Article clin d’œil qui fait référence à celui du 19/03/20215 fait avec Lise ! Cette année, c’est sa petite cousine Julie de 12 ans (Stagiaire de l’association La JARRE Écocitoyenne du 18 au 22 Avril 2021). Wa ! : 6 ans séparent les 2 vidéos !
2 Brahmas (cf Charline G puis Soizic) Introduites le 11/08/2018, d’un an et demi environ ce jour là. Age estimé au 07/09/2020 : Environ 3 ans et demi !
2 Coucou de Rennes (Octobre 2019 prêtes à pondre, environ 6 mois), Age estimé au 07/09/2020 : Environ 1 an et demi
1 poule trouvée dans la rue ? De type rousse, jeune pondeuse environ 8 mois en mai 2020. Age estimé au 07/09/2020 : Environ 1 an
1 poule type “coucou de renne et une rousse (12€ chacune par Charline) Age estimé au 07/09/2020 : Environ 6 mois
Le cheptel est passé de 6 poules à seulement 2 en Septembre 2019…
Le 29/09/2019 : Achat de 2 poules prêtes à pondre “Coucou de Renne” à botanic® Saint Anthelme (Villeneuve lez Avignon)… Jusqu’à présent nous achetions des poussins que nous élevions “à la main” quelques semaines gardés au chaud à la maison…
Bref, le retour d’expérience confirme le fait que : Entre le nettoyage journalier, l’achat de nourriture spécial poussin et l’installation pas toujours évidente dans la cuisine entre chien et chat (facteur de stress pour les poussins)… on y gagne pas ni en temps, ni en tracas, ni en €uros !!! Mieux vaut-il acheter une poule presque prête à pondre, plutôt que s’enquiquiner avec des poussins…
Par contre on introduit préférentiellement par 2 les poules dans un poulailler déjà habité : les poules plus anciennes, forcément dominante ne jettent pas leur dévolu uniquement sur une seule et malheureuse poule… les coups de becs sont partagés !!!
Souvent les nouvelles poules font “profile bas” les 15 premiers jours… ensuite s’installe la routine… et la cohabitation se fait naturellement : Les plus anciennes se fatiguent… et les nouvelles prennent de l’assurance…
Cette fois-ci, tout est différent : J’ai d’abord été étonné de ne voir que 2 paquets de crottes et pas 4 lors du nettoyage journalier du poulailler… Je viens de découvrir la raison : Les nouvelles poules ne dorment pas avec les anciennes au chaud dans le poulailler !
Pendant que les “Brahma” ronquent dans le poulailler, les “coucou de Renne” ont élus leur couche dans cyprès en lisière de clôture du poulailler !!! Je n’aurais jamais pensé qu’elles puissent voler aussi haut pour se mettre à l’abri et passer la nuit en recherchant une quiétude et une sécurité qui me semble ma foie… relative…
La poule cherche de l’air et un râlement se fait entendre lorsqu’elle ouvre le bec, tête haute. La poule semble s’asphyxier et baille avec la tête et le cou tendu et le bec largement ouvert ? Ce n’est pas le coryza (pas d’inflammation au niveau des yeux)… Ce n’est pas une angine virale… mais la SYNGAMOSE (développement d’un ver sur le système respiratoire).
La poule reste dans son coin, s’alimente peu, perd du poids. Sa crête est plus pâle que celle de ses congénères en bonne santé. Cela fait 2 semaine… J’aurais du avoir le réflexe de l’isoler car c’est ce qu’il faut faire dans tout poulailler lorsqu’on observe qu’une poule semble malade.
Cet article propose une vidéo qui montre les symptômes de cette maladie que j’ai mis 2 heures à diagnostiquer et à nommer après recherche sur le net (on tombe souvent la description du coryza ou de l’angine virale mais pas sur la syngamose pourtant répandue)
Cette poule est vielle de trois ans (achetée presque prête à pondre à Charline G, courant 2017). En plus d’avoir chopé ce vers qui infecte le système respiratoire elle est la seule à développer une gâle des pattes. Je décide de l’euthanasier et de ne pas la consommer.
Points positifs : Éviter la contamination du cheptel, abréger les souffrance de l’animal, éviter une dépense onéreuse chez le véto (le coût de la visite + médocs (80€) pourront servir à l’achat de nouvelles poules prêtes à pondre.
Points négatifs : Après 2 semaines d’observations, j’aurais du être réactif et l’isoler du reste du cheptel. Je regrette de ne pas la manger (l’honorer de sa mort, à mon sens, c’est utiliser ses plûmes (sources de potasse au jardin), c’est consommer son sang (recette de la sanguette), c’est consommer sa chaire et c’est faire un bouillon avec ses os)…
Le 22/09/2019 : Suite à un commentaire sur la vidéo Youtube, on me suggère comme maladie la TRICHOMOSE causée par un protozoaire (contamination de l’eau de boisson par les pigeons). Cela me semble très probable…
Un grand merci à Soizic et Mathieu pour le don de 2 jeunes poules de race Brahma pour le poulailler partagé du Loucascarelet !
Pour la petite histoire : les poules ont 4 mois et demi… et nous espérons que ce sont là 2 poules et non 2 coqs ! Elles proviennent d’un don initial de Charline qui a arrêté son activité d’éleveuse de poulet sur Rochefort du Gard. Charline avait un coq “Brahma” et des poules Brahma qui ont à l’époque laissé couver certains de leur oeufs a des poules couveuses… Quelques jours après l’éclosion, Charline les a donné à Soizic qui possède un enclos “top la classe” et 2 enfants qui verront grandir les poussins.
Soizic a gardé une poule et fait don de 2 autres à l’association La JARRE Écocitoyenne de Rochefort du Gard. L’association possède un poulailler partagé, chez Franck et Marie, un double enclos de 50m², un beau potager et un grand jardin ou les poules pourront s’épanouir !
Une présentation en vidéo de l’introduction de ces 2 nouvelles :
REMARQUE : La dernière introduction de poule s’est soldé par un échec. Le conseil est d’introduire toujours un minimum de 2 poules dans une basse cour et jamais de galinette un peu chétive… elle se ferait alors gravement attaquer par ses congénères… (voir l’article à ce sujet)
La preuve :
Cette fois ci, je suis serein. Les poules se sont faites attaquer mais après un premier coup de bec, elles se sont redressées et n’ont pas courber l’échine comme à l’habitude de le faire la pauvre poule ci-dessus, complétement dominée et que j’ai du installer dans un enclos à part. Cette poule se met systématiquement en position pour être cocher et se fait alors défoncer le dos à coup de bec par les poules dominantes : Elle reste alors figée, c’est le carnage. Pas cool !
Ces 2 nouvelles sont déjà plus grosses que les 4 autres… elles en imposent par leur prestance… et n’ont pas le comportement à se laisser faire !!! J’espère simplement qu’elles ne se transformeront pas en coqs comme j’en ai eu l’expérience en prenant des poussins à botanic® l’an dernier ! (voir l’article à ce sujet)
15/01/2018 : La chef, la “Coucou de Renne”, la plus ancienne de nos poules ne sort plus lorsque l’on ouvre la porte du poulailler pour laisser les poules gambader dans le jardin…
20/01/2018 : Une trentaine de plume par jours sont retrouvées dans le poulailler…
22/01/20108 : Prise de vue du déplumage, 10cm plus bas que l’anus. Les pattes sont rougeâtres mais ça ne ressemble pas à la galle des pattes (qu’on a déjà expérimentée en septembre 2015). Avant pourtant dominante, elle se met en retrait des 3 autres. L’endroit déplumée montre les plûmes encore entichées dans la peau (il reste uniquement que la hampe (calamus) rongée au niveau de l’ombilic supérieur.
C’est peut-être le résultat d’un piquage car cette poule semble avoir perdu son rang de “chef”. C’est la plus vielle des poules… et elle a fait son temps (cf article Taux de ponte)
J’ai remarqué au niveau du perchoir, les poules ne se positionnent plus de la même façon, il doit y avoir compétition pour l’accès à la meilleure place…
C’est peut-être une galle déplumante, mais on observe pas d’amas de ponte (comme ici), ni de rougeur trop prononcée au niveau de la zone déplumée… ou c’est peut-être le début de l’infestation…
(Petite parenthèse, rien à voir avec cet article) : un peu de vocabulaire pour décrire les différentes parties d’une plume :
huile de cade + huile d’olive (50/50, qsp 10ml à tamponner sur les zones déplumées qui sont souvent là ou la poule ne peut pas se gratter, 3 fois par semaine… puis 30/70 ensuite…
Poudre insectifuge ( à acheter),
Nettoyage du poulailler, et du bac d’épouillage,
Limiter le contact avec les oiseaux du ciel…
24/01/2018 : En allant nourrir les galinettes ce matin, j’ai attrapé ma “coucou de Rennes”. Comme il était très tôt et que la lumière du jour commençait juste à poindre, j’ai pu observé des acariens translucides sur ma poule que j’ai chopé encore sur le perchoir dans le noir, dans le poulailler… (plus de détails sur cet acarien hématophage, qui passe de translucides, puis orangés, rouges, marrons à noirs, en fonction de la digestion du sang qu’ils ont absorbé ! (En savoir plus sur la page du site ou j’ai pompé cette info, avec photos macro, pas rigolo…).
Comme, j’avais lu que la galle déplumante était du à des acariens microscopique, ce n’est peut-être pas la galle déplumante (pas d’amas de ponte non plus). Par contre, les acariens visibles produisent visiblement le même effet “déplumant”…
Le 26/01/2018 : J’ai enfin du temps pour régler ce souci d’acarien. Je décide de :
Nettoyer le poulailler à fond (brûler la paille et même celle récupérée dans les boxs de l’association “Les copains d’abord” car je suspecte que ces acariens proviennent soit des oiseaux du ciel, soit du nichage et de l’éclosion de larves dans les tubes des brins de paille rapportés depuis moins d’un mois….)
Inspecter les boiseries du poulailler, démonter les interstices et le placardage de polystyrène des portes du poulailler afin de voir s’il n’y a pas d’amas de ponte d’acariens, ni de déjections…
Utiliser mes appareils BERTHOUD, bruleur électrique et bruleur thermique à gaz pour assurer l’extermination des éventuels résidus de ponte d’acariens…
Passer au pinceau, les perchoirs avec de l’huile de cade vraie,
Traiter les poules à l’huile de cade (2 traitements par semaine : 1 pour 1, cade + huile végétale la semaine 1 et 30/70 la deuxième semaine) : pour éradiquer les bébéttes adultes, sur les poules.
Répandre de la terre de Diatomée dans le poulailler (20g soit 1/5 du produit “Rampa’Clac’Diatomée”, achetée hier à botanic® (10€ le pot de 100g) : la terre de diatomée sert ici pour tuer les larves et les œufs qui pourraient éclorent dans le temps… J’en épandrais également dans le bac d’épouillage…
Merde, il pleut, aujourd’hui (cf inondations dans la France entière!!!) : je suis contraints à attendre et à risquer une prolifération des acariens… J’en profite pour apprendre sur le Net et revoir ma technique pour “Tuer une poule” et “Vider une poule” car il faut se rendre à l’évidence… La poule “Coucou de Rennes”, (première victime de l’attaque des acariens “déplumants”), ne pond plus qu’une œufs par semaine… Elle a fait son temps ! Je voulais attendre que Charline emmène ses poules à l’abattoir… mais je ne veux pas risquer de lui emmener une poule contaminée…. Je vais le faire moi-même, à contre cœur car c’est une expérience difficile.
Le 28/01/2018 : Nettoyage complet du poulailler le matin avant d’aller manger le gâteau pour l’anniversaire de Nicolas à Pierrelatte l’après midi. PAS de trace de ponte d’acariens, pas de trace d’adulte non plus… Les autres (3) poules ne semble pas se gratter… J’ai quand même passer à l’huile de cade et olive (50/50), les barreaux et les boisures du poulailler. Changement de la litière et nettoyage minutieux au dessus du poulailler, là ou l’on stocke la paille… il y avait des centaines et des centaines de crottes de rats… Le poulailler est lavé, séché, décontaminé avec de la terre de Diatomée (avant de remettre les plaques “botanic® elles mêmes lavées méticuleusement. En bas du poulailler, on a gratté entre les cailloux pour extraire la poussière de fientes et la paille résiduelle. 3 heures de travail pour un poulailler qui brille “comme un sou neuf”. Les gamelles et abreuvoirs… idem.
Hier, Marie a ramené de la paille un peu mouillée… la botte repose sur une palette dans la serre… le temps de sécher et que les rats aient l’idée d’aller dormir ailleurs que d’investir le haut du poulailler… La dernière fois que le haut du poulailler était vide, un rat avait était tuer dans le poulailler, certainement attaqué par une poule… (c’est arrivé deux fois d’ailleurs !!!)
J’ai trouvé une idée pour facilité une des tâches hivernales qu’est l’amendement au naturel de certaines zones de culture : Utiliser les poules pour épandre son compost !
Oui, les poules en plus de vous donner de bons œufs peuvent vous aider au jardin. Malgré qu’elles aient plus l’aptitude à saccager mes semis et plantations si je ne les surveillent pas lors de mes rituels “lâcher de poules”, mes gallinettes se prêtent parfois aux travaux routiniers au jardin biologique : retourner la terre, manger la vermine, amender le terrain de leurs crottes… et aujourd’hui répartir uniformément du compost sur des zones de cultures !
Le but :
pour les poules : Trouver des vers et les supers larves d’oryctes,
pour moi : L’exploitation animale, j’exploite à fond mes poules ! Heu… ça fait un peu “Mac” ça…
Liens vers des articles connexes :
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Conclusion de mon expérience cette année : j’aurais du acheté des poules prêtes à pondre à Charline Gallinard plutôt que d’élever des poussins achetés à botanic® (un premier achat : les poussins achetés malades sont morts, puis le second achat, j’ai eu 67% de coqs !!!). (Article dédié à cette déception)
La vengeance des poules d’être enfermées dans le poulailler : c’est de tout gratter dès qu’elles ont l’occas de sortir !
Tout y passe dès que j’ai le dos tourné : semis, plantation dans le potager…. fruits tombés au sol et ceux encore dans l’arbre, dans le verger… les feuilles compostées sous les arbustes se retrouvent dans les allées… QUE DES BÊTISES !
Mais Lise et moi, on se régale de les voir faire !!!
Aujourd’hui, pour les poules en libertés dans le jardin, c’est aussi le temps des vendanges au 31 août 2017.
Les poules sont des chasseuses-cueilleuses ! Elles chassent les insectes sont les feuilles des arbustes et cueillent les fruits à porter de becs : figues, raisins, prunes tout y passe !
L’œuf de Pâques ! Quel cadeau ! Du jamais vu ! Un œuf de cet grosseur !
Un œuf déformé avait déjà été à l’origine de la création d’un article dédié et de quelques photos humoristiques mais aujourd’hui quelle coïncidence, en ce dimanche de Pâques : un cadeau de ma poule Coucou de Rennes, un œuf de 85g. ÉNORME !
Un œuf moyen : 65g. Sur le cliché, un de 55g et l’autre de 85g !
Pendant que certains iront cacher les chocolats dans le jardin et que d’autres devront les trouver, moi j’ai déjà été gaté d’un oeuf de ouf !