Cette page est bien sur un clin d’œil car le chat n’est pas vraiment un ravageur pour le potager…. à moins que….
aimant le terre fraiche, il écrase les semis lors de ses siestes,
de sa présence, il fait fuir les oiseaux au sol qui se nourrissent de ravageur (fourmis, limaces, insectes…)
de ses crottes qu’il aime enfouir, il déterre les végétaux autour de ses cratères…
Bref, cette page n’est que prétexte à quelques photos pour vous présenter Minette du jardin du Loucastarelet :
La meilleure parade pour éviter que les chats ne viennent gratter dans vos semis : Les tunnels Modul’O de chez pouss’vert ! Quoiqu’un peu onéreux, les tunnels hauts avec couvercles comme les tunnels de forçage bas, sont de très bons produits (garantie 3 ans). Le cliché ci-dessous en prouve l’intérêt ! Notre chat « MC-Miaou » en bout de ligne de semis…. Voir également l’article vantant les mérite des tunnels Modul’O de chez Pouss’vert.
Cette page est un copier/coller provenant et datant du 20 mars 2015 par Générations Futures.
Le Centre International de recherche sur le Cancer (CIRC) vient de classer comme cancérigène probable le glyphosate, substance active notamment du fameux herbicide RoundUp (désherbant le plus utilisé au monde et associé à la culture des OGM).
Si le Règlement 1107/2009 (cf. Annexe II point 3.6.3) s’applique il devrait y avoir des retraits du marché de produits commerciaux contenant cette substances active désormais reconnue officiellement comme cancérigène probable .
Optez pour les produits de saisons ayant le label écologique officiel «AB». Ces aliments ne contiennent pas de résidus de pesticides. Si vous consommez des aliments issus de l’agriculture intensive, il est recommandé d’éplucher vos fruits et légumes et de les laver mais malheureusement vous ne vous débarrasserez pas de tous les résidus et en outre vous vous priverez des vitamines contenues dans la peau.
N’utilisez pas d’insecticides ménager dans votre domicile, ce sont les mêmes substances que celles utilisées en agriculture, vous vous exposez donc aux mêmes risques. Ayez recours aux alternatives, elles existent et surtout faites de la prévention (ne laissez pas trainer des aliments, utilisez des huiles essentielles comme celle de lavande, posez des rubans à mouches etc.). Faites du jardinage écologiques sans pesticides en adoptant des techniques agronomiques simples (rotation des cultures, variétés résistantes et adaptées à votre terroir, favoriser la biodiversité dans votre jardin, désherbez mécaniquement, faites des associations de plantes etc.).
Vous vivez près d’une zone cultivée de manière intensive ? Plantez une haie haute ! Cela vous permettra d’éviter en partie d’être exposé aux pesticides épandus. Et surtout informez-vous toute l’année auprès de nous et des organisations partenaires et lors de la Semaine pour les alternatives aux pesticides !
Pour les abeilles solitaires, cet hôtel n’est pas un hôtel fait maison. J’ai profité des soldes à Botanic pour acquérir cet hôtel vendu avec des bulbes de crocus « vernus 7/8 » qu’il aurait fallu planter à 10cm de profondeur il y a deux mois de ça… d’où la remise importante faite sur le prix d’achat !
Nota bene : Un sac de crocus 5/7 se trouve dans la case inférieur de l’hôtel. Pourtant sur l’emballage, on voit écrit Crocus 7/8. Cela correspond à la taille des bulbes. En me renseignant sur le net j’apprends (sur ce site -très bon lien) que la taille idéale pour les crocus est de 9/10. La taille 7/8 est trop petite. Sur le sac de crocus, il est indiqué « 25 crocus 5/7 » : la taille est donc très insuffisantes. De plus il y a publicité mensongère car inadéquation entre la taille des bulbes indiquée sur l’emballage et la taille réel sur le sachet !!! Ces petits spécimens encore hors du sol fin Janvier ont d’autant plus souffert de la dessiccation et du froid hivernal. Il n’est pas dit qu’ils arrivent à pousser…. Affaire à suivre : nous les mettront en terre quand même. Bref, les crocus sont surtout un arguments commercial, ils ne se plantent pas dans l’hôtel mais dans sa périphérie et sont de toutes façon trop peu nombreux pour offrir à eux seuls la seule subsistance aux abeilles solitaires.
Le sac de crocus, une fois délogé, offre un espace vacant dans l’hôtel. Il me vient alors l’idée d’étendre la capacité d’accueil de l’hôtel en alimentant le rez de chaussé d’une vingtaine de lits supplémentaires (tubes de bambou de 10cm de long) ! Un grillage viendra parfaire l’affaire et préviendra des catastrophe lors de vents violents.
J’en ai acheté 2. Le premier sera offert à Lise du Jardin du LOUCASTARELET. L’autre ira dans mon Jardin.
Nota béné : Mieux vaut construire son propre Hôtel à insectes. Cela peut se faire avec des matériaux de récupération. Pourvu qu’ils soient exempt de produits chimiques ou nocifs pour ses habitants. Ici, concernant cet hôtels, trop d’arguments commerciaux sont présents :
Hôtels à abeilles : et les autres insectes auxiliaires alors ?…
Hôtel crée par des personnes en insertion sociale en hollande (et le local alors ?….)
Présence de bulbes : argument pour susciter l’acte d’achat mais les bulbes sont insuffisants en nombres et en qualité…
un feuillet double page est présent et surfe sur la tendance en donnant des arguments sur la nécessité de la préservation des abeilles (le bon point est de faire prendre conscience qu’il n’y a pas que les abeilles apicoles qui assurent la pollinisation et qu’il existe de « milliers d’espèces d’abeilles sauvages » qui sont également menacées… d’autres insectes pollinisateurs auraient pu être cité mais cela aurait montré une faille de cet hôtel en particulier : une seule sorte de cachette (ici des tubes de bambou), risque de n’attirer qu’un seul type de pollinisateur….
les logos : Le logo BEE-FRIENDLY et le logo européen « PRODUIT BIOLOGIQUE CERTIFIÉ »,
un petit grillage amovible aurait augmenter de beaucoup le coût de produit…. mais aurait été plus pratique et aurait augmenter la longévité d’emploi de cet hôtel…
Première mise en place et réparation le 17/02/2015 :
Oui, 2015 sera une bonne année. Ce sera l’année de Claude et Lydia Bourguignon, celle d’une année fertile de vente de pack d’analyse des sols chez Botanic mais surtout l’année pour la préservation des sols partout dans le monde… Sera-elle l’année de l’obtention de l’autorisation de mise en place de mon jardin aromatique de quartier, allée du Pébrier à Rochefort du Gard ? J’espère aussi trouvé un partenariat dans des jardins partagés, partage de récolte et partage de connaissances….
En tout cas, l’année internationale des sols contribuera à ouvrir la voie vers le développement durable pour tous et par tous.
Page de lien et extrait de ces pages pour réflexions.
Les sols, des milieux vivants très fragiles : A lire absolument. Quoique ces pages proviennent de l’institut de recherche pour le développement, elles sont vectorisées sur l’étude des sols au niveaux mondial. A partir de la page 16, y’a des schémas bien cool.
Le sol, objet culturel et religieux, est un lien puissant entre les Hommes et les milieux. À titre d’exemples, on peut citer :
la religion shintoïste (au Japon) qui déifie le sol ; dans les Andes, le peuple Quechua qui respecte la «Pachamama» la terre-mère.
http://www.lams-21.com Laboratoire d’analyses microbiologiques des sols, Claude Lydia Emmanuel Bourguignon. Formation Fevrier 2014 !
Achat Bota le 08/11/2014, 18,95€ -20% (soit 15,16€)
3 litres, pour 6 à 9 arbres.
J’ai pu traiter la totalité de mes arbres fruitiers, mes trois oliviers et même le mûrier platane !
Caractéristique du Blanc Horticole : C’est un produit 100% d’origine naturelle à base de chaux et prêt à l’emploi. Appliqué en hiver sur les troncs d’arbres fruitiers et d’ornement, il crée une barrière physique qui protège les troncs des parasites, champignons, mousses et lichens. Il protège également les parties traitées en comblant les fissures et les plaies.
Nota Béné : Il était nécessaire sur les oliviers (surtout l’olivier Bota) de brosser l’écorce qui s’exfoliait en lambeaux avec une brosse en fer, une brosse en poils doux. J’ai récupéré, pensant faire bien, les brisures d’écorce tombées à terre. Aspirées à l’aspirateur, puis jettées à la poubelle et pas au compost, les brisures d’écorces contiennet peut-être des maladies ou des parasites à l’état larvaire…
Penser à se protéger : tenue de combat, gants et lunettes car on manipule de la chaux.
En séchant, le produit s’opacifie et devient bien blanc, immaculé ! Par contre quelques heures après avoir oeuvrer du pinceau, il a plus… trois jours de suite. La résultante : un lessivage ?
Nota Béné : Le lendemain du 14/11/2014 et les trois jours suivants, il a plu à torrent. Le traitement au blanc arboricole n’a pas coulé comme je me l’imaginais. Ouf. D’aileurs les pluies étaient tellement importantes qu’un éboulement de terrain est survenu 200m au dessus de la cave coopérative, route de signargues !
Au 09/12/2014 : Un bon quart est parti avec les intempéries…. L’année prochaine, ne traiter qu’à partir de mi-décembre…
Nota bene du 10/04/2017 : il n’est pas utile de traiter des jeunes arbres de 1 ou 2 ans car l’écorce ne présente pas ou peu d’anfractuosité (donc aucune larve)…
l’oïdium, touchant de nombreux légumes, les fraisiers, les arbres fruitiers et les rosiers ;
le mildiou, touchant la vigne, les tomates et les pommes de terre ;
la cloque du pêcher ;
la tavelure et la moniliose, touchant les arbres fruitiers ;
la rouille, touchant les conifères, le groseillier, le poirier, le haricot, la pomme de terre, le rosier, la rose trémière…
la septoriose, touchant la fois les céréales, des légumes (tomate, céleris), des fruitiers (arbousier, poirier, cassissier) et des fleurs (pivoine, glaïeul, azalée) ;
Le paillage (observation de ponte sous le paillage)
La culture d’oeillets d’Inde (anti nématodes : vers vivant sous terre qui parasitent les limaces). Moins de nématodes, plus de limaces, aleurodes et pucerons !!!
Comment éradiquer les limaces ?
Les carabes (entassement de branchages dans un coin du potager), limace tigre ou le canard coureur indiens, le crapaud,
Du férramol (phosphate ferrique : minéral abondant à l’état naturel qui agit comme coupe-faim, les gastéropodes meurent d’inanition) ; Cendre, verre de bière, croquette pour chats, coquille d’oeufs
Si je vois des limaces en trop grand nombre, je peux penser que je n’ai pas donné assez de place à ses multiples prédateurs dans mon “écosystème jardin”. La limace agit donc comme bio-indicateur d’un déséquilibre ou d’un manque de diversité, qu’il soit naturel ou anthropique.
Nota-Béné : Bacillus thuringiensis (notre produit le plus vendu, un baccille gram+, aérobie) serait également toxique pour trois espèces de limaces (voir thèse ici :
Un super lien sur le vermicompostage : ICI provenant de l’organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) ! Les archives documentaires en ligne de la FAO sont destinées à recueillir, préserver et disséminer des copies digitales des produits de l’Organisation afin de leur assurer la plus grande diffusion possible. Elles contiennent publications, journaux, documentation officielle des réunions, rapports techniques et matériel d’information produits par les bureaux de la FAO dans le monde entier.
A propos de ses déjections ou TURRICULES : l’enrichissement de la terre par le rejet de déjections, les turricules visibles à la surface du sol, contiennent environ 50 % de plus de matières organiques que le sol non digéré, 7 fois plus de phosphate, 10 fois plus de potasse, 5 fois plus d’azote, 3 fois plus de magnésium et bien d’autres oligoéléments encore.
Parmi de nombreux sites, j’en ai trouvé un qui énumère les façons de capturer les lombrics. Ma technique et le lieu de collecte et de loin la plus efficace : 1 kilogramme à l’heure (départ maison et trajet à pieds inclus !). Mon secret, longer le chantier photovoltaïque après une grosse pluie. En effet, afin de ne pas mourir noyés dans leur trou, les lombrics sortent à la surface. Le long du chantier photovoltaïque, la route de gravât rouge offre un lieu de ramassage idéal. Ce matin, la route était carrément zébrée de trace de lombric. Les trois véhicules de chasseurs passant ce matin au levée du jour, ont tués des dizaines de lombrics. La taille des lombrics est impressionnante : de 25 à 65 cm, une moyenne de 50cm, énorme.
Si le lombricompost accélère la germination et la levée des semis de 3 à 4 jours, il contient également des champignons et bactéries, tels le trichoderma et les streptomyces, qui stimulent les défenses naturelles de la plante et vont l’aider à lutter contre la plupart des maladies.
Nota béné : Tricoderma en vente ICI, 5.7€/10g ! biofongicide & engrais organique, contient une xylanase (enzyme qui scinde le xylème : cf les fils blanchâtres sur le bois en décomposition)
Détermination de mes lombrics :
Vers de terre (3 catégories : anécique, endogé, épigé) / vers du compost (Eisenia foetida).
Les vers ramenés ce jour sont de gros vers, des anéciques, vivant dans la couche profonde du sol. NB : tous les vers remontent à la surface pour venir se nourrrir. NB : les BRF permet donc de nourrir les vers… Bienfaits du BRF ICI
Au 25/11/2014 : De 20h à 21h30, de nouveau après une grosse et interminable pluie, je reviens du chantier photovoltaïque avec pas moins de 1kg320g de lombrics. Des longs d’un demi-mètre mais aussi de plus petits de 15 à 20 cm. Je les repartis aussitôt dans mes bacs et carrés potagers.
Nota Bene : la nuit dernière alors qu’il avait juste fini de pleuvoir, j’entreprends une « chasse à la limace » accompagné de ma minette noire, j’observe quelques gros vers hors terre. Je les titille du doigt et suis surpris de les voir très très vigoureusement rentrer sous terre : En 1 seconde (voir un peu moins), ils sont capable de se rétracter sous terre en s’enfouissant par le trou qu’ils ont créé. Je me dis que se sont de très bons auxiliaires du jardinier car capable d’aérer et d’amender la terre parfaitement !!!! J’ai bien fait de prendre du temps de partir à la chasse aux lombrics et de ramener des superbes spécimens de près d’un mètre de longueur ! Je me dis aussi qu’ils sont hyper rapide : pouvoir rétracter un demi-mètre en une fraction de seconde…. Les trous des plus gros spécimens doivent être de bons diamètres…
Les bonnes et les mauvaises relations entre deux organismes vivants.
Les facteurs écologiques biotiques.
Un super lien. Cela permet de voir de haut, de prendre du recul et peut-être mieux comprendre les relations d’interdépendence entre les insectes auxilliaires / insectes ravageurs et leurs hôtes végétaux du jardin.
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.