Achetée 22€ à la place de 44€ (Black Friday, à botanic®, le 24/11/2017), en attente depuis cette date (stockée dans le bac Edika’s portail), la vigne est mise en terre le 01/01/2018, comme pour fêter la nouvelle année !
La vigne présente trois charpentières palissées sur 2 tuteurs de 80cm de haut.
On a scanné les conseils de soins et de taille suivant :
Plantée à seulement 1 mètre de l’autre pieds de vigne, j’ai fixé les tuteurs à une nouvelle treille (récup botanic®). Chacune des 2 vignes seront conduites vers leur pan à couvrir spécifique : s’il y a compétition, se ne sera qu’au niveau racinaire… On verra.
Sinon, la littérature donne 4m de séparation entre 2 vignes grimpantes.
Mise en terre le 27/11/2017 au jardin urbain du Pébrier :
Tuteurage et tour d’arbre effectués le jour même (non visible sur le cliché ci-dessous).
Nota béné : L’investissement d’un demi-tige plutôt qu’un abricotier en forme “gobelet” est plus important… Nous avons fait ce choix afin de pouvoir circuler autour de l’arbre plutôt que de devoir le contourner systématiquement lorsque l’on navigue dans le jardin urbain !
Mort de l’arbre en aout 2020. Il a eu le temps de me faire 5 abricots en 3 ans !
Le 24/09/2020 : je m’aperçois que l’abricotier est encore sous garantie jusqu’en 23/11/2020 ! Merci, à Sabine de botanic® de m’avoir rassurer sur la garantie de l’arbre. Ahhhh botanic®, la jardinerie préférée des Français (compétence et garantie sur les plantations… en plus de conseils sur les végétaux… certes la jardinerie à la fausse réputation d’être un poil plus cher que la concurrence…. mais lorsque on compare la qualité du service : Y’a pas photo. botanic® joue vraiment le jeu en proposant 12 garanties réparties sur l’ensemble du magasin !
Sans cela, depuis que je suis client, je n’aurais pas eu de retour sur les 2 fruitiers double U et cet abricotier !
Oui, grâce à l’association La JARRE Écocitoyenne, Rochefort du Gard se dote de son huile d’olive Bio ! (Commande possible ICI)
La première semaine de récolte sur les arbres des adhérents a donné 29Kg d’olive, soit 4,3 litres d’huile d’olive.
La deuxième semaine (arbres communaux et de particuliers tous non traités) la récolte de 109Kg a donné 20 litres.
Les olives n’ont pas été mises dans un pot commun (palox de 350KG). Le moulin de Romanou à Théziers propose de presser ses propres olives pour obtenir sa propre huile, dès 100Kg de récolte. Le but de l’association est atteint : nous avons obtenu notre propre huile que l’on peut considérer BIO !
L’huile est en vente au profit de l’association afin de pourvoir aux achats de filet, panier de récoltes ventraux et autres peignes pour faciliter la récolte… Mutualisons les outils de récolte, créons un pot commun et produisons une huile Bio Rochefortaise… ensemble !
Devant l’engouement de l’huile d’olive communale, La JARRE Écocitoyenne a instauré une pré-vente, afin de répondre aux attentes de chacun.
04/04/2021 : Relevé de prix concernant le phosphate diammonique.
Utilisation
Quantité
Prix
Nombre de Piège
Nombre d’arbre (4piège/an)Mai-Juillet-Septembre-
1
1 Arbre
4 sachets de 40g
9€95
4
1
2
Voisinage
Sachet de 1,5 Kg
13€80
30
De 6 à 10 arbres
3
Inter-associative
Seau de 5 Kg
28€
100
De 20 à 60 arbres
4
Inter-communale
Seau de 25 Kg
97€98
500
Environ 150 arbres
Usage pour 1 arbre / an / adhérent
Usage pour traiter les olivier de la rue : 1,5 Kg : 13€80 (soit 18€70 / Kg) : Environ 30 pièges (le but étant de produire 100Kg et de créer la cuvée “du Pébrier” hyperlocale !
Usage Inter-associative (pour répondre au besoin de l’ensemble des adhérents. 5Kg : 28€ (soit 5€6 / Kg) : Environ 100 pièges
Usage inter-communale (pour répondre aux besoins de l’ensemble des Rochefortais : 25 Kg : 97€98 ( soit 3€92 / Kg) : Environ 500 pièges. (campagne sur les réseaux sociaux et vente dominicale) Vente à 2 euros le piège comprenant une bouteille avec 2 doses (soit 300 bouteilles avec 80g pour un litre d’eau et 300 bouteilles convertis en pièges (trouée de 4 à 5 trous de 4mm de diamètre + bande jaune + ficelle accrochée au bouchon + manu-faction (lors d’un atelier dédié) : 2€ le lot (piège + bouteille contenant le produit (80g/l)
La CAPL Remoulins
2017 : Vous voulez faire des olives de bouche mais vos arbres ont toujours eu tendance à produire des olives piquées par la mouche de l’olive… Cet article propose des solutions pour lutter biologiquement contre la mouche de l’olive.
La solution la meilleure est la synergie d’action du piège PDA (piège OLIPE) et de l’attraction d’une capsule de phéromone et une pulvérisation d’une argile au kaolin.
Vu le cycle de la mouche (3 à 4 générations par an), la lutte est à renouveler toute au long du stade de développement de l’olive (de juin à Octobre).
Le Piège OLIPE : Photo – lien wikipédia -coût faible – DIY & RRR – à base de PDA, sel d’ammonium phosphorique (prévoir 1kg de sel pour traiter tout le quartier, 5 pièges, 120 à 150g par piège / an, renouvellement tous les mois, 35g par piège / mois (pour 3/4 de litre H2O dans la bouteille RRR de 1,5l ). Achat en coopérative agricole ou au moulin. (voir avec cave castelas? & Soulier Éric)
Le piège à phéromone : coût important (achat en jardinerie à botanic®) car à renouveller également dans la saison mais il est interessant à en mettre un pour observer le début de l’attaque des mouches…
Pulvérisation de poudre de silicate d’aluminium (kaolin) ou argile blanche calcinée : (NB marche aussi pour lutter contre le carpocapse de la cerise et la psylle du poirier, prunier, pommier !) Voir site Ephytia. Mettre un masque FFP2 (poudre), appliquer par vent faible. Traitement à renouveler chaque 1 à 3 semaine (voir dose, application, pulvé etc… 30€/5kg…). NB : Le kaolin est un produit foliaire utilisé contre les coups de soleil aux vergers des agrumes (cela aurait fait du bien doublement à mon poirier William cet été 2017 !!!)
Cet article est un lien vers le site de l’association La J.A.R.R.E à Rochefort du Gard concernant l’optimisation des récoltes des olives sur la commune.
En effet l’association la JARRE a reçu l’autorisation officielle de pouvoir récolter les olives sur le domaine municipal de la commune de Rochefort du Gard.
Pour participer aux récoltes : Tél DavidZ : 09.52.17.44.69 ou 06.52.33.89.70
Le lien ci-dessous permet aux adhérents désireux de participer à la collecte des olives d’ajouter facilement cet événement à leur Google Agenda :
Mutualisation d’outils pour la récolte :
peigne à olives
filet à olives 6m par 6m avec ouverture centrale,
sauts, kajo®, panier de récolte abdominal, etc…
Idées à mettre en place :
communication à mettre en place sur l’évenement “collecte communale par le biais de facebook, visuel double A3 kakemono et affichage public via les panneaux dédiés aux associations (cf service des associations),
liste des adhérents possédant des oliviers et qui cherche de l’aide pour la cueillette,
liste des Rochefortais possédant un olivier et qui ne procèdent généralement pas à la cueillette (don des olives ou conditions à mettre en place par un accord papier)
Répertoire géolocalisé GOOGLEMAP des oliviers de la commune dont l’association à l’autorisation de valoriser (valorisation du patrimoine non-exploité, lutte anti-gaspil)
Liste des Moulins avec les conditions et coût de trituration mécanique,
Édition d’un rapport d’activité et diffusion (Mairie, adhérents, facebook, web et Presse locale)
Liens vers des sites pour faire ses OLIVES DE BOUCHE :
NB : L’année prochaine, glaner les olives vertes dès le mois de septembre afin de confectionner les olives vertes de bouche. Les olives noires sont d’avantage attaquées par la mouche de l’olive dont 5 génération peuvent se succéder dans la saison ! Ainsi dès la floraison, il faudra disposer des pièges à mouches (PDA : un sel d’ammoniac NH3 et d’acide phosphorique H3PO4 : phosphate diammonique, (NH4)2HPO4) et pulvériser à l’argile kaolinique (taille 10mm). Cf site de l’Afidol (organisme qui prend d’ailleurs 0.14€/Kg de taxe au moulin).
Au 24/10/2017 : Une première récolte de 8 arbres (3 au Loucascarelet, 1 au n°1 allée du Pébrier, 3 au n°2 allée du Pébrier et 1 au n°7 allée du Pébrier) : 29Kg apportés au moulin de ROMANOU à THÉZIERS (Itinéraire GOOGLEMAP)
J’essaie d’éviter d’avoir des chats dans le jardin potager… mais ma femme les invite !
En effet, j’observe les chats (les 3 nôtres et leurs potes du quartier !) tantôt chercher une couche pour la farniente au soleil, tantôt creuser un cabinet de toilette improvisé, tantôt organiser un terrain de chasse pourtant en “propriété privé”, en plein milieu d’un rang de semis fraîchement aligné au cordeau…
Lutter contre les ravages des chats, j’y ai réfléchie longuement et tenter bien des choses afin de inciter à aller “jouer ailleurs”.
Ma femme (qui sera une dame aux chats pour sure sur ces vieux jours) a finalement opté pour une solution ma fois diamétralement opposée et dont j’étais à mille lieux de penser : Plutôt que de les chasser, attirons les ailleurs !!!!
La solution : Vous la trouverez à BOTANIC, à gauche de la cabane des pépiniéristes au niveau des plantes vivaces en godets.
NÉPÉTA : ce n’est pas le nom de notre dernière chatte mais celui d’une vivace que l’on appelle herbe aux chats !
Cette herbe attire les chats et pour ceux qui possède le gène récessif “cannabique” : ils deviennent fada au contact de cette plante entre autre florifère, aromatique et mellifère !
Idéale en association avec des œillets, gypsophiles nains et millepertuis, elle s’utilise en massifs.
Distance de plantation : 50cm.
Nota bene pour Madame qui en fera l’entretien : Chaque printemps, au démarrage de la végétation, enrichir le sol en surface avec du compost ou du fumier. Arroser régulièrement la première année de plantation. Rabattre légèrement après floraison pour densifier la plante et également au printemps.
Pour en savoir plus sur les plantes “herbes aux chats” qui rendent les chats tout foufou (lien Wikipédia)
Les chats font le buzz sur le net… alors vous aimerez certainement ces ARTICLES CONNEXES concernant les chats aux jardins de DZprod :
Dans le temps, on séchait les quetsches doucement dans le four à bois…. Aujourd’hui, on peut les faire sécher au déshydrateur. Pour les utiliser ensuite, il fallait les réhydratées… (cf vidéo des “carnet de julie”, pour le fun)
Lorsque la récolte est importante, on peut faire des confitures, congeler quelques kilos mais aussi les conserver en bocaux dans leur jus…
Cette article se veut proposer une solution rapide pour conserver rapido quelques kilos… sans prendre de la place dans le congélo… sans travail fastidieux (pas de sirop à préparer).
La vidéo ci-dessous donne quelques astuces pour le dénoyautage et la mise en cocotte des bocaux : Utiliser une paire de ciseaux en coupant le quetsche de biais et le noyau sera extrait sans effort ! Utiliser des chiffons dans le fond et entre les bocaux évite les chocs lors de la stérilisation…
La conservation rapide et simple : Stérilisation rapide dans la cocotte minute.
Dans cette vidéo ci-dessous, le pot est gros : laisser alors une vingtaine de minute après le sifflement de la cocotte. Sinon, dans de petits pots : arrêtez la cocotte dès le sifflement puis laisser reposer jusqu’à refroidissement.
Les maladies observées sur mes poiriers cette année 2017, sont relatées dans la vidéo suivante, présentant la rouille grillagée, la fumagine et le coup de chaleur de juin 2017.
Chaque année, durant l’été, des tâches oranges apparaissent sur les feuilles de mes poiriers. Ensuite, au revers de la feuille, des tumeurs véruqueuses se développent. Enfin, (mi-Aôut, fin d’été) des excroissances coniques sur les tumeurs libèrent des spores… Les poiriers ont chopé une maladie crytogamique : la rouille grillagée.
Je pensais initialement que cette maladie cryptogamique était d’autant plus virulente si on arrose trop son arbre. Du coup je n’ai presque pas arrosé les doubles-U. RÉSULTAT poiriers ont souffert d’un manque d’eau et j’ai retrouvé pas mal de feuilles sèches sur l’arbre.
Juin 2017 a été un mois record (record de chaleur)… De plus, les doubles-U, ont été plantés le long de la longrine du mur, côté “Allée de Provence”, par une entreprise paysagiste, mais les trous de plantation étaient bien trop petits : Les racines n’ont trouvé que peu de place. Ces deux facteurs, ont provoqués un coup de chaleur, surtout sur le poirier pourtant le plus à l’ombre du mûrier platane… (j’avais réduit une charpentière l’hiver dernier). La sècheresse apparente gagne (au 19/07/2017) la moitié de ce double-U mais également la charpentière du poirier double-U, de gauche.
Je pensais les feuilles malades mais je n’ai rien vu sur le Net, à par des clichés identiques parlant de coup de chaleur :
NB : la température a grimpé à 37,2 degrés lundi 12 juin, en Avignon, un record ! Alès, la ville la plus chaude de France, en juin 2017… et moi qui ait voulu pas arroser !!!
J’ai trouvé des vidéos complétant mes observations cette année :
Conseil pour limiter les maladies sur mes fruitiers pour mémoire :
L’an prochain, je vais redoubler d’effort sur les points suivants :
Automne, après la chute des feuilles : Ramasser les feuilles, nettoyer le pourtour de l’arbre (le sol clean !).
Anti maladie d’hiver (tuer les œufs d’insectes à base d’huile végétale (huile de lin) ou de chaux (blanc arboricole mais il est conseillé de ne pas l’utilisée tous les hivers).
Avant l’éclatement du bourgeon : bouillie bordelaise. Après fructification : pièges aux phéromones.
Bouillie bordelaise : Mode d’emploi, faire sa bouillie bordelaise soi-même :
Pourtant cette année, je m’étais donné du mal, mais il faut savoir que si on a des genévriers dans les environ (et c’est le cas pour moi avec la garrigue et les jardins de particuliers tout autour de chez moi… il y a d’ailleurs “l’allée des genévriers à Rochefort du Gard” pas loin du tout.
Pour une bonne récolte voilà le travail fait cette année (et l’hiver dernier) :
Piège phéromone (une seule pose (en Avril 2017), j’aurais renouvelé le piège (2 fois) car il ne dure que 4 à 5 semaines… s’eut été mieux !…. Pour l’instant (mi-juillet) je ne note pas de trous dans les fruits…. en espérant qu’un seul piège suffise….
Les feuilles malades avaient été ramassées… mais les genévriers environnant (vecteur primaire de la maladie) m’amèneront toujours la rouille grillagée…d’une année sur l’autre…
On résume les 3 facteurs pertubateurs d’une récolte réussie en 2017 :
Remarque : les pommiers ne sont pas attaqués par la rouille grillagée du poiriers. Ils peuvent choper la rouille grillagé également mais ce n’est pas le même champignon…
Le cognassier : Idem, il chope la rouille grillagée et comme le pommier, le champignon est spécifique. Par contre, contrairement aux poiriers, le cognassier présente la maladie sur les feuilles mais surtout sur les coings qui stoppent littéralement leurs croissances. Je n’ai à ce jour encore pas récolté de coing…
La taille en vert des fruitiers doubles U, gobelet, demi-tige a été faite mi juin. Mi Mai à début juin, c’eut été mieux ! La taille de forme en nov 2016 a produit ses effets. Il y a de nombreux fruits. Les fruits doivent être réduit en nombre. (cf image mise en avant de début décembre 2016)
Remarque pour mémoire :
Taille de forme et taille trigemme : fév/Mars.
Taille en vert : Mai/juin.
Le biseaux tranchant du sécateur côté tige restante, à un demi centimètre de l’œil.
Tailler les rameau à bois à 2 feuilles (dès qu’il y a 4 feuilles).
Pommier : 4/5 feuilles des bois de l’année. couper les gourmand au niveau des charpentière horizontale (ceux qui monte à pic). Couper 2/3 feuilles après une bourse portant des fruits.
Poirier : 6/7/8 feuilles (8 feuilles si rameau très vigoureux ; 6 feuilles si pas vigoureux)
Plus le segment de coupe est petit mieux c’est (maladie moindre, bourrelet cicatriciel se referme plus vite) c’est pour cela que la taille de forme est préférée en mars (au sortir de l’hiver qu’en entrée) ?….
Vidéo présentant le travail de taille en vert à faire. Noter un grand nombre de bois de l’année partant de la charpentière seront de nouveau coupés à trois feuilles en mars prochain. La taille en vert permet ici de concentrer la sève dans les rameaux portant les fruits.