Leçon de taille de l’olivier rien que pour moi !

J’ai beaucoup de chance que l’on puisse m’accueillir comme cela : apprendre la taille des oliviers avec les savoirs et savoir-faire d’un professionnelle de la taille !

En effet, j’ai été convié par Mme Nathalie Serrano qui travaille pour un propriétaire-récoltant Marc RENART, possédant près de 4000 arbres (domaine La Font de Jean Blanc).

Remerciements donc à Nathalie Serrano qui a la double casquette :

  1.  de s’occuper des arbres en production du Domaine oléicole en Agriculture Biologique, de Marc RENART (producteur d’olives du domaine La Font de Jean Blanc, sur 9 communes situées entre Castillon du Gard et Sanilhac en passant par Collias (lieu du Tournage),
  2. mais aussi de la fabrication de l’huile au Moulin à huile d’Uzès pour P RICHARD, (producteur d’huile et actuel propriétaire du moulin d’Uzès).

J’espère avoir améliorer “les bonnes pratiques ” de la taille de l’olivier afin d’en faire profiter mes adhérents au sein de l’association la Jarre écocitoyenne de Rochefort du Gard.

Le lieu de rencontre à Collias où j’étais convié, une rencontre en plein champs ,  jeudi 29/03/2018 à 14h :

Certes, je sais que des formations peuvent être dispensées par l’Afidol et que des cours de taille de l’olivier sont souvent programmées dans certaines coopératives agricoles ou moulins à huile des environs… mais là, j’ai eu le privilège et la chance d’avoir un formateur rien que pour moi !

Vidéo présentant ce moment passé dans les champs après un petit cours sur la taille et la conduite des oliviers : Le 29/03/2018, à voir absoluement en écoutant la chanson des wriggles : Julie la petite olive !


Plus d’info concernant les OUTILS EN PRÊT POUR RÉALISER SA RÉCOLTE DES OLIVES, la possibilité de faire DON DE SES OLIVES mais aussi laisser réaliser la taille de fructification de ses oliviers à l’association la JARRE ÉCOCITOYENNE de Rochefort du Gard (voir sur le site de l’association)

Résultat et finalité d’un semis d’engrais vert hivernal

Il est commun de voir des articles ou vidéo vantant les mérites d’un semis d’engrais vert en mars/avril…. je trouve cela dommage car certes, on amende une terre qui en a besoin… mais on perd également une partie de la saison, la plus propice (au printemps) à une production potagère !

Il est super intéressant de faire un semis d’engrais vert en automne (pour les régions nord) voir hivernal (pour les régions les plus au sud avec un hiver doux).

Compter 3 à 4 mois d’attente avant d’arracher (ou encore mieux FAUCHER) votre couvert végétal.

Le but :

  • Ne pas laisser la terre à nue pendant la saison froide,
  • Retrouver une terre grumeleuse au printemps,
  • Optimiser la période hivernale pour injecter de l’azote atmosphérique (de par l’activité du développement des semences de plantes fourragères et légumineuses),
  • augmenter la biodiversité du sol,
  • créer un abris aux insectes naturel,
  • acquérir ainsi une réponse rapide aux attaques des ravageurs au sortir de l’hiver (les coccinelles sont déjà présentes lorsque les premiers piqueurs suceurs  (pucerons) s’attaquent aux rosiers par exemple !

Super vidéo à voir intégralement pour le fun :

Voir l’article proposé lors du semis 5 mois auparavant.

Test Semence gazon terrain sec – Algoflash

Les semences colorées et la boîte présentant un semoir intégré font la spécificité d’Algoflash ! Nous testons ici des semences pour un gazon spécial terrain sec et ensoleillé.

S’il a fallu prendre beaucoup de temps pour enlever les adventices, les cailloux, les racines… et faire propre le terrain… le semis a été un jeux d’enfant !

Le but recréer un gazon sur une parcelle de terrain envahie par du chiendent !

Super satisfait de ses semences, j’en ai fait une vidéo :

Bref, que des avantages pour ces semences de gazon spécial terrain sec !

Voir le résultat 4 mois après le semis

pépin de pomme du commerce : SEMIS – GODET – ARBRE ?

Cet essai prendra quelques années : faire pousser un pommier à partir de pépins de pomme achetées dans le commerce.

Début Mars 2018 : une dizaine de pépins sont mis au frigo ; 20 mars en godet 6/6 ;

On est conscient que les pommiers d’aujourd’hui sont tous greffés. On verra bien ce que l’on obtiendra dans quelques années. On est également conscient que les pommes du commerce sont grosses et belles à croquer car les pommiers ont subi quelques 40 à 80 traitements avant de donner leurs fruits… on se doute bien que nos arbres destinésd à ne pas être traités ne donnera pas les fruits et bien sur pas avec le même rendement (quantité de pomme par arbres)… La curiosité l’emporte : on va essayer… pour voir. Reste à définir un endroit où accueillir les petits plants…

L’essai est fait sur la médiatique PINK LADY : une pomme de marque déposée… on se doute bien que les pépins ne donneront pas des pink lady… mais que donneront-ils ?

test semis pepin de pomme du commerce - dzprod Jardin
test semis pepin de pomme du commerce – dzprod Jardin

En me renseignant sur le net pour voir si l’achat d’un scion de pink lady est possible pour un particulier, je ne trouve une adresse et découvre également qu’il existe une association afin de promouvoir la variété Pink Lady en Europe, et je découvre qu’elle est basée à côté de chez nous :

l’Association Pink Lady® Europe
145, avenue de Fontvert
84130 Le Pontet

Le site est bien réalisé, notamment le scrolling “la pomme : du verger aux papilles

Par contre, l’aspect commercial de cette pomme est relevée sur la page du site OOREKA, il est également une remarque sur la difficulté de produire des pommes de ce type et de sa grande fragilité face aux pucerons et autres insectes ravageurs…

Mieux vaut-il s’intéresser alors à des variétés moins commerciales, moins protégées par des ®, mais plus facile à cultiver et surtout en amoindrissant le nombres de traitements (voir sans traitement du tout !).

Grattoir light – couper les mauvaises herbes et les mousses sans pesticide

Le désherbage au naturel n’est plus seulement “dans l’air du temps”, c’est un acte citoyen, une évidence, la solution anti-glyphosate (RoundUp) et anti-tératogène (anti-cancer), le respect de soi-même, des autres et de la patchamama !

Une des solutions anti-mauvaises herbes, en plus de la binette, sera l’utilisation de grattoirs : enlever vos adventices facilement grâce au grattoir FISKARS de la gamme LIGHT !

Toute une série d’outils a été conçu pour vous vous faciliter le travail. A la fois résistant et maniable, cette gamme s’adresse aux dames (outils en aluminium super léger !).

Spécialement conçu pour proposer des solutions pour un désherbage au naturel (j’aime bien dire “à l’huile de coude”), FISKARS offre toute une gamme : voir sur le site du fabricant (binette, couteau désherbeur, cultivateur, griffe, râteau, etc…) : que des solutions GREEN !

Vous cherchez à faire l’essai pour trouver votre solution la meilleure, celle qui vous convient le mieux ? Rapprochez vous de l’association la jarre écocitoyenne de Rochefort du Gard et demander à faire le test (désherbeur thermique électrique ou à gaz, outils manuel, tondeuse hélicoïdale, etc… des conseils et de l’aide vous seront proposés : contact@lajarre.fr)

Rentabilité d’une cloche Modul’O35 de 7€50 ?

Réponse : oui, oui, oui ! Plus la peine de lire le reste de l’article ! La preuve en image, en vidéo et un rapide calcul prouve la rentabilité en seulement un an, de la cloche Modul’O35 de chez MV Industrie.

Je m’en sers :

  • 3 fois (automne / hiver) pour forcer des salades (une salade Bio coute 1€20),
  • 1 fois pour forcer un semis d’aromatique sous forme de touffe de 35cm de diamètre…
  • 1 fois encore pour forcer un plant (chou Kale, poirée ou de tomate que l’on peut forcer plus longtemps encore si on achète une ré-hausse de cloche.

De plus la cloche protège des intempéries (grêle, neige, vents violent…). Elles sont empilables et donc ne prennent pas de place lorsqu’on les remises (de fin juin à septembre).

J’estime qu’il y a retour sur investissement en moins de 1 an !

Calcul : 3 salades bio (1€20) + barquette d’aromatique (2€50) + plant de tomate (1€50) : soit 7€60 !

En 1 an vous avez rentabilisé cette cloche en plastique recyclée garantie 5 ans anti-UV !

NB : Lors de la vente d’usine ces cloches sont vendues 4€ !


En savoir plus sur ces cloches :

Concernant son utilisation, il vaut mieux aller jeter un œil sur des articles déjà postés ( salade sous cloche Modul’O 2017, ingénieuse réhausse pour la cloche Modul’O, comparaison avec les autres cloches de forçage traditionnelles trouvées en grandes surfaces). Noter par contre le nouveau record en poids d’une laitue batavia gloire du Dauphiné de près d’un Kilo contre à peine 100g hors cloche !


Je les aime ces cloches… la preuve est d’avoir fait un article similaire il y a 11 mois de ça… sans me rendre compte que je radote un peu !!!

… et là, le titre est élogieux !

Fonte des semis

La fonte des semis est une maladie cryptogamique (3 types de champignons  : Fusarium, Phytophthora, Botrytis) qui “coupent” les jeunes plantules à la base (au niveau du collet). Une semaine ou deux après le semis et la levée, la plante présente un amincissement tubulaire. Un noircissement de la tige est ensuite observable, puis la tige est littéralement rongée : la plante se couche, puis meurt.

Cas d’observation :

  • L’année dernière dans le grand rectangle sur des lignes entières de semis d’ haricots (le paillis en décomposition et un trop gros arrosage ont certainement permis aux champignons qui se nourrissent de matières en décomposition et se propager. La propagation est aussi faciliter par l’excès d’arrosage et des températures froides de début de saison),
  • cette année sur les plants de chou kale achetés en jardinerie !
Chou Kale lot de 3 botanic® - 08-03-2018
Chou Kale lot de 3 botanic® – 08-03-2018
motte présentant la maladie de la fonte des semis - DZprod Jardin
motte présentant la maladie de la fonte des semis – DZprod Jardin

Conseil pour la production de semis home made :

  • Attendre un peu et ne pas les faire trop tôt (les températures trop froides (t°<10°c) fragilisent les plantules qui sont alors sujettes à l’attaque cryptogamique),
  • saupoudrage de cendre (assèchement des champignons), arrosage à base de purins de prèle, décoction d’ail, purins d’ortie (action fongicide),
  • aérer les tunnels de forçage ou les cloches, contenant les godets (évitant l’humidité propice au développement cryptogamique),
  • Ne pas semer trop dru dans les terrines (ou passer des terrines en godets sans trop attendre que la plantule manque de place),
  • une fois en place dans le potager, ne pas trop arroser : on évitera que la plante produise un système racinaire en surface (elle ira chercher l’eau en profondeur et sera plus autonome). Faire de bon arrosage mais arroser moins fréquemment ?
  • ne pas utiliser les terreaux de semis contaminés, ayant déjà servi l’année passée,
  • nettoyer les godets ré-utilisés en les passant dans une solution à base d’eau de javel (et en ce qui me concerne : nettoyer les serres “calipso” et notamment le bac de récupération d’eau (en vidant l’eau stagnante))…

NB : Plus une graine prend de temps pour la levée, plus est est sujette à la fonte des semis… Plus le semis est dru, plus la contamination sera facilité.

Ainsi, il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier. Ainsi, il faut avoir la malice, la place, l’énergie et le temps pour réaliser vos semis :

  • à 2 périodes différentes (fin mars, puis mi-Avril ou début mai),
  • à 2 endroits différents, en évitant le détrempage des semis par excès d’eau…

Enfin sachez que des actions préventives (saupoudrage de cendre de cheminée passée au tamis, arrosage avec des solutions de purins (prèle, ortie…) sont seules efficaces et que des actions curatives (une fois la maladie déclarée) n’est malheureusement pas possible : le mal est fait !

Nourrir ses poules l’hiver par grand froid

Comme pour nous, les poules recherchent des aliments plus énergétiques ou alors elles s’alimentent en plus grande quantité. Elles réduisent également leur taux de ponte afin de garder l’énergie pour la thermorégulation (elles pondent moins l’hiver).

Si les abreuvoirs sont gelés, veuillez à ce que les poules aient de l’eau… En plus de bien penser au nettoyage des abreuvoirs recouverts d’une couche de glace ou complétement gelés dans la masse… il faut penser à les réconforter :

  • augmenter la couche de paille dans le poulailler, les pondoirs,
  • vérifier l’isolation,
  • augmenter la ration journalière ou varier les aliments énergétiques,
Tembouille hivernale pour les galinettes
Tembouille hivernale pour les galinettes

Côté alimentation, voilà un exemple de menu du jour spécial grand froid :

  • graines germées de blé (les graines germées sont plus énergétiques que le grain sec, contiennent des enzymes, vitamines et sont plus digestes !!!… Voir l’article sur le sujet : Nourrir ses poules avec des graines germées.),
  • gras de viandes (ici j’ai rappé des pains de graisse d’arachide que j’ai acheté en solde à botanic®, 2€ à la place de 25€, les 10 pains). Les miettes de pain de graisses sont ensuites mélangées avec des miettes de pains et une cuillière à soupe de coquilles d’huîtres…
  • riz (ou reste de repas), ici du riz à Sushi (récup d’un sac de 25Kg de riz “shinju maï, calrose medium grain rice”, qu’un restaurateur Avignonnais allait jeter car périmé depuis le mois dernier !)
  • coquille d’huitre RRR (récup des fêtes de Noël et nouvel an),
  • eau chaude dans l’abreuvoir après avoir enlevé la glace… (je place également 2 bouteille d’eau en plastique chauffées au micro onde et cela de part et d’autre d’un pondoir en imaginant que cela stimule la ponte…

Bon aller trop de blabla… je suis attendu… j’attrape mon “Kajo” et je file voir mes poules (pendant que la mienne est encore au lit !).

Kajo en partance pour le poulailler - nourriture spécial hiver - dzprod Jardin
Kajo en partance pour le poulailler – nourriture spécial hiver – dzprod Jardin

“Kajo” (panier de transport de chez MV Industrie, sponsor de l’association la Jarre écocitoyenne, pour le transport des petits outils au jardin et le retour triomphant avec les récoltes du jour)

Mouche du compost : mouche de terreau ou drosophile ?

La drosophile, on connait : Facilement observable au printemps et en été lorsque l’on met un peu trop de déchets de fruits et de légumes dans le composteur… mais plus difficilement l’hiver.

Par contre, les mouches du terreau sont moins fréquentes mais tout aussi propice à se multiplier en nombre et très rapidement si les conditions optimales sont réunies…

Les mouches du terreau (image macro) ont une espérance de vie très courte (environ une semaine) donc leur souci premier est de s’accoupler et de pondre 50 à 300 œufs, à peine quelques heures après leur émergence. Les femelles, attirées par les endroits humides et riches en matière organique viennent déposer leurs minuscules œufs blanc crème (image macro) près des racines des plantes. En 6 semaines, l’œuf se transforme en larve, puis en pupe blanche à brune, et enfin en mouche. (cf lien)

J’avais construit une pile de compost très rapidement : 1m3 en une dizaine de jours en mélangeant crottin mouillé, feuille automnale et une pile de compost en maturation. Le tout mouillé à l’excès !

La constitution s’est faite un peu comme on constituerait une couche chaude (d’ailleurs elle est montée en température suffisamment pour ne pas pouvoir y tenir une main enfoncée à 30cm de fond !!! Impressionnant !)

Le délire une semaine après de voir des millions de mouche !

Vidéo du 22/01/2018 : température : +15°c !

Différentes des drosophiles, ces mouches semblent bondir comme des puces. Elles sont apparues du jour au lendemain ! Ils pondent leurs œufs sur les déchets azotés laissés à l’air libre avant d’être mis dans le composteur ou sur des fruits conservés trop longtemps à l’air libre après leur achat ou leur cueillette. Ce sont des “sciarides”.

COMMENT ÉVITER CE PHÉNOMèNE ?

  • constituer la pile de compost non pas comme une couche chaude mais peu à peu…
  • pas d’excès d’eau, moins de crottin macéré,
  • mettre une poignée de cendre par semaine (ou de potasse du commerce),
  • couvrir le dessus du composteur (carton, papier, paille, etc…)

Quel terreau pour faire des semis sous serre Calipso ?

Cet article compare les caractéristiques d’un terreau ALGOFLASH dont le cahier des charges est respecté dans le but de faire ses semis, ses boutures ou ses repiquages des semis en godet.

Le terreau Semis et bouturage ALGOFLASH est comparé à un autre terreau Rempotage Plantes vertes et plantes fleuries.

L’essai fait l’année dernière de stérilisation de la terre utilisée pour les semis n’a pas été concluante (chronophage, laborieux et peut-être contre indiqué s’il on considère que la terre peut certes contenir des pathogènes mais aussi des mycorhizes et autres complexes argilo-humiques, bactéries et champignons bénéfiques à la vie du sol et au bon développement de la futures plantules…).

L’année dernière on avait mis les graines directement en godet, cet année nous allons les semées en terrine (en utilisant les croisillons modulables d’une première serre Calipso), puis nous repiqueront les plantules en godet que nous forceront dans une deuxième serre calipso ou sous tunnels Modul’O 60.

Vidéo des godets sous cloche dans la mini-serre Calipso :

On va prévoir également de moins garder les godets sous serre calipso mais de les intégrer puis rapidement sur place au jardin en les gardant sous cloche individuelle (cloche Modul’O 35).

Vidéo de semis gardés sous serre Calipso :

Pour mémoire : Les semis de 2016… Il me reste pas mal de graines de 2016 et j’espère que les graines seront bonnes cette année encore. Notons qu’en 2016 les godets avaient été gardés sous serre Luna+ au jardin partagé et l’arrosage avait été aléatoire… Avec les serre Calipso devant la porte d’entrée de la maison, je peux jeter un coup d’oeil plusieurs fois par jour à mes semis… Plus de stress hydrique. D’ailleurs avec la réserve d’eau (super bien pensée par MV Industrie), on peut faire “trempé” les godets, qui par capillarité, ne manqueront jamais d’humidité !!! De plus, si les soirs sont froids, on peut toujours très facilement, remiser la serre calipso à l’intérieur !!!! Ce que l’on ne peut pas faire en plaçant ses semis sous tunnels.

Essai 2015 : Sous tunnel Modul’O 60.

Essai en 2016 : Dans la serre Luna+

Essai en 2017 : Sous cloche de la mini-serre CALIPSO et un mix de terre de jardin thermolysé et du terreau pour semis botanic®.

Essai en 2018 : Je vais attendre une quinzaine pour la session 2018  : Sous cloche dans la mini-serre Calipso puis repiquage en godet forcés également dans la calipso… puis transplantation rapide en terre mais sous cloche Modul’O 35… avec uniquement du terreau Algoflash spécial semis bouturage et repiquage contenant uniquement de la perlite et des sphaignes.

 

Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.