On y trouve des logiciels libres de droit comme des outils pour travailler collaborativement.
Lors de notre réunion du 31/12/2018, j’avais émis le besoin de trouver de l’aide, afin que l’on puisse échanger et construire ensemble le devenir de l’association… Ces outils devrait permettre d’échanger et travailler collectivement sur :
calendrier des événements,
sondage afin de construire ce calendrier,
Etc…
Reste plus qu’à tester… il faut que je trouve le temps… Help.
Deuxième année de vie pour ces bacs en fibres de terre (garantie 2 ans, non gélif). Le passif de ces bacs au nombre de 8 : voir l’article “Suivi Bacs de la série F, 2017”
On rappelle le nommage des bacs sur cette image qui date de l’année dernière :
Le 02/02/2018 : Nettoyage des bacs… il ne reste que quelques plantes aromatiques et les plants d’origan qui reprennent de la vigueur.
F7 et F8 : repiquage de 10 à 12 laitues “blonde de Paris”. Derrière F7, les oignons rouges renaissent spontanément (ils avaient végété car planter trop tardivement mais les voilà hâtifs maintenant). Attention, cette variété à tendance à monter en graine rapidement : il faudra en laisser 2 ou 3 pour la montée en graine mais aussi récolter les autres pour en profiter en salades !!!
Un super sécateur semi-pro : le sécateur FISKARS P90. Nickel pour la taille en vert, taille des fruitiers et de la vigne. On peut changer la lame sans avoir à racheter un sécateur entier !
Sa spécificité est de pouvoir couper les fil métalliques de petits diamètres, lors du travail (en janvier et février) de vérification des attaches des végétaux sur leurs tuteurs ou palissade.
Ce sécateur, est en prêt, au sein de l’association : Faites votre essai, puis faites en l’achat à botanic®, Saint Anthelme !
FISKARS aime que ses clients puissent garder leurs sécateurs longtemps, en plus de la garantie, il propose des sécateurs dont vous pouvez en faire l’entretien et la réparation : La lame peut donc être rachetée sous la référence : 111967.
Ce sécateur est le favori de DavidZ, jardinier de DZprod Jardin et président de l’association La JARRE Écocitoyenne à Rochefort du Gard.
Pour l’entretien de son sécateur, pensez à l’achat du Kit d’entretien (réf 110990).
Sachez cependant que si vous en faites l’essai, nettoyez et essuyez simplement le sécateur entre chaque végétal (pour ne pas transmettre de maladie de l’un à l’autre). En ce qui concerne le graissage et l’entretien du tranchant de la lame, DavidZ se chargera de cela… Merci de votre compréhension.
Si on veut conserver le tranchants de ses outils de coupe, il faut acheter un kit d’entretien (huile et outils d’affutage) qu’il faudra utiliser après un bon nettoyage à grande eau et un essuyage parfait afin de prévenir de toute oxydation.
Le kit d’entretien FISKARS, qualité prix et le plus intéressante : on y trouve un livret iconique de conseils, une lame diamant et un flacon d’huile.
Sur ne net, on ne trouve pas le livret PDF de conseil même sur le site de FISKARS ! J’ai donc décidé pour mémoire de scanner ce livret super bien fait : aucun Blabla (à l’antipode de ce que je fais !!!) que des dessins iconiques porteur de sens et de conseil. D’ailleurs tous les icônes de FISKARS sont super bien faits : j’adore !
Cliquer sur les images pour les agrandir :
Suivant les observations des dysfonctionnement lors de l’usage de l’ outils procéder au nettoyage, l’affutage et huiler votre outils !
Selon votre outils choisir entre le process d’entretien n°1, n°2 ou n°3
Selon votre outils de coupe, choisir entre un angle d’affutage de 25, 30 ou 45° d’inclinaison :
Le 03/07/2018 : Usage détourné de l’huile. Graissage d’un vérin de haillon de coffre de voiture !!!
Cet article explique l’intérêt d’un traitement à base d’huile insecticide plus ou moins naturelle (comparatif entre une huile végétale “fertiligène”, une huile minérale “Algoflash” (dans le but de réduire la pression des ravageurs latents (sous forme larvaire) pour les fruitiers dans les jardins de particuliers, effet insecticide) et un traitement à base de bouillie Bordelaise (sulfate de cuivre et sulfate de fer), (dans le but de réduire la pression des champignons pathogènes, effet fongicide).
On achète et utilise (par pulvérisation) l’huile minérale dans l’espoir d’une belle production. Mais est-ce judicieux ? L’impact (faune/flore/utilisateur) est-elle à considérer ? Qu’elle est le bénéfice-risque. Faut-il concevoir que le laisser faire (Masanohu Fukuoka), favorisant la bio-diversité et l’attente d’une réponse à la pression ravageur par la nature elle-même et les auxiliaires, va être la “panacée” évidente contemporaine.
En lisant bien les étiquettes et en prenant le temps de l’investigation, je me rends compte que rien n’est évident…
Premier abord, le packaging (clic sur l’image pour l’agrandir) donne le gage d’un produit “AB”. Pour grand nombre de néophyte “AB” c’est BIO cool !
Il est vrai qu’en une ou deux décennies, les exigences européennes en terme de production en “AB” et utilisation des produits phytopharmaceutiques, ont poussé les industriels à revoir leur packaging :
Fertiligène “Naturen®” Traitement d’hiver et fin d’hiver : pas de pictogramme (c’est un produit qui date de quelques années, rien n’était encore imposé),
Un bon point pour Algoflash : Un mode d’emploi et une page pleine concernant les précautions d’emploi sont visibles (quoique cachés, au verso de l’autocollant détachable) au dos de l’emballage. Certes , la multiplicité des précautions d’emploi fait réfléchir sur la nécessité de l’utilisation du produit mais aussi relativiser sur le bénéfice de produire ses propres fruits, même avec un rendement médiocre.
On rappelle simplement que l’essentielle des vitamines sont présentes dans la peau des fruits. L’utilisation d’une huile insecticide pendant la période de fructification et tant que les fruits sont sur l’arbre n’est pas judicieux ! Il est alors recommandé d'”éplucher vos fruits”… une aberration !
Mon conseil : Multiplier la diversité dans votre jardin. Poser des hôtels à insectes. Traiter le moins possible. Cette préservation va assurer la réponse des coccinelles et autres auxiliaires lorsque nécessaire. Ramasser les feuilles des fruitiers évitera la propagation fongique d’une année sur l’autre. Vérifier le tuteurage et l’état général de vos arbres… Enlever les bois morts, cicatriser les plaies naturelles ou de taille. Poser des bandes de glu, des pièges à phéromones… de chez Algoflash NATURASOL, mais traiter le moins possible…
ATTENTION : Ses huiles sont des INSECTICIDES ! La nature des insecticides chimiques de synthèse, n’est pas détaillée mais bien réelle :
évidente chez Algoflash mais floutée : 817 g/l d’huile de vaseline (issue de la pétrochimie), on donne ici une indication en masse/volume. On parle ensuite que cela représente “94% (m/m)”, c’est à dire une indication en poids/poids. La majorité des utilisateurs (pour les jardins amateurs, donc non professionnels des traitements phyto) se laissent à conclure à la très grosse majorité d’une huile paraffine. La masse molaire de la vaseline étant grande par rapport à celle de l’insecticide le rapport (m/m) apporte confusion entre volume et masse. NB : formée essentiellement d’alcanes, de formule générale (CnH2n+2) avec C<25 de la vaseline. Or, en comparant avec quelques molécules insecticides les plus communes, on remarque qu’ils ont une masse volumique bien moindre… Conclusion si 94% (m/m) pouvait être transposée en (m/v), on aurait non pas 6% (m/m) d’autres substances insecticide – Acaricide et émulsionnable mais un taux significatif, je pense supérieur à 10%, ce qui rend l’affaire significative. On rappelle qu’en terme statistique, une donnée inférieure à 10% peut être considérée comme “négligeable”. Par contre, en chimie organique et surtout lorsque l’on parle de concentration de produits phytopharmaceutiques, un petit pourcentage peut s’avérer “signifiant”. Est-ce la une sorte de manipulation pour rassurer le consommateur (comme le préconise la directive 834/2007) (cf points 9, 22, article 12 a) g) ; article 16, article 23 2) ; concernant un règlement vieux de 11 ans !
Chez FERTILIGENE, l’huile végétale insecticide est à base de colza (et non issu de la pétrochimie).
La période d’emploi conseillé chez Algoflash est de trois mois supérieure à celle de Fertiligène car il appuie l’argumentaire commercial également sur l’effet anti-cochenilles (au détriment des recommandations concernant les effets néfastes sur la faune auxiliaire et la production de fruits sains… en ajoutant une “période conseillée” pendant les périodes de récolte d’août – septembre et octobre).
On regrette que sur le mode d’emploi et les conseils de l’un ou de l’autre on ne trouve pas celui de faire un traitement à base de bouillie Bordelaise (fongicide) en complément de celui à base d’huile végétale insecticide. Complémentaire mais moins nocif pour la faune et l’applicateur (quoique préjudiciable (bio-accumulation dans les sols) à la dégradation mycorhizienne et donc à la bio-disponibilité des éléments nutritifs de la patchamama !
Les traitements ne sont pas systématiques, soyez responsables face à ces méthodes et adaptez vos pratiques aux besoins de votre jardin. Pour ce, l’observation de vos cultures sera votre meilleur allié.
Quand vous traitez vous tuez tous les insectes (nuisibles et utiles), il est donc important de ne traiter qu’en cas de besoins car les colonies d’insectes utiles mettent plus de temps à se repeupler et vous sont indispensables à la pollinisation et à la régulation des nuisibles.
J’ajoute également que le traitement au pulvérisateur peut s’avérer néfaste si toutes les précautions d’utilisation ne sont pas respectées !!!
Sans cône d’abattage, la poule se débattra et vous aurez du sang sur 2m à la ronde, vous aurait également du mal à inciser proprement l’animal et le sentiment d’être un bourreau inexpérimenté…
Avec le cône de sacrifice :
l’incision et plus facilement réalisée (en prenant soin de pincer le bec de la poule et en tirant un peu sur son cou),
Toujours en maintenant le bec, le sang peut-être recueilli, proprement, dans un récipient contenant quelques goutte de vinaigre. On pourra préparer une recette oubliée depuis que les poules sont enmenées systématiquement à l’abbatoir : “la sanguette”.
l’animal rend son dernier souffle très rapidement.
Ils existe d’autres modèles sur le net pour des prix similaires.
On peut le fabriquer soi-même, en bois (mais pour des raisons d’hygiène), je ne suis pas fana. De plus celui-ci fixé sur le mur imposera le nettoyage du mur !!!
Il est vrai que le cône ressemble beaucoup à ceux de la DDE : les cône se signalisation des travaux sur la voirie.
Mon idée de saignoir, est une idée D.I.Y et également R.R.R, fait MAISON et avec le re-emploi du bidon de 10 litre en polypropylène à usage alimentaire (une fois vidés de leur contenu alimentaire, ma femme me les ramène de son boulot, où elle y vend des alcools : sinon, ils sont jetés…
Quelques découpes, à la disqueuse… un bon nettoyage.. le ré-emploi d’un manche à balai… (astuce pour suspendre le tout) et en plaçant ou non, un chiffon autour de l’animal, on arrive aisément à l’introduire dans le bidon.
Ce système a ses avantages :
on peut suspendre le cône grâce au manche à balai et procéder au sacrifice, un peu où on veut…
On peut ainsi recueillir le sang, en ajustant la hauteur…
Prix de revient : 0€,
Temps de mise en œuvre rapide (10 minutes),
l’dée “d’empreinter” un cône de signalisation à la DDE s’estompe radicalement !!!
Par l’orifice du bas, on attrape le bec afin d’orienter la tête hors du trou… on peut alors procéder au sacrifice… bien plus proprement, dans le respect de l’animal.
Si vous voulez conserver le bon état de marche de votre pulvérisation… pensez à en faire l’entretien ! Petits ou grand, votre pulvé nécessite un minimum d’entretien : un nettoyage à grand eau et le graissage des joints.
Suite à l’achat de mon nouveau pulvérisateur “TECNOMA, modèle PURE” qui accepte les recettes de purins, décoctions et autres préparation MAISON, je préfère être très rigoureux dans le nettoyage, l’utilisation et la mise en hivernage de mes pulvérisateurs en employant une graisse silicone spécifique du fabricant (Hozelock, Berthoud, Tecnoma : c’est la même Maison !!!)
Les professionnels, les agriculteurs et tout ceux qui utilisent des produits phytosanitaires ont reçu une formation et obtenus leur agrément obligatoire “le certificat écophyto” et connaissent les recommandations en terme d’usage et de nettoyage de leurs appareils pour le traitement pulvérisé.
Le particulier, quant à lui, est peu informé… et n’a pas reçu de formation… là, je m’éloigne du but de cet article qui est simplement le conseil d’entretien d’un pulvérisateur domestique (achat en grande surfaces et magasins spécialisé tel que botanic®)
Quand entretenir son pulvérisateur ?
après hivernage du pulvérisateur : graisser les joints avec la seringue silicone spéciale BERTHOUD (réf 219374) (quoique l’on utilise aussi le pulvé pour les traitements d’hiver (cf huile végétale pour les fruitiers juste avant le gonflement des bourgeons, afin d’éradiquer les larves hivernantes dans les anfractuosités de l’écorce…),
périodiquement suivant l’intensité de l’usage…
Le graissage des joints permet :
de conserver votre pulvérisateur plus longtemps (si vous le remisez l’hiver à une température supérieure à 5°c, sinon les plastiques et les joints thermo-moulés se dégradent),
une mise en pression optimale,
de faire des économies et préserver la planète (en limitant les rachats par manque d’entretien) !
En plus des joints, il faut également penser (mais cela est évident) à bien passer sous l’eau la buse, le porte-buse, le filtre de lance et l’ensemble de la pompe…
Le but : Que ce soit pour abréger les souffrances de l’animal (maladie, attaque de prédateur), pour recycler son cheptel (vieille poule en fin de ponte), pour extraire de son cheptel les coqs en surnombre ou pour se nourrir… vous risquez fortement d’être confronté au besoin de ce savoir ancestral et qui s’est perdu avec l’industrialisation !
Il est possible, si le courage vous manque, de transporter son animal, jusqu’à l’abattoir mais cela est :
inducteur de stress (transport, stress sur la ligne d’abattage…) pour l’animal,
Coûteux (Transports (*2), abattoir : autour de 5€ pour tuer, et évidée la galinette).
Le faire soi-même est un acte militant, courageux (car on a chérit son animal pendant des mois, un certain attachement c’était construit…), mais aussi respectueux vis à vis de l’animal. C’est également RESPECTER comme tirer profit de cette vie animale uniquement dédiée à votre bien-être personnel comme celui de votre famille.
Ce sacrifice possède néanmoins les valeurs fortes suivantes :
Réduire la souffrance animale, car vous ne consommez pas une bête qui provient de l’extérieur et dont vous ne savez rien (des conditions d’élevage comme celles d’abattage !!!)
Respecter la fin de vie de votre animal, (euthanasie : s’il est malade et condamné, ou souffrant (fin de vie, piquage des congénères qui résultera sur la mort de l’animal)
Consommer une viande dont vous maitriser la qualité (sans traitements et éventuellement Bio),
pouvoir REMERCIER votre animal de ce qu’il vous a procuré, tout au long de sa vie… avec comme point final et bouquet final, l’excellence de sa viande !
peut-être également être fier de produire sa propre nourriture dans un acte militant ou de survivalisme… (en réduisant son addiction consumériste en étant persuadé des conséquences sociales, environnementales, psychologiques ou économiquement négatives… )
BREF, COMMENT PROCÉDER :
Isoler l’animal afin de le mettre à la diète au moins 12 heures à l’avance (le but étant de réduire les résidus dans l’appareil digestif,
Saigner l’animal, le soir ou tôt le matin sera moins stressant pour lui, (pourquoi saigner et non pas trancher d’un coup un seul : le but et de ne pas avoir de sang dans les muscles après la mort de l’animal et éviter la coagulation intramusculaire),
Utiliser un couteau hyper-tranchant, un cône d’abattage (image 1, image 2) pour volaille ( fait MAISON avec le ré-emploi d’une bouteille en plastique de 3l ou 5l ou fabriqué en bois). Égorger la poule en tranchant sous le cou à une vertèbre… soit par 2 incision à 60° de part et d’autre de la trachée… soit par une seule incision de 120° (méthode “Al Zakat” du rite Islamique). Image pour aider.
Plumer l’animal : Il vous faut au mieux 3 contenants : un stérilisateur + une bassine d’eau froide + une poubelle noire de 80 litres pour le plumage. Process : Plonger 3 fois 10 secondes dans 20l d’eau très chaude produite dans le stérilisateur (55 à 58°c) mais surtout pas bouillant : lez but et de ne pas cuire la poule avant vidage). Plumer la poule dans la poubelle noire (les plumes enrichiront votre compost en azote). Procéder rapidement en été et refroidissez la poule en la plongeant dans la bassine d’eau froide,
Procéder au vidage :
Un poulet peut se cuire au four, une poule pondeuse NON !
Mieux vaut la cuire au pot… pas plus de 1h30 à 2 heures (mijoté et pas à fort bouillon, pour ne pas avoir une viande trop dure)… en suivant les conseils que j’approuve dans l’article, bien fait (et j’en ai lu quelqu’un pour comparer…) : http://chefsimon.lemonde.fr/gourmets/chef-simon/recettes/poule-au-pot–5
NB : On réservera en filtrant la marmite :
3 à 3,5 litres de “fond blanc” qui est au résultat le bouillon obtenu à la fin de la cuisson,
Découper la poule et réserver le tout : les pièces nobles (les 2 ailes, les 2 cuisses, les blancs) et dépiauter la carcasse au mieux,
Avec la carcasse dépiautée, les os (que l’on récupère lorsque l’on consomme la poule au pot, et l’ensemble des cartilages que l’on récupère, on peut aussi faire un BOUILLON ! Le process ci-dessous :
Après avoir cassée et broyée grossièrement la carcasse, on fera revenir les os dans un fond d’huile (d’olive ou de coco ou de graisse de la poule si on a eu l’idée de récupérer celle-ci surnageante après une nuit au réfrigérateur de la marmite ayant servi à cuire la poule entière), …après une légère réaction de Mayard, on verse le fond blanc dégraissé que l’on avait réservé à cet effet… et on laisse mijoter tant que l’on veut… le but étant de faire fondre les cartilages encore présents sur les os… Après refroidissement et filtration, on a un bouillon de fou : Très gustatif (pour y faire gonfler des pâtes vermicelles) et bon pour le corps (dégraissé et à teneur basique grâce à la fonte des cartilages) : Voilà de quoi vous réchauffer l’âme en procurant “un effet tampon” qui va neutraliser le surplus d’acide, souvent en excès dans nos organismes d’hommes modernes stressés !
NOTA BENE : Franchement si vous faites tout cela, vous aurez une semaine de nourriture pour 2 personnes (Sanguette + poule au pot + bouillon)… soit 14 repas !
Avec l’expérience, je préfère ainsi congeler la moitié de la poule au pot + 2 litres de fond blanc. Je consomme alors la deuxième moitié de la poule au pot
15/01/2018 : La chef, la “Coucou de Renne”, la plus ancienne de nos poules ne sort plus lorsque l’on ouvre la porte du poulailler pour laisser les poules gambader dans le jardin…
20/01/2018 : Une trentaine de plume par jours sont retrouvées dans le poulailler…
22/01/20108 : Prise de vue du déplumage, 10cm plus bas que l’anus. Les pattes sont rougeâtres mais ça ne ressemble pas à la galle des pattes (qu’on a déjà expérimentée en septembre 2015). Avant pourtant dominante, elle se met en retrait des 3 autres. L’endroit déplumée montre les plûmes encore entichées dans la peau (il reste uniquement que la hampe (calamus) rongée au niveau de l’ombilic supérieur.
C’est peut-être le résultat d’un piquage car cette poule semble avoir perdu son rang de “chef”. C’est la plus vielle des poules… et elle a fait son temps (cf article Taux de ponte)
J’ai remarqué au niveau du perchoir, les poules ne se positionnent plus de la même façon, il doit y avoir compétition pour l’accès à la meilleure place…
C’est peut-être une galle déplumante, mais on observe pas d’amas de ponte (comme ici), ni de rougeur trop prononcée au niveau de la zone déplumée… ou c’est peut-être le début de l’infestation…
(Petite parenthèse, rien à voir avec cet article) : un peu de vocabulaire pour décrire les différentes parties d’une plume :
huile de cade + huile d’olive (50/50, qsp 10ml à tamponner sur les zones déplumées qui sont souvent là ou la poule ne peut pas se gratter, 3 fois par semaine… puis 30/70 ensuite…
Poudre insectifuge ( à acheter),
Nettoyage du poulailler, et du bac d’épouillage,
Limiter le contact avec les oiseaux du ciel…
24/01/2018 : En allant nourrir les galinettes ce matin, j’ai attrapé ma “coucou de Rennes”. Comme il était très tôt et que la lumière du jour commençait juste à poindre, j’ai pu observé des acariens translucides sur ma poule que j’ai chopé encore sur le perchoir dans le noir, dans le poulailler… (plus de détails sur cet acarien hématophage, qui passe de translucides, puis orangés, rouges, marrons à noirs, en fonction de la digestion du sang qu’ils ont absorbé ! (En savoir plus sur la page du site ou j’ai pompé cette info, avec photos macro, pas rigolo…).
Comme, j’avais lu que la galle déplumante était du à des acariens microscopique, ce n’est peut-être pas la galle déplumante (pas d’amas de ponte non plus). Par contre, les acariens visibles produisent visiblement le même effet “déplumant”…
Le 26/01/2018 : J’ai enfin du temps pour régler ce souci d’acarien. Je décide de :
Nettoyer le poulailler à fond (brûler la paille et même celle récupérée dans les boxs de l’association “Les copains d’abord” car je suspecte que ces acariens proviennent soit des oiseaux du ciel, soit du nichage et de l’éclosion de larves dans les tubes des brins de paille rapportés depuis moins d’un mois….)
Inspecter les boiseries du poulailler, démonter les interstices et le placardage de polystyrène des portes du poulailler afin de voir s’il n’y a pas d’amas de ponte d’acariens, ni de déjections…
Utiliser mes appareils BERTHOUD, bruleur électrique et bruleur thermique à gaz pour assurer l’extermination des éventuels résidus de ponte d’acariens…
Passer au pinceau, les perchoirs avec de l’huile de cade vraie,
Traiter les poules à l’huile de cade (2 traitements par semaine : 1 pour 1, cade + huile végétale la semaine 1 et 30/70 la deuxième semaine) : pour éradiquer les bébéttes adultes, sur les poules.
Répandre de la terre de Diatomée dans le poulailler (20g soit 1/5 du produit “Rampa’Clac’Diatomée”, achetée hier à botanic® (10€ le pot de 100g) : la terre de diatomée sert ici pour tuer les larves et les œufs qui pourraient éclorent dans le temps… J’en épandrais également dans le bac d’épouillage…
Merde, il pleut, aujourd’hui (cf inondations dans la France entière!!!) : je suis contraints à attendre et à risquer une prolifération des acariens… J’en profite pour apprendre sur le Net et revoir ma technique pour “Tuer une poule” et “Vider une poule” car il faut se rendre à l’évidence… La poule “Coucou de Rennes”, (première victime de l’attaque des acariens “déplumants”), ne pond plus qu’une œufs par semaine… Elle a fait son temps ! Je voulais attendre que Charline emmène ses poules à l’abattoir… mais je ne veux pas risquer de lui emmener une poule contaminée…. Je vais le faire moi-même, à contre cœur car c’est une expérience difficile.
Le 28/01/2018 : Nettoyage complet du poulailler le matin avant d’aller manger le gâteau pour l’anniversaire de Nicolas à Pierrelatte l’après midi. PAS de trace de ponte d’acariens, pas de trace d’adulte non plus… Les autres (3) poules ne semble pas se gratter… J’ai quand même passer à l’huile de cade et olive (50/50), les barreaux et les boisures du poulailler. Changement de la litière et nettoyage minutieux au dessus du poulailler, là ou l’on stocke la paille… il y avait des centaines et des centaines de crottes de rats… Le poulailler est lavé, séché, décontaminé avec de la terre de Diatomée (avant de remettre les plaques “botanic® elles mêmes lavées méticuleusement. En bas du poulailler, on a gratté entre les cailloux pour extraire la poussière de fientes et la paille résiduelle. 3 heures de travail pour un poulailler qui brille “comme un sou neuf”. Les gamelles et abreuvoirs… idem.
Hier, Marie a ramené de la paille un peu mouillée… la botte repose sur une palette dans la serre… le temps de sécher et que les rats aient l’idée d’aller dormir ailleurs que d’investir le haut du poulailler… La dernière fois que le haut du poulailler était vide, un rat avait était tuer dans le poulailler, certainement attaqué par une poule… (c’est arrivé deux fois d’ailleurs !!!)
Lier et conduire ses arbres fruitiers à leur palissade ou leur tuteurs et souvent source d’interrogation pour le jardinier amateur.
Cet article propose une idée RRR (Réduire, Réutiliser, Recycler) : la fabrication rapide de lien (0€) et permettant le ré-emploi d’un vieux bout de tuyau d’arrosage percé voué à la déchèterie… et un fil métallique en bobine (vendu en jardinerie, magasin de bricolage ou coopérative agricole)
Solution commercial pour petits jardins : taper “lien tuteurage attache arbre” et rechercher des images dans une recherche Google pour voir les nombreux produits mis sur le marché…
Attache tuteur lien flexible en plastique : les trous de maintien deviennent lâche dans le temps lorsque l’arbre grossi.. il est souvent alors impossible de réemployer le lien déformé… surtout si on achète ce genre de lien à petit prix…. Il faut y mettre le prix sinon ça ne vaut pas grand chose (on ne peut pas le ré-utiliser).
Rizlans : fixation rapide mais à tendance à blesser le tronc ou les charpentières dans le temps. Les frottements sont également préjudiciables.
Ficelle nylon : il faut ajuster d’une année à l’autre l’attache qui fait un tour mort sur l’arbre car sinon la ficelle commence a entrer dans l’écorce…
Fil métallique enrobé de plastique : Blesse l’arbre rapidement ! Si on essai de ré-employer le fil déjà mise en place… l’enrobage plastique se délite et le re-emploi n’est alors pas judicieux…
La plus solide des solution de lien, qui perdure dans le temps, qui est repositionnable et qui est GRATUITE, c’est ma solution MAISON : Une solution R.R.R en ré-employant un bout de tuyau percé voué à la poubelle !
Maintenant qu’on a des liens pour un TUTEURAGE à moindre coût, autant en apprendre au maximum sur le TUTEURAGE en lui-même :