Archives de catégorie : Le jardin partagé DZprod (suivi des espaces de culture)
Suivi des espaces de cultures dans le jardin de DZprod. Bacs (agglos et enduit) et carrés potagers (palettes Botanic). Le But : alterner les cultures, noter les amendements, la qualité de la terre et sa décompaction.
J’ai tellement adoré le premier rosier du fournisseur GLOBE PLANTER et sa gamme PARFUMA® crée par KORDES que j’ai shunté botanic® pour commander directement au fournisseur un nouveau rosier que j’ai choisi pour son original parfum anisé : le rosier Madame de la Vallière !
En remplacement du laurier rose HS, à l’entrée du petit portail donnant accès à la maison, on ne va raté ce rosier dont j’espère le parfum enivrant va faire détourner vers lui le regard, initié par les narines !!!
Scan du chromo présent sur la plante en pot… pour mémoire :
Ce rosier a obtenu le label ADR, une distinction rare, créée par des créateurs de roses en 1950 : Super résistances aux maladies et sans aucun recours aux traitement phytosanitaires.
Pour mémoire également, le verso du chromo : Cliquer sur l’image pour en faire la lecture…
Ce genre de rosiers ADR devraient intéressés de plus en plus de monde et notamment les mairies : Bien que respectant le plan Ecophyto, elles éviteraient aux employés des espaces verts de passer du temps à la lutte raisonnée et optimiseraient les achats en augmentant la longévité de leurs végétaux !!!
Lire l’article concernant GLOBE PLANTER et ses services annexes qui à l’époque (Avril 2017), ne se trouvaient par encore proposés par les jardineries… Aujourd’hui botanic®, via Gaarden® surfe sur le service +++, initié par Globe Planter…
Aujourd’hui, 50% de mes rosiers sont des rosiers en ADR !
à suivre :
_ une image de la fleur + descriptif de son parfum !!!
_ recette de pétale de roses cristallisées !!! (revisite 2018)
J’ai découvert une variété le Tayberry : un roncier sans épine (pour cette variété TAYBERRY Buckingham trouvé chez botanic®) que j’espère plus adaptée à notre climat méditerranéen que ne l’est la framboise (à planter à mi-ombre car la framboise est une plante que l’on trouve dans la nature à l’orès des forêts…).
Description : Gros fruit rouge foncé, juteux et parfumé à la saveur légérement acidulée. Excellent en frais, confiture, gelée ou pâtisserie. Variété sans épine. Arbuste productif et rustique, adapté aux régions montagneuses de par sa bonne résistance au froid (jusqu’à -20°c).
Plantation : Tout type de sol. Choisir un emplacement ensoleillé ou mi-ombragé à 2m de distance de tout autre arbuste. Creuser un trou de 50cm diamètre et de profondeur. Tremper la motte 15 minutes dans l’eau. Déposer l’arbuste au centre du trou.Reboucher avec la terre mélangée à du terreau et compost. Arroser abondamment. Prévoir un support pour,palisser la plante.
Entretien : Au printemps, apporter du compost / ou engrais organique. En hiver, supprimer les rameaux qui ont fructifié. Taillé à 3 à 5 yeux.
NB : j’ai planté mon Tayberry un peu tard et certainement trop près d’une vieille lavande (image de mars 2014), dans le bac Eychenne le plus à gauche (là ou un Kawaï n’a pas résisté), en espérant que le vent qui a tendance à s’engouffrer à cet endroit ne soit pas préjudiciable à la bonne prise au sol de ce Rubus.
On avait déjà trouvé une nécrose sur la charpentière la plus à gauche, en juillet 2017, elle avait été coupée ! Cette fois-ci c’est sur la charpentière la plus à droite du poirier Williams double-U !
On pensait que les craquelures observés sur l’écorce étaient dues à la canicule de 2017, mais c’est bel et bien un des symptômes du chancre et ce, dans un état avancé, lorsque l’on observe l’impact global sur la charpentière.
NB : Réflexion sur les facteurs probables ayant induit le développement de cette nécrose par le chancre européen :
L’ablation de la charpentière de gauche en 2016 n’a pas été suivi de cicatrisant….(par méconnaissance des risques et de la maladie),
la cicatrisation des plaies de taille suite à la taille 2017 n’a été faite (avec un pinceau de Lac Balsam) que sur les plus grosses coupes…
une pluie orageuse était survenue le jour suivant de la taille (taille trigemme tardive du 14/01/2018)…
pas de traitement à base de bouillie bordelaise lors de l’éclatement des bourgeons fruitiers…
un fruit nécrosé avait été trouvé et enlevé tardivement fin 2017
Avant / Après :
On a appris en créant cet article :
La porte d’entrée du chancre au niveau des coupes de taille en dehors du repos végétatif (taille en vert), (phénomène accru si pluie, vents, pas de cicatrisants… les jours suivants la taille),
l’utilisation de bouillie bordelaise lors de l’éclatement des bourgeons (fructification), réduit la pression d’infestation du chancre au niveau des micro-plaies lors du réveil végétatif,
arrachement du pétiole des feuilles sur la branche (micro-blessure, idem : bouillie bordelaise), lors des grands vents…
Nettoyer les outils de coupe avec de la javel (j’utilisais de l’alcool à 95°) ; info à vérifier…
J’ai beaucoup de chance que l’on puisse m’accueillir comme cela : apprendre la taille des oliviers avec les savoirs et savoir-faire d’un professionnelle de la taille !
En effet, j’ai été convié par Mme Nathalie Serrano qui travaille pour un propriétaire-récoltant Marc RENART, possédant près de 4000 arbres (domaine La Font de Jean Blanc).
Remerciements donc à Nathalie Serrano qui a la double casquette :
de s’occuper des arbres en production du Domaine oléicole en Agriculture Biologique, de Marc RENART (producteur d’olives du domaine La Font de Jean Blanc, sur 9 communes situées entre Castillon du Gard et Sanilhac en passant par Collias (lieu du Tournage),
mais aussi de la fabrication de l’huile au Moulin à huile d’Uzès pour P RICHARD, (producteur d’huile et actuel propriétaire du moulin d’Uzès).
J’espère avoir améliorer “les bonnes pratiques ” de la taille de l’olivier afin d’en faire profiter mes adhérents au sein de l’association la Jarre écocitoyenne de Rochefort du Gard.
Le lieu de rencontre à Collias où j’étais convié, une rencontre en plein champs , jeudi 29/03/2018 à 14h :
Certes, je sais que des formations peuvent être dispensées par l’Afidol et que des cours de taille de l’olivier sont souvent programmées dans certaines coopératives agricoles ou moulins à huile des environs… mais là, j’ai eu le privilège et la chance d’avoir un formateur rien que pour moi !
Vidéo présentant ce moment passé dans les champs après un petit cours sur la taille et la conduite des oliviers : Le 29/03/2018, à voir absoluement en écoutant la chanson des wriggles : Julie la petite olive !
Plus d’info concernant les OUTILS EN PRÊT POUR RÉALISER SA RÉCOLTE DES OLIVES, la possibilité de faire DON DE SES OLIVES mais aussi laisser réaliser la taille de fructification de ses oliviers à l’association la JARRE ÉCOCITOYENNE de Rochefort du Gard (voir sur le site de l’association)
Cet essai prendra quelques années : faire pousser un pommier à partir de pépins de pomme achetées dans le commerce.
Début Mars 2018 : une dizaine de pépins sont mis au frigo ; 20 mars en godet 6/6 ;
On est conscient que les pommiers d’aujourd’hui sont tous greffés. On verra bien ce que l’on obtiendra dans quelques années. On est également conscient que les pommes du commerce sont grosses et belles à croquer car les pommiers ont subi quelques 40 à 80 traitements avant de donner leurs fruits… on se doute bien que nos arbres destinésd à ne pas être traités ne donnera pas les fruits et bien sur pas avec le même rendement (quantité de pomme par arbres)… La curiosité l’emporte : on va essayer… pour voir. Reste à définir un endroit où accueillir les petits plants…
L’essai est fait sur la médiatique PINK LADY : une pomme de marque déposée… on se doute bien que les pépins ne donneront pas des pink lady… mais que donneront-ils ?
En me renseignant sur le net pour voir si l’achat d’un scion de pink lady est possible pour un particulier, je ne trouve une adresse et découvre également qu’il existe une association afin de promouvoir la variété Pink Lady en Europe, et je découvre qu’elle est basée à côté de chez nous :
l’Association Pink Lady® Europe
145, avenue de Fontvert
84130 Le Pontet
Par contre, l’aspect commercial de cette pomme est relevée sur la page du site OOREKA, il est également une remarque sur la difficulté de produire des pommes de ce type et de sa grande fragilité face aux pucerons et autres insectes ravageurs…
Mieux vaut-il s’intéresser alors à des variétés moins commerciales, moins protégées par des ®, mais plus facile à cultiver et surtout en amoindrissant le nombres de traitements (voir sans traitement du tout !).
En 2018 : Taille de forme (contrairement à la taille des branches de l’année se fait préférentiellement quelques semaines après la récolte des fruits pour des diamètre de coupe d’un cm ou moins). Il faut cicatriser l’arbre, car ils sont déjà sujet à la gomme…
En 2017 : on attendait la première vraie récolte. C’était le cas pour le cerisier de gauche (le BURLAT dont la récolte est plus précoce, a moins été sujette aux attaque de la mouche du cerisier. Récolte presque nulle, par contre pour le cerisier SUMMIT (dommage car les cerises sont plus grosse et en forme de coeur !!!). Peut-être que l’amendement après la floraison, incorporé par par griffage à bruler les fruits… Fort de ce constat, on a alors décider d’installer des bordures BRADSTONE (le 02/02/2017) et délimiter et créer comme un sol forestier de 20 cm de terreau + compost + mulch de plaquettes forestières, etc… De plus, devant l’entrée de la maison, ça fait beaucoup plus propre… Le but étant que la dégradation du mulch amende doucement les cerisiers sans avoir à amender avec des granule chimique…. Il y a toujours moins de risque en pratiquant un jardinage au naturel, aggradant la vie du sol, doucement mais surement dans le temps…
Au 02/02/2017 : Un démarquage à l’aide de bordure Bradstone permet maintenant de donner plus de terre autour des arbres (plus que les tours d’arbres). L’amendement se fera plus en quantité et en qualité. Cela aura un impact sur le rendement. Rappel d’un rendement moyen d’un cerisier : 70Kg ! (Mes deux cerisiers sont mal exposés, dans le renfoncement du mur. La plantation : dans les cailloux. En plein vent. Ils ont rien a mangé !!! Alors le rendement…)
Récolte 2018 : Cette année aurait du être la première année d’une vraie grosse récolte abondante. Les arbres ayant 6 ans et demi en place, la floraison ayant été superbe (un blossom de fou), on a eu de belles cerises BURLAT mais pas de SUMMIT car elles étaient toutes pourries (attaquées par la mouche de la cerises). Voir l’article sur le sujet.
Pourtant la superbe floraison m’avait laisser croire à une récolte de dingue ! La preuve en image :
Remarque interressante (2019 : Cerisiers au 25 mars 2019 -DZprod Jardin (première cerises récoltées : le 04/05/2019 sur le BURLAT à gauche !) Il faut donc 1 mois et une semaine entre la pleine floraison et la récolte des premières cerises !
4 salades à couper feuille de chêne verte “KILERVI” achat botanic® (12 plants 3€70 (2.96€ -20%, soit 25 cents la laitue, augmentation d’un cent par salade depuis la saison dernière…).
Le ou les bacs “petit-L” se trouve derrière les claustras de l’image ci-dessous : Derrière le bac fibré en fibre de terre, installé début janvier 2018…
Le 06/03/2018 : Dans le bac fibré, mise en terre de graines de capucine grimpante grande de Lobb afin qu’elles grimpent sur le grillage de la pergola… (sortie de terre prévue fin mars !).
Le 04/05/2019 : Repiquage d’un plant de tomate cerise grappe au milieu. La fierté : les 3 vignes qui investissent bien la pergola et la capucine avec sa centaine de fleurs comestibles !
Cet article explique l’intérêt d’un traitement à base d’huile insecticide plus ou moins naturelle (comparatif entre une huile végétale “fertiligène”, une huile minérale “Algoflash” (dans le but de réduire la pression des ravageurs latents (sous forme larvaire) pour les fruitiers dans les jardins de particuliers, effet insecticide) et un traitement à base de bouillie Bordelaise (sulfate de cuivre et sulfate de fer), (dans le but de réduire la pression des champignons pathogènes, effet fongicide).
On achète et utilise (par pulvérisation) l’huile minérale dans l’espoir d’une belle production. Mais est-ce judicieux ? L’impact (faune/flore/utilisateur) est-elle à considérer ? Qu’elle est le bénéfice-risque. Faut-il concevoir que le laisser faire (Masanohu Fukuoka), favorisant la bio-diversité et l’attente d’une réponse à la pression ravageur par la nature elle-même et les auxiliaires, va être la “panacée” évidente contemporaine.
En lisant bien les étiquettes et en prenant le temps de l’investigation, je me rends compte que rien n’est évident…
Premier abord, le packaging (clic sur l’image pour l’agrandir) donne le gage d’un produit “AB”. Pour grand nombre de néophyte “AB” c’est BIO cool !
Il est vrai qu’en une ou deux décennies, les exigences européennes en terme de production en “AB” et utilisation des produits phytopharmaceutiques, ont poussé les industriels à revoir leur packaging :
Fertiligène “Naturen®” Traitement d’hiver et fin d’hiver : pas de pictogramme (c’est un produit qui date de quelques années, rien n’était encore imposé),
Un bon point pour Algoflash : Un mode d’emploi et une page pleine concernant les précautions d’emploi sont visibles (quoique cachés, au verso de l’autocollant détachable) au dos de l’emballage. Certes , la multiplicité des précautions d’emploi fait réfléchir sur la nécessité de l’utilisation du produit mais aussi relativiser sur le bénéfice de produire ses propres fruits, même avec un rendement médiocre.
On rappelle simplement que l’essentielle des vitamines sont présentes dans la peau des fruits. L’utilisation d’une huile insecticide pendant la période de fructification et tant que les fruits sont sur l’arbre n’est pas judicieux ! Il est alors recommandé d'”éplucher vos fruits”… une aberration !
Mon conseil : Multiplier la diversité dans votre jardin. Poser des hôtels à insectes. Traiter le moins possible. Cette préservation va assurer la réponse des coccinelles et autres auxiliaires lorsque nécessaire. Ramasser les feuilles des fruitiers évitera la propagation fongique d’une année sur l’autre. Vérifier le tuteurage et l’état général de vos arbres… Enlever les bois morts, cicatriser les plaies naturelles ou de taille. Poser des bandes de glu, des pièges à phéromones… de chez Algoflash NATURASOL, mais traiter le moins possible…
ATTENTION : Ses huiles sont des INSECTICIDES ! La nature des insecticides chimiques de synthèse, n’est pas détaillée mais bien réelle :
évidente chez Algoflash mais floutée : 817 g/l d’huile de vaseline (issue de la pétrochimie), on donne ici une indication en masse/volume. On parle ensuite que cela représente “94% (m/m)”, c’est à dire une indication en poids/poids. La majorité des utilisateurs (pour les jardins amateurs, donc non professionnels des traitements phyto) se laissent à conclure à la très grosse majorité d’une huile paraffine. La masse molaire de la vaseline étant grande par rapport à celle de l’insecticide le rapport (m/m) apporte confusion entre volume et masse. NB : formée essentiellement d’alcanes, de formule générale (CnH2n+2) avec C<25 de la vaseline. Or, en comparant avec quelques molécules insecticides les plus communes, on remarque qu’ils ont une masse volumique bien moindre… Conclusion si 94% (m/m) pouvait être transposée en (m/v), on aurait non pas 6% (m/m) d’autres substances insecticide – Acaricide et émulsionnable mais un taux significatif, je pense supérieur à 10%, ce qui rend l’affaire significative. On rappelle qu’en terme statistique, une donnée inférieure à 10% peut être considérée comme “négligeable”. Par contre, en chimie organique et surtout lorsque l’on parle de concentration de produits phytopharmaceutiques, un petit pourcentage peut s’avérer “signifiant”. Est-ce la une sorte de manipulation pour rassurer le consommateur (comme le préconise la directive 834/2007) (cf points 9, 22, article 12 a) g) ; article 16, article 23 2) ; concernant un règlement vieux de 11 ans !
Chez FERTILIGENE, l’huile végétale insecticide est à base de colza (et non issu de la pétrochimie).
La période d’emploi conseillé chez Algoflash est de trois mois supérieure à celle de Fertiligène car il appuie l’argumentaire commercial également sur l’effet anti-cochenilles (au détriment des recommandations concernant les effets néfastes sur la faune auxiliaire et la production de fruits sains… en ajoutant une “période conseillée” pendant les périodes de récolte d’août – septembre et octobre).
On regrette que sur le mode d’emploi et les conseils de l’un ou de l’autre on ne trouve pas celui de faire un traitement à base de bouillie Bordelaise (fongicide) en complément de celui à base d’huile végétale insecticide. Complémentaire mais moins nocif pour la faune et l’applicateur (quoique préjudiciable (bio-accumulation dans les sols) à la dégradation mycorhizienne et donc à la bio-disponibilité des éléments nutritifs de la patchamama !
Les traitements ne sont pas systématiques, soyez responsables face à ces méthodes et adaptez vos pratiques aux besoins de votre jardin. Pour ce, l’observation de vos cultures sera votre meilleur allié.
Quand vous traitez vous tuez tous les insectes (nuisibles et utiles), il est donc important de ne traiter qu’en cas de besoins car les colonies d’insectes utiles mettent plus de temps à se repeupler et vous sont indispensables à la pollinisation et à la régulation des nuisibles.
J’ajoute également que le traitement au pulvérisateur peut s’avérer néfaste si toutes les précautions d’utilisation ne sont pas respectées !!!
Lier et conduire ses arbres fruitiers à leur palissade ou leur tuteurs et souvent source d’interrogation pour le jardinier amateur.
Cet article propose une idée RRR (Réduire, Réutiliser, Recycler) : la fabrication rapide de lien (0€) et permettant le ré-emploi d’un vieux bout de tuyau d’arrosage percé voué à la déchèterie… et un fil métallique en bobine (vendu en jardinerie, magasin de bricolage ou coopérative agricole)
Solution commercial pour petits jardins : taper “lien tuteurage attache arbre” et rechercher des images dans une recherche Google pour voir les nombreux produits mis sur le marché…
Attache tuteur lien flexible en plastique : les trous de maintien deviennent lâche dans le temps lorsque l’arbre grossi.. il est souvent alors impossible de réemployer le lien déformé… surtout si on achète ce genre de lien à petit prix…. Il faut y mettre le prix sinon ça ne vaut pas grand chose (on ne peut pas le ré-utiliser).
Rizlans : fixation rapide mais à tendance à blesser le tronc ou les charpentières dans le temps. Les frottements sont également préjudiciables.
Ficelle nylon : il faut ajuster d’une année à l’autre l’attache qui fait un tour mort sur l’arbre car sinon la ficelle commence a entrer dans l’écorce…
Fil métallique enrobé de plastique : Blesse l’arbre rapidement ! Si on essai de ré-employer le fil déjà mise en place… l’enrobage plastique se délite et le re-emploi n’est alors pas judicieux…
La plus solide des solution de lien, qui perdure dans le temps, qui est repositionnable et qui est GRATUITE, c’est ma solution MAISON : Une solution R.R.R en ré-employant un bout de tuyau percé voué à la poubelle !
Maintenant qu’on a des liens pour un TUTEURAGE à moindre coût, autant en apprendre au maximum sur le TUTEURAGE en lui-même :
Achetée 22€ à la place de 44€ (Black Friday, à botanic®, le 24/11/2017), en attente depuis cette date (stockée dans le bac Edika’s portail), la vigne est mise en terre le 01/01/2018, comme pour fêter la nouvelle année !
La vigne présente trois charpentières palissées sur 2 tuteurs de 80cm de haut.
On a scanné les conseils de soins et de taille suivant :
Plantée à seulement 1 mètre de l’autre pieds de vigne, j’ai fixé les tuteurs à une nouvelle treille (récup botanic®). Chacune des 2 vignes seront conduites vers leur pan à couvrir spécifique : s’il y a compétition, se ne sera qu’au niveau racinaire… On verra.
Sinon, la littérature donne 4m de séparation entre 2 vignes grimpantes.