Archives de catégorie : Pages de liens – conseils – en savoir plus.
Catégorie dans laquelle l’apprenant jardinier peut trouver des pages de liens (concernant les plantes, le jardin, les techniques et essais de production, etc…).
Une astuce si vous disposez de plateau et d’une mini-serre (tunnel de forçage type Modul’O 40 de chez Pouss’vert MV Industrie) : Dès fin janvier, vous pouvez forcer vos semis !
La brique ne sert qu’à créer une sur-élévation pour pourvoir disposer une planche de bois support pour un nouvel étage sur lequel on peut disposer d’autre par 6 de godets !
On peut optimiser l’achat de piège jaune (avec ou sans capsule ou disque aux phéromones) en les nettoyant et en les engluant de nouveau avec la bombe “Glu arboricole” de chez Algoflash Naturasol®.
En plus d’être utilisée pour ré-engluer les pièges à bande de glu, la glu en bombe a un usage dérivé en redonnant une deuxième vie les disques à phéromone.
En effet, le disque à tendance à être souillé très vite car l’effet attractif du jaune attire tous les insectes !!!
Avec un peu de patience on peut alors :
détacher les disques présents sur les cerisiers,
les déposer sur un film plastique étirables,
avec un cutter, on gratte alors la surface afin de se débarrasser des insectes piégés et des saletés (feuilles, pétales, cépales…),
on repositionne le piège dans l’arbre…
on applique un coup de bombe pour redonner du collant au piège.
Et voilà ! On accroit l’efficacité du piège, tout en réalisant des économies substantielles !!!
Forcer des salades, on sait que c’est très efficace. Utiliser des cloches de forçage Modul’O 35 pour individuellement obtenir une super salade de compétition : nous avions fait un article sur le sujet. La cloche individuelle à l’avantage de pouvoir être posée ça et là dans le jardin et occupé un espace vacant qui vient de se libérer par exemple.
Aujoudr’hui, on parle du tunnel Modul’O et de monoculture en ligne : pratique pour produire un rang de salade pour soi, la famille, les voisins… car lorsque les salades sont assez grosses pour être dévorées, il faut trouver les bouches pour les manger !
Voici comment conduire au mieux vos laitues de la graine à la graine :
semer les graines en terrine dans une mini-serre Calipso (au bout de trois semaines / un mois, on est prêt pour le repiquage (sous cloche individuelle Modul’O 35 et/ou sous tunnel Modul’O 40 (un rang) ou Modul’O60 (2 rangs en quinconce),
repiquer les laitues en lignes espacées de 20 cm (si on a semer trop dru et que l’on a trop de semis de salade) ou espacer alors de 30cm pour avoir un espacement optimal,
arroser abondamment à la plantation,
puis arroser sur le dessus du tunnel par les alvéoles prévues à cet effet (ce type d’arrosage marche bien sur le dessus jusqu’à ce que les laitues prennent 10/15cm d’envergure),
les arrosages suivants, je les pratique en arrosant le pourtour extérieur du chassie : C’EST LA GROSSE ASTUCE, pour ne pas voir les salades pourrir dans le futur lorsqu’elle auront pris du volume !!! En effet, je n’ouvre jamais mes tunnels Modul’O40, seulement pour couper une salade. Un arrosage en périphérie suffit car les salades ont des racines pivotantes qui iront chercher l’eau 30cm autour d’elles… de plus l’humidité intérieure sera relative (moindre que si on arrose sur le dessus une fois que les salades sont devenues belles…). Pas de risque de les voir pourrir si un beau rayon de soleil pointe son nez !!!
Une autre astuce est d’alterner le type de laitue : visuellement ça le fait au démoulage du tunnel ! (preuve en image). J’en profite pour inviter alors mes voisins venir couper leur salade dans mon jardin.
Une dernière astuce est de ne pas hésiter à nettoyer la laitues de ses feuilles salies, au contact de la terre : les poules du voisinage ou les tortues du coin seront ravi de ce don !
J’oubliais : couper à raz laitues et salades, ne jamais arracher la racine pivotante. En plus de ne pas souiller vos laitues à emmener en cuisine, un trou d’aération naturel se fera lorsque la racine pourrira sur place. Aération de la terre potagère et repas tout trouvés pour les lombrics : 2 gros bénéfices permacole à ne pas négliger !
Au bout de quelques années, on réalise qu’une cuve de 1000 litres sur-élevée sur des palettes de récupération, n’est pas la meilleure solution :
la palette de base (au sol) a tendance à se détériorer sous l’effet de l’humidité du sol est des champignons xylophages,
il faut un nombre important de palette car il est rare de trouver des palettes de 1m par 1m20 (les dimensions d’une cuve “tonne à eau”.
Ma solution pour 14€ environ (ou 0€ si récup !) est de rehausser la cuve de 40cm grâce à l’empilement de 2 rangs d’agglo de 20/20/50 (0.95€/unité, Weldom, 30133 les Angles). Un petit travail de terrassement est nécessaire afin d’obtenir une surface la plus plane possible (Outils : Réglette + niveau à bulle + quelques sauts de gravier fin) :
ITEM 2, sur la photo : Le choix de monter la cuve à une hauteur de 2 rangs de parpaings (2 fois 20cm, soit 40cm de haut) est de pouvoir ainsi alimenter un arrosoir rapidement mais aussi d’avoir un minimum de pression pour remplir un fût de 200 litres, via un tuyau d’arrosage connecté à la cuve.
ITEM 1, sur la photo : Le choix de monter la cuve du fond sur 4 rangs est de pouvoir créer un trop plein qui au choix, alimentera la seconde cuve ou alors sera conduit à l’évacuation !
Voilà un petit historique de la récupération d’eau de pluie “Édika” depuis les pentes de toit de mon voisin : Là, pour 20€, l’entreprise forestière “Donnadieu” de Domazan m’a vendu 4 plots en bois de bon diamètre. Cuve vide et avec grand vent, la stabilité de l’ensemble est suffisante mais il me faudra réflèchir à l’avenir de cet édifice… la cuve commence à fuir car la vanne présente une petite fissure… (nota bene, la cuve repose sur des chevrons mais le milieu de la cuve n’est pas soutenu… ce qui peut-être crée des tensions et cause une dégradation accélérée au niveau de la vanne ?)
Historique :
Avril 2014 : Récupération directe dans un récupérateur de 300l dont le trop plein alimente un bidon de 200 litres qui lui-même alimente un autre bidon. 700 litres au total.
Novembre 2014 : 1000 l dans une cuve “tonne à eau” posée au sol,
Septembre 2014 : La cuve est sur-élevée sur des palettes… La surface au sol nécessaire à ce dispositif est trop important, et on ne peut rien stocker sous ce genre de rehausse…
Novembre 2014 : La cuve tient sur des chevrons posés sur 4 énormes bûches.
Nota bene : Je remarque que mes cuves achetées d’occasion ont une durée optimale d’utilisation de 5 ans environ. Les vannes on tendance à fissurer… Avant de ne plus pourvoir actionner le système d’ouverture/fermeture, je garde la cuve en position fermer et je m’en sert comme réserve d’eau. (Je puise dedans avec un vide cave et n’actionne plus la vanne…)
Avec les années, je me suis aperçu que la menthe à tendance à être envahissante… Elle peut prendre 2 mètres en tout sens chaque année !
Fort de ce constat et ayant trouvé en jardinerie des variétés de menthe intéressantes (menthe citron, menthe ananas, menthe chocolat, menthe pomme, menthe fraise), je décide 3 choses :
trancher chaque plant en 2 parties,
une partie ira agrémenter le jardin urbain aromatique du Pébrier (voir l’article à ce sujet et l’accueil de ces menthes dans les bacs F1 à F5),
l’autre moitié sera planté au jardin de DZprod directement dans les allées, sans prendre de la place dans les bacs de culture !
J’ai ensuite appris que certaines variétés était plus traçantes que d’autres… nous verrons bien !
Les semences colorées et la boîte présentant un semoir intégré font la spécificité d’Algoflash ! Nous testons ici des semences pour un gazon spécial terrain sec et ensoleillé.
S’il a fallu prendre beaucoup de temps pour enlever les adventices, les cailloux, les racines… et faire propre le terrain… le semis a été un jeux d’enfant !
Le but recréer un gazon sur une parcelle de terrain envahie par du chiendent !
Super satisfait de ses semences, j’en ai fait une vidéo :
Bref, que des avantages pour ces semences de gazon spécial terrain sec !
Cet article compare les caractéristiques d’un terreau ALGOFLASH dont le cahier des charges est respecté dans le but de faire ses semis, ses boutures ou ses repiquages des semis en godet.
Le terreau Semis et bouturage ALGOFLASH est comparé à un autre terreau Rempotage Plantes vertes et plantes fleuries.
L’essai fait l’année dernière de stérilisation de la terre utilisée pour les semis n’a pas été concluante (chronophage, laborieux et peut-être contre indiqué s’il on considère que la terre peut certes contenir des pathogènes mais aussi des mycorhizes et autres complexes argilo-humiques, bactéries et champignons bénéfiques à la vie du sol et au bon développement de la futures plantules…).
L’année dernière on avait mis les graines directement en godet, cet année nous allons les semées en terrine (en utilisant les croisillons modulables d’une première serre Calipso), puis nous repiqueront les plantules en godet que nous forceront dans une deuxième serre calipso ou sous tunnels Modul’O 60.
Vidéo des godets sous cloche dans la mini-serre Calipso :
On va prévoir également de moins garder les godets sous serre calipso mais de les intégrer puis rapidement sur place au jardin en les gardant sous cloche individuelle (cloche Modul’O 35).
Vidéo de semis gardés sous serre Calipso :
Pour mémoire : Les semis de 2016… Il me reste pas mal de graines de 2016 et j’espère que les graines seront bonnes cette année encore. Notons qu’en 2016 les godets avaient été gardés sous serre Luna+ au jardin partagé et l’arrosage avait été aléatoire… Avec les serre Calipso devant la porte d’entrée de la maison, je peux jeter un coup d’oeil plusieurs fois par jour à mes semis… Plus de stress hydrique. D’ailleurs avec la réserve d’eau (super bien pensée par MV Industrie), on peut faire “trempé” les godets, qui par capillarité, ne manqueront jamais d’humidité !!! De plus, si les soirs sont froids, on peut toujours très facilement, remiser la serre calipso à l’intérieur !!!! Ce que l’on ne peut pas faire en plaçant ses semis sous tunnels.
Essai 2015 : Sous tunnel Modul’O 60.
Essai en 2016 : Dans la serre Luna+
Essai en 2017 : Sous cloche de la mini-serre CALIPSO et un mix de terre de jardin thermolysé et du terreau pour semis botanic®.
Essai en 2018 : Je vais attendre une quinzaine pour la session 2018 : Sous cloche dans la mini-serre Calipso puis repiquage en godet forcés également dans la calipso… puis transplantation rapide en terre mais sous cloche Modul’O 35… avec uniquement du terreau Algoflash spécial semis bouturage et repiquage contenant uniquement de la perlite et des sphaignes.
Apprendre à utiliser l’outil de création de carte géolocalisée de googleMap,
Lister les partenaires de l’association La JARRE Écocitoyenne concernant le Jardin, le potager et les matières premières pour la création d’espaces de culture,
découvrir les coopératives agricoles, ce qu’on y vend et l’intérêt “grand public” de se fournir chez eux.
Cet article a été l’élément déclencheur pour enfin se pencher sur la réalisation de carte géolocalisée dont voilà la première ébauche, une contribution pour l’association la JARRE Écocitoyenne de Rochefort du Gard !
Code couleur : Bleu (les coopératives agricoles), en vert (les jardineries), en marron (les jardins urbains, partagé et de particulier de l’asso), en jaune (les partenaires concernant le jardin)
Un lien trouvé sur googleMap concernant la liste gardoise des coop agricoles :
Trop arroser induit un système racinaire de surface !
Étude cas : une pelouse vieillissante envahie par du chiendent.
But : Le semis d’une nouvelle pelouse.
État des lieux : La pelouse se trouve aux abords d’une piscine. En plein soleil, les semences pour refaire la pelouse seront donc choisies en fonction de ce paramètre. La surface engazonnée de 50m² profite de 5 asperseurs et d’une irrigation journalière en plein été.
Constat après un carottage sur 25cm de profondeur :
Les racines du chiendent ont pris possession des 5cm de terre noirâtre laissant une terre hyper compacte plus en profondeur (terre de couleur beige claire). Les éléments nutritifs se concentrent en superficie : la couche arable est peu profonde (1). La couche mois riche (2) est très compact. La présence de turricule dans la couche (1) est peu importante voire inexistante : cela prouve que cette couche de sol est délaissée par les lombrics de surface. On trouve cependant quelques lombrics de gros diamètre (lombrics de profondeur) mais les galeries sont très peu nombreuses.
Conclusion : Afin de réaliser un nouveau semis pour une pelouse “spécial terrain sec et ensoleillé” il faudra :
bien extirper les adventices (qui se résume aux chiendents),
à la grelinette, ameublir le sol en laissant la couche superficielle (de 5cm) riche en éléments nutritifs sur le dessus,
nourrir la terre avec un apport de compost (sur 10cm au moins)
Bien arroser les 2 premiers mois lors du semis… et ensuite plus modérément afin d’induire un développement racinaire plus en profondeur,
Tondre la pelouse une fois bien implantée, régulièrement.
Conseil : arroser un bon coup 1 fois, plutôt que modérément plusieurs fois.
Ainsi la terre ameublie en profondeur ( action mécanique par la grelinette + bon arrosage) sera propice au développement racinaire. L’enfouissement de compost incitera les plante à aller cherche leur nourriture plus profond. On espère ainsi que la couche noirâtre preuve de richesse du sol sera dans le futur au moins doublée… et que les lombrics et la vie du sol en sera augmentée.
Les MOOC sont des cours en ligne sur une plateforme d’apprentissage… gratuit !
Quoique l’on puisse faire des dons, cet outil est gratuit. Les cours permettent de changer sa vision du monde en nous donnant les outils pour devenir acteur du changement.
Cette page est un “reminder” des vidéos intéressantes. Mon premier module de cours pris sur le tard est la conception en permaculture. Ah, le grand mot médiatique ! Souvent réduit à la conception d’un carré potager, la permaculture est pour moi, une philosophie de vie !
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.