Cool, un câprier ! Bon, il m’en faudra plusieurs si je veux faire mes propres câpres Bio ! Le mien, c’est un câprier “Capparis Spin, Bush 14”, “Capperi Cespuglio” en pot de 14cm, acheté à Botanic Avignon.
Les avantages du câprier :
- c’est la classe d’en avoir un pour étonner ses amis et voisins !
- il est très résistant à la sécheresse, en sol calcaire, et rocailleux !
- il tolère les vents violents (j’ai que ça chez moi !)
- … et comme pour moi, tous passe par le ventre : son usage culinaire et condimentaire, hors des sentiers battus (c’est pas commun d’en avoir un !), me plait beaucoup.
Je l’essaie aujourd’hui pour que à terme je puisse produire mes câpres. J’ai l’idée d’en préparer en mélange en saumure avec des cornichons… pour l’instant.
Un super lien pour en savoir plus sur le câprier :
Les fleurs sont superbes mais éphémères : elles ne durent pas deux jours !
C’est avec les boutons floraux (c’est à dire avec les fleurs qui n’ont pas encore éclos ) que l’on fait les câpres au vinaigre (en pickles) tels que ceux du commerce.
Étude de la feuille : La feuille est simple (pas de foliole) est attachée à la branche par le pétiole de façon alterne. Sa forme est orbiculaire (ronde). Le limbe possède uniquement des nervures primaires. Le bord du limbe est entier sans échancrure (voir une petite à l’apex) ni crénelure. Les stipules (à la base du pétiole) se transforme en épines minuscules (un stipule épine comme sur le robinier). Le bourgeon axillaire donne soit une nouvelle branche, soit un fruit (le bourgeon (câpre comestible), puis la fleur et ensuite le fruit).
Répartition alterne de la feuille sur la branche.
Je n’en aurais pas en quantité suffisante, je les préparerait en saumure saumure… en mélange avec mes cornichons du jardin ! D’ailleurs c’est en saumure que les anciens les préparés….
Emplacement de notre premier câprier : En bac surélevé devant le petite terrasse.