Archives de catégorie : Réemploi Récupération et bricolage
Récupération de terreau, de lombricompost, de crottin de cheval, de canalisation de chantier et autres. Dans le cadre du RRR (re-use, reduce or re-cycle).
Robustes, pratiques et garantie 3 ans, les tunnels Hauts avec couvercle, comme les tunnels bas de forçage, ces mini-serres sont de plus un “Must” pour protéger efficacement vos semis des ravageurs….
Voici quelques clichés, et clin-d’œil, de l’utilisation des tunnels Modul’o :
Protection contre les intempéries : Le vent, la neige…
Les 2 modèles de tunnel Modul’O : Haut (avec couvercle), et bas (sans couvercle).
Réalisation “maison” de piquets pour les serres (voir l’article en question : Ici)
Voir le siteWeb de l’entreprise Française qui fabrique et commercialise les serres plastiques Modul’O : http://www.poussvert.com/
Nota Bene : Samedi, 25 avril 2015 : de 9h à 18h
Chez MVI, Z.A. Champgrand (26) Loriol VENTE DIRECTE D’USINE : Mini serres, tunnels, cordeaux, tuteurs, serres Richel, bordures à gazon, godets à semis …
Avec une longueur de 3m de tors de 6mm de diamètre, on peut en faire quelques piquets (6)²…. pour 1€35. Il suffit d’un peu de temps, d’un étau et éventuellement d’un fond d’Antirouille.
J’irais voir en magasin afin d’avoir une notion de l’économie réalisée….
Juin 2015 : L’ensemble des piquets sont brossés et passer à l’enduit antirouille pour cet hiver 2015 : une dizaine d’heure de travail…
Avril 2016 : 2 bars de tors de 3 m donnent 12 pics. Soit 0.25€ le pic antirouille compris. Production suite à la réception de 7 cloches Modul’O 35 de chez POuss’vert. Par contre cette année, j’ai gagné beaucoup de temps en trempant les barre quelques minutes dans un bain d’acide chlorhydrique dilué à 20% VV (1HCl/4H2O, V/V). J’ai meulé en biais le bout et passer à l’antirouille le tout.
20/05/2018 : Achat rond de fer de 6m à Weldom : 1,99€. En utilisant la pince monseigneur sur place j’ai coupé 13 morceaux d’environ 45cm. Cela m’a évité de devoir transporter cette longueur de tors, pourrir la voiture et devoir tronçonner le tout… Gain de temps, gain d’argent : on s’améliore chaque année ! Coût (on avait déjà : HCl et antirouille) : 15 cents par piquets !
Titre complexe mais principe hyper-simple : la gravité !
Les cuves de 1000 litres sont toutes surélevées. De plus, elles se trouvent sur la partie du terrain le plus haut. Remplir un bidons de 200 litres et alors simple, si on dispose d’une longueur de tuyau suffisante pour relier l’une à l’autre.
Les avantages :
Pas de pompage électrique (travail de remplissage gratuit : l’énergie potentielle est transformée en énergie cinétique),
pas de tuyau qui traine, qui se plie et se bouche,
pas d’eau hyper brulante les premières secondes (eau provenant des premiers litres contenus dans la longueur du tuyau),
arrosage avec utilisation d’un arrosoir (écomonique par rapport à l’arrosage à partir d’un tuyau que l’on réalise souvent par inondation du sol)
disposer d’un bidon d’eau ouvert et très utile pour se laver les mains ou laver grossièrement les légumes avant de la apporter en cuisine.
Nota bene : surélever la cuve de 1000 litres, de façon que le point le plus bas de la cuve, soit 10 cm au dessus du point le plus haut du bidon placé au point le plus haut du jardin. Dans le cas contraire, vous n’arriverez pas à vider totalement la cuve de 1000 litres.
Merci David pour cette bonne idée : Faire pousser des patates hors du sol !
Plutôt que de se casser le dos lors de la récolte, il suffira de retirer la canalisation…
Le 12/03/2015 : Mise en place des tronçons de canalisation…. en attendant que les pommes de terre germent.
Le 18/03/2015 : Mise en place des semences “Linzer” de pomme de terre. La terre utilisée est un mélange de terre compostée, de compost de cheval de plus de 6 mois et de terre du jardin (excavation de la butte en permaculture de la serre Luna).
Au 31/03/2015 : la totalité des sections de canalisations sont mises en place. Elles proviennent des travaux publics des terrains à côté de la gendarmerie. Les sections proviennent de canalisations endommagées mise au rebut et dont les chefs de chantiers m’ont gentiment permis de prendre.
Par contre une idée de recyclage ou plutôt de réemploi d’une poubelle dont de fond est fendu : un bac à culture de patate ! Cliquer sur l’image ci-dessous pour voir en grand.
Au 02/04/2015 : Les premières pousses émergent de terre.
Le 07/04/2015 : Avec mes dernières semences de patates, je décide d’essayer une technique vue sur le net, la culture de patate sur gazon. Je ne dépose pas les patates à même le sol mais bêche la surface, enlève les cailloux de bonnes tailles, ajoute un mix de terre du compost et de la terre d’excavation de la butte. Je creuse un sillon, dépose les semences et les recouvre de nouveau de terre. 3 semaines séparent les premiers semis de patates de ces derniers. J’appelle “Bande D”, ce couloir se semis de patates : Voir l’article.
Du 20 au 24/04/2015 : Paillage des jeunes pousses avec des débris secs du jardin (feuilles, petites branches trouvées sous les résineux).
Après la pluie du 25 et 26/04/2015 : il me faudra traiter les feuillages à la bouillie bordelaise…
Depuis le 13/05/2015, 2 traitements antifongiques ont été faits à la bouillie bordelaise. Les plants sont buttés jusqu’au niveau le plus haut de chaque canalisation. A voir si les grands vents de mi-mai vont affectés tout ce travail…
En ce qui concerne la tubérisation : Depuis les semis des tubercules, le 18/03/2015, 2 mois se sont écoulés. Chaque semence planté est en phase de développement, juste avant de faire des fleurs ( les nouveaux tubercules apparaîtrons d’ici un bon mois). CF le lien suivant (rappel du cycle de vie de la pomme de terre : http://plantdepommedeterre.org )
Le 09/06/2015 : Les patates en sont déjà au stade de la fructification / dessèchement. Je n’ai pas observé au stade de l’épanouissement, les fleurs sensées se développer à ce stade… Ma variété est précoce mais brûle-t-elle les étapes ?
En un mois, je vide les quatre premiers fûts et me régale des pommes de terre nouvelles. Elles sont vraiment délicieuses !
Voici, ci-dessous, une récolte en photos. Le 04/07/2015, le plus gros des bacs est vidé :
La tour était monté sur trois niveaux. Le niveau le plus haut contenait des feuilles mortes, du mulch…
La tour se démonte facilement. Le ramassage des patates se fait alors sans avoir à utiliser la bèche !!!
Nota Bene : La récolte est plutôt décevante… Il aurait fallu cacher les pousses sont un mix de much et compost sans les laisser faire leur première feuille…
Il n’a fallu que 4 mois pour produire les patates, y’a qq chose qui cloche…
Au 25/07/2015 : il ne reste que 5 fûts contenant des patates Linzer. Je déterre les patates de l’un des fûts, et observe que la peau est plus sombre, plus épaisse : La pomme de terre se conservera un peu mieux. On ne parle plus de pomme de terre nouvelle maintenant mais de pomme de terre de semi-conservation.
Depuis le temps que j’avais le projet de faire une butte en permaculture. Le but : moins de travail du sol dans le futur, moins d’arrosage mais le désir d’accroître la vie du sol (c’est l’année ou jamais car 2015 et l’année international du sol nourricier, sa préservation, sa connaissance, sa nécessité…)
Rappel sur la structure en lasagne d’une butte :
Le tout provient de matériaux de récupération (terre, terreau, bois morts, compost “home-made”)
Les étapes de l’empilement en images :
Finition :
La dernière semaine de Mars et consacrée au mouillage de la butte. L’effet recherché et la saturation en eau des bois en décomposition (la couche la plus profonde de la butte). Cela accentuera la décomposition mais aussi la capacité de rétention en eau de l’ensemble de la bute.
Depuis les quelques plants récupérés chez Jojo (voir l’article en 2013), et depuis leurs multiplications depuis le bac Grand rectangle, puis ensuite repiquage dans le bac “B” et de nouveau une multiplication des pieds par stolons (voir l’article en 2014) (stolons naturellement repiqués dans des gouttières de récupérations ou encore dans des canalisations détournées à cet effet).
Ce concept est un essai afin de vérifier si les fraisiers sont capables de produire à partir d’un espace contraint. Le risque est le stress hydrique…. vue l’emplacement plein soleil et le peu de terre que contiennent les gouttières.
Gouttière ou canalisation : 2 usages différents
Les gouttières : pour un repiquage des pieds de fraisiers ailleurs (cf le jardin du Loucastarelet, les tours aux fraises, etc…)
Les canalisation : pour une culture de la fraise sur le rack.
Au 25/07/2015 : Il a fallu arroser et arroser encore pour ne pas voir sécher les canalisation cette année caniculaire en Juillet (37°c). Bref, la récolte a été très faible par rapport à la pleine terre. La culture en canalisation ne peut être efficace que si le substrat est optimal sans stress hydrique (avec la mise en place d’un goutte à goutte par exemple).
Le 27/09/2015 : Les canalisations sont prêtes pour un repiquage.
Je ne sais tojours pas si je vais faire les repiquage de fraisiers Jojo… Les stolons poussent… le chat observe !!!
Au 18/03/2016 : Sandryne, après un an d’essai, m’a fait comprendre que le rack est sans doute pratique mais que visuellement…. un mur végétal, un bac comme ceux déjà réalisés, une petite pergola… quelque chose de grimpant pour habiller le mur… serait d’un meilleur effet. Elle n’a pas tors. L’essai de culture des fraisiers en canalisation reste, je le répète difficile par rapport à une culture de pleine terre. Il faut sans cesse surveiller l’apport en eau. Un apport mal contrôlé en engrais et les fraisiers sont brûlés, etc…
On aura essayé…
Par contre, beaucoup de gens tombe sur mon site et se renseigne sur la culture en canalisation. Pour eux, je résume en une phrase : En pleine terre, c’est mieux !
Achat le 24/02/2015 en CS, 1€. Ce bac était complétement défoncé. Comme une planche de fond était déjà manquante, je décide d’enlever la totalité du fond du bac pour le rendre concomitant avec le sol. Après tamisage, décaissage et préparation du sol et amendement, le bac réparé est mis en place. La terre est un mélange de terre compostée, terre du jardin, terreau de la déchèterie, terreau du commerce. Ce bac est donc le seul à être en contact avec le sol. Je vais le destiner pour la pousse d’une plante grimpante…
Réparation du bac : Les renforts de se voient pas car ils se trouvent sur le côté long plaqué contre le mur. 2 équerres renforcent les pieds. Le géotextile est remplacé par une toile plus résistante (cf achat Weldom). Les agrafes sont soigneusement enlevées… Le bac est poncé puis traité au saturateur (obtenu également en CS). Les planches de fond sont mises de côtés et seront destinées à d’autres fins.
Coût total pour ce bac : 10€ (Bac, Saturateur et terreau)
Le 20/03/2015 : Le premier jour de printemps ! C’est également le début de la saison de production pour ce bac. Voir
Achat le 12/01/2015, à -70%, 66€ à la place de 220€, en solde.
Dimension : 90 / 110 cm et de 20 à 60cm de haut.
Voir quelques visuels sur les spirales aromatique du commerce : ICI
Le montage est assez difficile sans avoir quelques notions en allemand (pas de notice en Français). Chaque plaque possède sur un des 2 bords latéraux, un renflement dont on ne sait pas comment l’orienter… Bref, il m’a fallu renforcer la tenue de la structure non pas avec les serre-flexs vendus avec la structure mais avec des ligatures faites de fil en acier galvanisé home-made.
Les cailloux utilisés sont des cailloux d’excavation lors de la préparation de la surface de la serre du jardin du Loucastarelet. Il faut environ 180 à 200 kg de cailloux de 3 à 6 cm de diamètre. Le volume de terre contenue est de 200 litres (soit trois énormes sacs de terreaux de 70l !). La terre provient d’un mélange de composte du Jardin, terreau composté de la déchèterie et de la terre du jardin. Les 5 derniers centimètres sont composés de terreau du commerce afin d’assurer la levée des semis.
Le 08/03/2015 : Semis de Marjolaine (tout en haut de la spirale) et plantation d’un pieds de thym du commerce.
Le 20/03/2015 : c’est le preimer jour de printemps ! J’ai mis en place des genres de compartiments avec la partie supérieure de pots plastiques. La disqueuse m’a permis d’avoir des tronçons parfaits. J’ai semé de haut en bas :
Dans la série RE-USE : Réutilisation des tunnels en serres de forçage hautes. Réutilisation des sous pots rectangle en plastique 87.5cm/40cm/2cm (Achat en solde 1€ à la place de 35€). Réutilisation des godets et barquettes (récupérées depuis ma jardinerie !). Une barquette contient 6 godets. Un sous pot rectangle contient 7 barquettes. Deux serres hautes juxtaposées contient l’équivalent de 2 rectangles et 4 barquettes (soit 108 godets)
Exemple semis Février 2015 :
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.