Une vingtaine de graines de capucine et 5 à 6 ipomées ont été semées au pieds de l’olivier transplanté.
Ipomée : pour décorer l’olivier d’une plante grimpante. L’année dernière les ipomées au niveau de l’olivier offraient un décors magnifique. Je réitère cette année.
Capucine : Aide à la lutte biologique. Les capucines attirent les pucerons et autres insectes piqueurs-suceurs. Elles se sacrifient au profil du jardinier.
Le pied de l’olivier transplanté au 07/05/2014 : Jour du Semis.
Au 05/09/2014 : Les ipomées au pieds de l’arbre sont guidées gràce à un treillis improvisé d’un bout de grillage en nid de poule et de trois petits bout de bambou. Les sédums se portent assez bien pour fleurir… (c’est peut-être ironique car peut-être que les sédum se sentent mal, assez mal pour qu’un pic d’hormone désinhibe la non production de fleur ?…. Je me renseigne sur le Net :
Un printemps très doux et c’est inévitable, en trois semaines plus de feuille ?
Je pensais l’année dernière que cela était du uniquement au mistral lorsqu’il souffle à plus de 100 km/h. En observant les feuilles de plus près, je découvre au revers des feuilles des grains jaunâtres et verdâtres : Des oeufs et larves de psylles ?
Le Psylle, une sorte de minuscule cigale, surnommé autrefois “Faux-puceron”, est un insecte suceur très proche du puceron qui apprécie les printemps chauds. Les larves s’installent en formant des sortes de colonies sur les rameaux et plus rarement sur les feuilles.
Le problème est que les larves de psylle secrètent énormément de miellat, ce qui attire les fourmis, donc les pucerons… et entraîne la fumagine.
Dans les jardins, cet ennemi est quand même assez rare car les coccinelles réussissent à réguler leur population qui est très active au mois de mai et au mois de juin.
Végétaux Sensibles : Parmi les arbres fruitiers il apprécie bien les figuiers, les oliviers, les poiriers…
Comment reconnaître les symptômes :
Les feuilles se roulent sur elles-mêmes en se déformant.
Les fleurs sont rongées.
De nombreux dépôts et écoulements de miellat sont visibles.
Traitements Préventifs :
Ne pas abuser des engrais riches en azote.
Ne pas négliger les traitements d’hiver surtout sur les fruitiers.
Installer des colliers arboricoles autour des troncs des arbres.
Lutte et Traitements Curatifs : On les combat (parce qu’il s’agit bien d’un combat, jamais gagné d’avance) de la même manière que les pucerons :
Effectuer des pulvérisations avec de l’eau additionnée de 2% de savon noir. Renouveler tous les trois jours jusqu’à l’éradication complète.
Essayer la douche au jet d’arrosage en plusieurs fois, en insistant sur la naissance des feuilles, là où les larves commencent leurs développement.
Traiter en pulvérisant une “tisane” de nicotine :
le recette : dans une vieille casserole faire une décoction de 1 grosse cuillerée à soupe de tabac gris (celui qu’on roulait, dans le temps pour les cigarette et qu’on trouve toujours en paquet, dans les bureaux de tabac) dans un litre d’eau. Laisser infuser 24 heures (attention, l’odeur est forte et imprègne bien le récipient utilisé). Ensuit filtrer et diluer : 1 verre pour un litre d’eau. Pulvériser sur les plantes infestées,de préférence le soir (éviter les fortes chaleurs). Si le temps est très chaud, il vaut mieux doucher au jet au bout de 24 h et recommencer après 1 semaine.
ATTENTION : un traitement ne doit pas être fait juste avant de consommer les fruits. Attendre au moins un mois avant la récolte. Il faut laisser à la plante le temps d’éliminer les toxines de la nicotine ou d’autres produits chimiques utilisés.
Les psylles du figuier sont coriaces.
On peut aussi essayer la lutte bio avec des insectes prédateurs (voir Sites spécialisés Internet)
Bonne chasse !!!!!!
Couper et détruite les feuillages atteints.
Auxiliaires du Jardinier :
Les coccinelles sont de grandes consommatrices et suffisent souvent à éliminer les psylles du jardin. Il existe heureusement naturellement de nombreux insectes auxiliaires s’attaquant aux Psylles des pommiers et poiriers :
Syrphes,
Coccinelles,
Chrysopes,
“punaises” Mirides
Anthocorides…Anthocoris nemoralis (nemorum) est polyphage avec une préférence pour les larves de Psylles : il est présent naturellement dans les vergers mais en quantité insuffisante; on commercialise donc ces Anthocoris en protection intégrée des vergers…
Essai : Palisser un pommier depuis un gobelet invendable car mal taillé à la base par les pépinière Delbard. D’abord l’idée me viens de faire un U simple. Je finis par garder un axe central et courbe deux branches latérales.
Les fruits encore présents sont petits (5cm) alors que autres pommes golden commes celles du doubleU juste à côté ont été récoltées il y a trois mois de cela. Cette année la récolte a été très mauvaise (3, 4 pommes…)
Pourquoi des fruits rachitiques (jeune arbre, mise en palissage et taille forte l’hiver dernier… ?)
Déjà sur place lors de l’achat de la maison. J’ai fait transplanté l’olivier depuis l’angle avant gauche de la maison à l’angle arrière droit. C’est le paysagiste “Jardin du Castelas” , M. Gandon qui a fait le travail. Je pense que le trou de plantation n’a pas été creusé suffisamment : Début 2014, l’arbre fait toujours un peu la gueule.
Plantation au pieds de capucines et d’ipomées :
Au 20/11/2014 : Traitement d’hiver de l’olivier transplanté au blanc arboricole.
Achat : 9,56€ à -20%, le 20/03/2014, encaissé par Virginie.
Caractéristique et entretien :
Petit fruit lisse vert, très riche en vitamine C, chair juteuse et parfumée, se consomme frais avec la peauou morts..
Autofertile, précoce, très rustique : il résiste à -20°c
Au printemps apporter de l’engrais organique pour fruitiers.
En hiver, raccourcir les rameaux gênants.
Au 05/05/2018 : mort depuis 2 ans, le kiwaï, ne s’est pas plu dans cet espace certainement trop au vent et dont les racines de la lavande sont peut-être rentrées en compétition avec les siennes ? Remplacé ce jour par un Tayberry Buckingham.
Poirier Duchesse d’Angoulême en Gobelet de deux ans. Récolte fin Septembre.
J’ai dupliqué cette image afin de pouvoir cliquer dessus et lire les indications de la fiche descriptive…
Acheter sous les conseil de Jean le Pépiniériste de Bota à l’époque le 15/01/2013, 17,97€, pendant mon année sabbatique.
Au 13/11/2014 :
Je me demande si l’arbre a plus les pollinisateurs qui lui faudrait dans son entourage ?
Selon la fiche descriptive : Il est pollinisée par :
Beurré d’Anjou,
Beurré clairgeau,
Doyenné d’Hiver,
Louise Bonne. Récolte fin Septembre.
Il semble qu’il n’a pas les pollinisateur qu’il lui faut…
Par contre sur deux sites webs distincts, j’apprends qu’il peut être pollinisé par “Louise Bonne” et “WILLIAMS” !. Il y en a un de “Williams'” juste à côté mais en 2013 comme en 2014, je n’a vu encore aucun fruits. L’arbre serait-il encore trop jeune pour produire des fruits ? Il a maintenant quatre ans…. J’apprends également que le poirier redoute les sols sableux, très argileux et calcaires. Il préfère une terre fraîche, profonde, perméable et riche. Il craint la sécheresse et les vents violents. Bref, j’ai tout faux…. Bon, j’attends encore un an, je vais essayé de faire une taille de forme, de mettre quelques tendeurs afin d’ouvrir le cœur de l’arbre au soleil. Si le milliards de fleurs ne donnent aucun fruit, je l’arrache et le donne à Pierrick et Hélène : Il se sentira bien mieux dans le Lot !!! Aller, encore une petite chance….
Photo avant la mise en place d’un nouveau bac à ses côtés.
06/06/2015 : Finalement, le poirier me donne des fruits. Merci William ! Il lui en a fallu du temps…. Je décide alors de le protéger des vents violents en lui offrant un tuteur.
Au 25/07/2015 : Les 12 premiers fruits depuis l’achat (15/01/2013) !
Le 26/10/2015 : Les branches du poiriers sont orientés par des tendeurs au sol. Au dessus du crottin, 10cm de BRF est déposé.
2016 : Le 24/08/2016 : 11 énormes fruits encore en attente de récolte alors que les poires Williams ont toutes été récoltées… !
Au 09/12/2016 : Le poirier Duchesse d’Angoulème est de nouveau palissé. Les charpentières sont maintenues par des liens moins “blessants” que les anciennes attaches en fil métallique. Une bobine de 1kg de fil plastique creux “SODIPA”, 10€, nous a permis de lier l’ensemble de nos fruitiers…
Au 15/03/2017 : 15 jours d’avance par rapport à l’année dernière ?
La récolte 2017 a été très abondante : de beaux et gros fruits qui se tiennent dans le temps (jusqu’en novembre), fermes et délicieux. Merde, j’ai pas pris de photos !!!
Au 14/01/2018 : Taille, cicatrisation des plaies et pulvérisation d’huile végétale (traitement d’hiver). La taille trigemme et alternée avec la taille de fructification (au 6/7/8ième rang sur les secondaires). Il ya beaucoup de bourses sur ce poirier (c’est les vestiges de l’énorme production de la saison 2017). J’ai réduit les secondaires et 1/3 des bourses ont été malheureusement coupées. Le but étant de rapprocher les fruits des branches secondaires sur la charpentière (à voir en 2019).
Achat le 13/11/2011, retiré du magasin le 17/11/2011, 15.96€, encaissé par Eric.
Taille de mise en forme en Novembre 2013.
Ouverture de l’arbre en décembre 2013.
Utilisation de grosses pierres ou de briques pour lester les branches.
Sur le cliché ci-contre, à la date de fin Janvier 2013, il n’y avait pas encore l’abri à bois que j’ai construit en juillet/août 2013.
Au 20/11/2014 : Les deux cerisiers sont protégés pour l’hiver avec du blanc arboricole
Au 04/02/2015 : Les températures négatives la nuits et les vents violents affecteront-ils la qualité et/ou la quantité de la toute première récolte prévue mi-juin 2015 ?
Le 10/04/2015 : La récolte (la première) est pleine de promesse.
Nota Bene : On note bien les fleurs sur la branche. La floraison n’apparaît que sur les branches agées de deux ans. Le haut des branches, sont donc des pousses de l’année dernières et ne présentent aucune fleur. J’aurais du rabattre les rameaux début mars 2015. J’ai préféré ne pas le faire pour que l’arbre pousse en hauteur afin de capter le soleil par dessus le mur de 1m80cm. Il me faudra quand même impérativement tailler les cerisiers cet année pour garder une belle taille de forme…
Achat le 08/11/2011, 12.95€, encaissé par Elodie !
Au 31/03/2015 :
Le 10/04/2015 : Après les premières feuilles, les premières fleurs…. promesse d’une bonne récolte.
Décembre 2015 : Les charpentières sont arquées d’avantage par de gros cailloux (En prenant garde de ne pas positionner les cailloux trop près du passage des roues de la voiture : il y a deux mois j’y ai déjà laissé un pneu (crevaison latérale)).
Plantés sur le fronton de la maison, de chaque côté du portail d’entrée des véhicules.
Achat le 08 et le 13/11/2011, encaissés par Eric.
Retirés du magasin Bota le 17/11/2011.
Premières cerises véritables au bout de 3 ans et demi !
TAILLE : Supprimer la moitié de la longueur des pousses verticales, un tiers des pousses horizontales de l’année précédente. Tailler après les derniers risques de gel, généralement la première quinzaine de Mars et juste au-dessus d’un œil tourné vers l’extérieur de l’arbre.
Pour le suivi des cerisiers (taille de forme, amendement, récoltes, diaporama chronologique, etc…) voir les pages :
Poirier Delbard d’automne Double U : Achat le 28/09/2011
Fruit très fermes. Poire à couteau, se conserve deux mois après récolte.
Au 14/01/2018 : Taille trigemme et conduite de l’apex des charpentières sur la structure palissée. Cicatrisation des plaies de taille et traitement hivernale à base d’huile végétale.