à la maison…
Bref, le retour d’expérience confirme le fait que : Entre le nettoyage journalier, l’achat de nourriture spécial poussin et l’installation pas toujours évidente dans la cuisine entre chien et chat (facteur de stress pour les poussins)… on y gagne pas ni en temps, ni en tracas, ni en €uros !!! Mieux vaut-il acheter une poule presque prête à pondre, plutôt que s’enquiquiner avec des poussins…
Par contre on introduit préférentiellement par 2 les poules dans un poulailler déjà habité : les poules plus anciennes, forcément dominante ne jettent pas leur dévolu uniquement sur une seule et malheureuse poule… les coups de becs sont partagés !!!
Souvent les nouvelles poules font “profile bas” les 15 premiers jours… ensuite s’installe la routine… et la cohabitation se fait naturellement : Les plus anciennes se fatiguent… et les nouvelles prennent de l’assurance…
Cette fois-ci, tout est différent : J’ai d’abord été étonné de ne voir que 2 paquets de crottes et pas 4 lors du nettoyage journalier du poulailler… Je viens de découvrir la raison : Les nouvelles poules ne dorment pas avec les anciennes au chaud dans le poulailler !
Pendant que les “Brahma” ronquent dans le poulailler, les “coucou de Renne” ont élus leur couche dans cyprès en lisière de clôture du poulailler !!! Je n’aurais jamais pensé qu’elles puissent voler aussi haut pour se mettre à l’abri et passer la nuit en recherchant une quiétude et une sécurité qui me semble ma foie… relative…
La preuve en vidéo :
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.