Archives de catégorie : Pages de liens – conseils – en savoir plus.
Catégorie dans laquelle l’apprenant jardinier peut trouver des pages de liens (concernant les plantes, le jardin, les techniques et essais de production, etc…).
Si on veut conserver le tranchants de ses outils de coupe, il faut acheter un kit d’entretien (huile et outils d’affutage) qu’il faudra utiliser après un bon nettoyage à grande eau et un essuyage parfait afin de prévenir de toute oxydation.
Le kit d’entretien FISKARS, qualité prix et le plus intéressante : on y trouve un livret iconique de conseils, une lame diamant et un flacon d’huile.
Sur ne net, on ne trouve pas le livret PDF de conseil même sur le site de FISKARS ! J’ai donc décidé pour mémoire de scanner ce livret super bien fait : aucun Blabla (à l’antipode de ce que je fais !!!) que des dessins iconiques porteur de sens et de conseil. D’ailleurs tous les icônes de FISKARS sont super bien faits : j’adore !
Cliquer sur les images pour les agrandir :
Suivant les observations des dysfonctionnement lors de l’usage de l’ outils procéder au nettoyage, l’affutage et huiler votre outils !
Selon votre outils choisir entre le process d’entretien n°1, n°2 ou n°3
Selon votre outils de coupe, choisir entre un angle d’affutage de 25, 30 ou 45° d’inclinaison :
Le 03/07/2018 : Usage détourné de l’huile. Graissage d’un vérin de haillon de coffre de voiture !!!
Si vous voulez conserver le bon état de marche de votre pulvérisation… pensez à en faire l’entretien ! Petits ou grand, votre pulvé nécessite un minimum d’entretien : un nettoyage à grand eau et le graissage des joints.
Suite à l’achat de mon nouveau pulvérisateur “TECNOMA, modèle PURE” qui accepte les recettes de purins, décoctions et autres préparation MAISON, je préfère être très rigoureux dans le nettoyage, l’utilisation et la mise en hivernage de mes pulvérisateurs en employant une graisse silicone spécifique du fabricant (Hozelock, Berthoud, Tecnoma : c’est la même Maison !!!)
Les professionnels, les agriculteurs et tout ceux qui utilisent des produits phytosanitaires ont reçu une formation et obtenus leur agrément obligatoire “le certificat écophyto” et connaissent les recommandations en terme d’usage et de nettoyage de leurs appareils pour le traitement pulvérisé.
Le particulier, quant à lui, est peu informé… et n’a pas reçu de formation… là, je m’éloigne du but de cet article qui est simplement le conseil d’entretien d’un pulvérisateur domestique (achat en grande surfaces et magasins spécialisé tel que botanic®)
Quand entretenir son pulvérisateur ?
après hivernage du pulvérisateur : graisser les joints avec la seringue silicone spéciale BERTHOUD (réf 219374) (quoique l’on utilise aussi le pulvé pour les traitements d’hiver (cf huile végétale pour les fruitiers juste avant le gonflement des bourgeons, afin d’éradiquer les larves hivernantes dans les anfractuosités de l’écorce…),
périodiquement suivant l’intensité de l’usage…
Le graissage des joints permet :
de conserver votre pulvérisateur plus longtemps (si vous le remisez l’hiver à une température supérieure à 5°c, sinon les plastiques et les joints thermo-moulés se dégradent),
une mise en pression optimale,
de faire des économies et préserver la planète (en limitant les rachats par manque d’entretien) !
En plus des joints, il faut également penser (mais cela est évident) à bien passer sous l’eau la buse, le porte-buse, le filtre de lance et l’ensemble de la pompe…
Lier et conduire ses arbres fruitiers à leur palissade ou leur tuteurs et souvent source d’interrogation pour le jardinier amateur.
Cet article propose une idée RRR (Réduire, Réutiliser, Recycler) : la fabrication rapide de lien (0€) et permettant le ré-emploi d’un vieux bout de tuyau d’arrosage percé voué à la déchèterie… et un fil métallique en bobine (vendu en jardinerie, magasin de bricolage ou coopérative agricole)
Solution commercial pour petits jardins : taper “lien tuteurage attache arbre” et rechercher des images dans une recherche Google pour voir les nombreux produits mis sur le marché…
Attache tuteur lien flexible en plastique : les trous de maintien deviennent lâche dans le temps lorsque l’arbre grossi.. il est souvent alors impossible de réemployer le lien déformé… surtout si on achète ce genre de lien à petit prix…. Il faut y mettre le prix sinon ça ne vaut pas grand chose (on ne peut pas le ré-utiliser).
Rizlans : fixation rapide mais à tendance à blesser le tronc ou les charpentières dans le temps. Les frottements sont également préjudiciables.
Ficelle nylon : il faut ajuster d’une année à l’autre l’attache qui fait un tour mort sur l’arbre car sinon la ficelle commence a entrer dans l’écorce…
Fil métallique enrobé de plastique : Blesse l’arbre rapidement ! Si on essai de ré-employer le fil déjà mise en place… l’enrobage plastique se délite et le re-emploi n’est alors pas judicieux…
La plus solide des solution de lien, qui perdure dans le temps, qui est repositionnable et qui est GRATUITE, c’est ma solution MAISON : Une solution R.R.R en ré-employant un bout de tuyau percé voué à la poubelle !
Maintenant qu’on a des liens pour un TUTEURAGE à moindre coût, autant en apprendre au maximum sur le TUTEURAGE en lui-même :
Cet article est la preuve qu’un plant de poivron peut être conservé plusieurs années.
La culture du poivrons est difficile :
semis tardif ou dès mars sous mini-serre chauffée, ou
achat en godet + cloche de forçage (Modul’O 35), en Avril, ou
semis directement en place, en mai… (+ cloche),
Préparation de la terre (compost) + Arrosage contrôlé + paillage…
tuteurage car la plante est fragile et cassante sous le poids des fruits.
Néanmoins, en automne j’ai fait l’expérience concluante de repiquer des poivrons sous serre froide (en ayant profiter d’un hiver assez doux en 2016/2017). L’année suivante de la plantation, j’ai eu un rendement nettement supérieur ! Il fallait donc que je raconte tout cela en image avec une petite vidéo comme preuve par l’image !
fin Novembre, début décembre 2016 : transplantation de trois pieds de poivrons dans la serre froide, (deux mois après, on arrache un pied devenu tout secos, un autre semble souffrir de stress hydrique mais on le garde quand même car on a la place dans la serre). On réalise un bon paillage de l’ensemble de la serre (25cm),
Printemps et été 2017, les poivrons ont soufferts des grosses chaleurs et ne produise que peu de fleurs,
En automne 2017, fort grossissement des fruits (une quinzaine sur le pieds) (de septembre à janvier on cueille 1 poivron par semaine pour agrémenter les salades, soit une vingtaine de poivrons). Ainsi, on rajoute des tuteurs car les branches ploient sous le poids des fruits…
Au 23/03/2019 : Les derniers poivrons de la saison 2018 sont consommés : On en revient pas, les plants, à un mois près, ont presque 3 ans !
Si je devait réitéré l’expérience, je procèderai à la transplantation sous serre fin septembre / début Novembre en réduisant le feuillage de moitié pour que l’énergie de la plante aille à l’enracinement et que l’évapotranspiration soit sous serre relativement réduite…
J’ai trouvé une idée pour facilité une des tâches hivernales qu’est l’amendement au naturel de certaines zones de culture : Utiliser les poules pour épandre son compost !
Oui, les poules en plus de vous donner de bons œufs peuvent vous aider au jardin. Malgré qu’elles aient plus l’aptitude à saccager mes semis et plantations si je ne les surveillent pas lors de mes rituels “lâcher de poules”, mes gallinettes se prêtent parfois aux travaux routiniers au jardin biologique : retourner la terre, manger la vermine, amender le terrain de leurs crottes… et aujourd’hui répartir uniformément du compost sur des zones de cultures !
Le but :
pour les poules : Trouver des vers et les supers larves d’oryctes,
pour moi : L’exploitation animale, j’exploite à fond mes poules ! Heu… ça fait un peu “Mac” ça…
Liens vers des articles connexes :
Cliquez sur les images pour aller sur l’article dédié
J’ai travaillé pour le compte de la JARRE afin que l’association devienne LOCAL GUIDE et puisse référencer précisément ses jardins sur la toile et notamment GOOGLE MAP.
La JARRE Écocitoyenne est maintenant partie prenante et participe à un programme d’amélioration des informations des espaces géolocalisés sur GOOGLE MAP. Ainsi, lorsque je fais une recherche de géolocalisation sur GOOGLE MAP et me renseignent sur un lieu (comme dernièrement par exemple le Moulin de Romanou à Théziers) il est possible de compléter la fiche de l’établissement, y joindre des photos, proposer un commentaire, repositionner au mètre près l’établissement sur le plan, etc…
Exemple de résultat concernant nos trois espaces de cultures, visibles lors d’une recherche GOOGLE MAP ou un ZOOM sur la cartographie de Rochefort Du Gard :
En un mois, juste en complétant la fiche concernant nos jardins et celles des lieux liés aux activités de l’association (Moulins à huile, jardineries, coopératives agricoles, etc…), nous avons atteint le niveau “Local Guide 3”. Nous avons cependant conscience que l’accès à l’échelon supérieur et être félicité par Google pour cela, n’a rien de rémunérateur. Certain local guide (personne physique) pourrait avoir tendance à se prendre au jeu : l’activité devient alors chronophage mais est également du pain bénie pour Google “big brother” !
Servons nous donc de ce statut de local guide sans pour autant “tomber dans le panneau”…
Les samedi à 14 heures, Laurent BRUGIER présente une émission où il est souvent question de “comment consommer autrement”, des jardins partagés, du RRR, du Zéro déchets, de l’impact féroces des supermarchés, etc…
Je ne suis pas aussi engagé mais j’y travaille… J’ai aimé dès la minute 15 le concept du jardin urbain “zéro déchets” tel que celui mis en place au “2 allée du Pébrier, 30650 Rochefort du Gard” (Voir sur Google Map)
L’achat d’un pot de basilic en grande surface, au marché ou en jardinerie spécialisé, ne coute que 2 à 3€.
Bien des personnes ne profitent de cette aromate que 2 à 3 semaines….avant de voir le basilic péricliter et mourir…
Ils ne cueillent le basilic que si besoin. Ils laissent le pot tel qu’ils l’ont trouvé dans les étals. Bien souvent, les gens disposent le pot à l’intérieur de la maison mais trop exposé au soleil (les feuillent se recroquevillent et les tiges se plient). D’autres les gardent trop à l’ombre (les tiges s’allongent et le feuillage ne se développe que peu : vert foncé, il devient vert clair).
Ces gens trouvent naturel que le pot ne perdure que 2 à 3 semaines… et pourtant… un pied de basilic bien conduit vous donne des feuilles en quantité et cela pour toute la saison estivale !
Comment faire pour un rendement de fou à partir de votre achat d’un pot de basilic du commerce :
Après l’achat, observez que le pot contient non pas un seul pied de basilic mais une multitude. Faite une première récolte en coupant toutes les tiges au dessus du troisième ou quatrième étage. Bien souvent cela équivaut à réduire les tiges de plus de la moitié de la motte !
Si vous avez une terrine, un bac ou des pots vacants, de la terre du jardin, du terreau ou une jardinière non encore utilisée vous allez rentabilisé votre achat pour sur !!!
Casser la motte et séparez délicatement les plants de basilic pour les transplanter dans vos contenants !
Il faut faire cela à l’ombre par temps frais car les racines sont hyper fragile. Il faudra ensuite garder les transplants à mi-ombre et pas en plein cagnard !… et surveiller l’arrosage.
Il faudra être patient un bon mois pour pouvoir de nouveau profiter de votre basilic et pouvoir à nouveau prélever de quoi agrémenter salades de tomate ou autre… et si lors de la première récolte vous avez pensé à congeler votre basilic vous ne manquerez de rien pendant ce temps d’attente….
Vous allez observez que les tiges que vous avez réduites vont engendrer 2 rameaux. D’une seule tige principale, on obtient maintenant deux tiges ! On observera dans le temps que ces deux tiges vont s’étoffer… et on coupera de nouveau ces tiges au dessus du troisième étage lorsque ces nouvelles tiges proposeront au moins une dizaine d’étage.
2 à 3 semaines plus tard, on obtient un plant qui s’est renforcé avec, une tige principale, deux tiges secondaires et sur chacune encore 2 tiges tertiaires !!!
Idem, on coupera les tiges tertiaires au dessus du troisième étages lorsque celles ci auront produite une dizaine d’étage…
On note que réduire ainsi le pied de basilic empêche la production de fleurs et donc la montée en graine…. C’est intéressant car seules les feuilles sont destinées à la cuisine….
On conclut donc que si on ne fait rien, on obtient en 2 mois, un basilic tout chétif et qui est montée en graine.
Réduire les plants la première fois, va privilégier le système racinaire à se développer. Les plants seront plus vigoureux.
Si pas de transplantation après achat, les plants meurent tous très vite (trop serrés, le système racinaire comme le système foliaire se gênent entre-eux et entre en compétition).
Au bout de 2 mois après la transplantation, on obtient des plants de basilic bien touffus et volumineux. Chaque plant est alors aussi volumineux que le pot initialement acheté (contenant une multitude de basilic qui étaient en compétition dans ce “petit pot”)
Engrais du commerce + compost : c’est trop !… et cette année encore, je suis déçu.
Un retour sur expérience montre que l’énergie et le temps passé à construire des composteurs et produire du compost n’est peut-être pas la meilleure des solutions si le but est d’obtenir une terre fertile riche en biodiversité.
Le plus judicieux, à mon sens est de déposé sous le paillage les contenus des poubelles de table que l’on jetterait au composteur. Les vers de terre s’en nourriront. Les vers de terre s’y multiplierons, in situ.
Le compost est finalement le résultat de la digestion de tous les organismes qui le produisent. Introduit en terre, c’est finalement donné de la merde à manger aux organismes détrutivores !!!
De la même manière les engrais du commerce, ne donne pas à manger aux organismes qui aggradent la terre du potager.
J’ai souvent eu la main lourde en utilisant ces produits (même lorsque je pensais sous doser les engrais).
Il faut se poser la question de biodisponibilité des éléments nutritifs contenus dans le sol pour les plantes potagères. Les organismes qui produisent ses éléments nutritifs produisent également un substrat (la terre potagère) “well-balanced”, bien équilibré, permettant la bio-assimilation des éléments nutritifs. On ne peut pas espérer cela en utilisant les engrais du commerce même si les dosages en KPN sont en adéquation avec les besoins des plantes…
J’ai l’impression que l’utilisation d’engrais liquide ou en granule en plus de l’amendement avec du compost maison rend une terre potagère saturée. J’ai souvent observé après une utilisation d’engrais que mes plants produisent des jeunes fruits pollinisés qui en une semaine jaunissent sur pied, comme pourraient l’être les fruits non pollinisés.
Compost + engrais : ça ne fait pas bon ménage !!!
Mes essais se sont portés sur la culture en bac, au jardin urbain allée du Pébrier.
Pour les tomates ça passe encore, mais pour les haricots c’est une bêtise de ma part car ils n’ont pas besoin de beaucoup d’amendement (surtout en azote) : le feuillage a vite jaunie.
En ce qui concerne la structure sur-élevée en ballot de paille qui concentre (tomate / melon / cornichon / butternut) l’usage de l’engrais à bruler les fruits naissants ( de melon / butternut / cornichon)…
Je ne sais pas gérer l’utilisation des engrais commerciaux… c’est mon dernier essai, c’est décidé j’arrête !
Comment conserver les légumes du jardin rapidement par la lactofermentation ? Tout simplement en s’inscrivant aux ateliers de l’association La JARRE Écocitoyenne à Rochefort du Gard (association@lajarre.fr)
La lactofermentation est la solution idéale pour traiter les surplus de production au jardin potager.
Faire ses conserves et bocaux est chronophage, c’est la raison pour laquelle les jardiniers amateurs ont tendance à donner les surplus de production à leur famille ou voisins : On ne peut pas être “au four et au moulin”, cultiver, récolter… et faire des conserves !!!!
David des jardins de DZprod propose ses surplus de production lors de ses “récoltes au Kajo” pour mettre en place des ateliers au sein de l’association La Jarre.
Des ateliers conviviaux vous apprendrons à traiter vos surplus de production : Inscrivez vous !
Renseignez-vous auprès de l’association La JARRE Écocitoyenne de Rochefort du Gard : site web : lajarre.fr ; mèl : association@lajarre.fr ; tél (09.52.17.44.69)
Cet article donne une solution, si on a la chance d’avoir gardé les bocaux de grand-maman (style “le parfait”). L’association vous fournira les conseils, le sel, des opercules…
La conservation se fait en saumure (eau + 30g de sel de mer non chloré par litre d’eau minérale). Certains légumes ne demandent aucun ajout de saumure mais simplement l’adjonction de sel de mer non chloré à raison de 10g/Kg (carotte, chou blanc pour faire de la choucroute, etc…).
Les bocaux après une semaine de fermentation sont conservés à température idéale de 17°C. Je les place en cave, au jardin du Loucascarelet :