Les poules, c’est du travail mais aussi pas mal de satisfaction. Elles rentabilisent le potager et je les considère, comme certains insectes, comme des auxiliaires du jardinier amateur.
Les poules : c’est COOL ! Les galinettes : C’est chouette ! Les voir en liberté dans le jardin, les observer chasser insectes, les vers de terre et autres bugs… J’adore !
Par contre, les poules prennent vite leur aise et grattouillent les endroits que l’on s’efforce de leur interdire. Après s’être rendu compte que l’on ne peut les éduquer, on use de subterfuges afin d’éviter quelques désagréments…
Une idée d’un ersatz de maillage à base de ronds de fer, habilement surélevé ? Essai non concluant… c’est oublié que les poules sont contorsionnistes !!! (Nota Bene : ce maillage est par contre efficace contre le “dépose-minute” de crotte de chats).
Pour elle, ce beau bac, en attente de quelques plantations, est un endroit vierge de tout est un gage d’un épouillage de qualité : c’est trop tentant… et hop, elle passe entre la maille, se glisse dans le bac et se vautre dans la terre grumeleuse à souhait !!!
Sans cône d’abattage, la poule se débattra et vous aurez du sang sur 2m à la ronde, vous aurait également du mal à inciser proprement l’animal et le sentiment d’être un bourreau inexpérimenté…
Avec le cône de sacrifice :
l’incision et plus facilement réalisée (en prenant soin de pincer le bec de la poule et en tirant un peu sur son cou),
Toujours en maintenant le bec, le sang peut-être recueilli, proprement, dans un récipient contenant quelques goutte de vinaigre. On pourra préparer une recette oubliée depuis que les poules sont enmenées systématiquement à l’abbatoir : “la sanguette”.
l’animal rend son dernier souffle très rapidement.
Ils existe d’autres modèles sur le net pour des prix similaires.
On peut le fabriquer soi-même, en bois (mais pour des raisons d’hygiène), je ne suis pas fana. De plus celui-ci fixé sur le mur imposera le nettoyage du mur !!!
Il est vrai que le cône ressemble beaucoup à ceux de la DDE : les cône se signalisation des travaux sur la voirie.
Mon idée de saignoir, est une idée D.I.Y et également R.R.R, fait MAISON et avec le re-emploi du bidon de 10 litre en polypropylène à usage alimentaire (une fois vidés de leur contenu alimentaire, ma femme me les ramène de son boulot, où elle y vend des alcools : sinon, ils sont jetés…
Quelques découpes, à la disqueuse… un bon nettoyage.. le ré-emploi d’un manche à balai… (astuce pour suspendre le tout) et en plaçant ou non, un chiffon autour de l’animal, on arrive aisément à l’introduire dans le bidon.
Ce système a ses avantages :
on peut suspendre le cône grâce au manche à balai et procéder au sacrifice, un peu où on veut…
On peut ainsi recueillir le sang, en ajustant la hauteur…
Prix de revient : 0€,
Temps de mise en œuvre rapide (10 minutes),
l’dée “d’empreinter” un cône de signalisation à la DDE s’estompe radicalement !!!
Par l’orifice du bas, on attrape le bec afin d’orienter la tête hors du trou… on peut alors procéder au sacrifice… bien plus proprement, dans le respect de l’animal.
Le but : Que ce soit pour abréger les souffrances de l’animal (maladie, attaque de prédateur), pour recycler son cheptel (vieille poule en fin de ponte), pour extraire de son cheptel les coqs en surnombre ou pour se nourrir… vous risquez fortement d’être confronté au besoin de ce savoir ancestral et qui s’est perdu avec l’industrialisation !
Il est possible, si le courage vous manque, de transporter son animal, jusqu’à l’abattoir mais cela est :
inducteur de stress (transport, stress sur la ligne d’abattage…) pour l’animal,
Coûteux (Transports (*2), abattoir : autour de 5€ pour tuer, et évidée la galinette).
Le faire soi-même est un acte militant, courageux (car on a chérit son animal pendant des mois, un certain attachement c’était construit…), mais aussi respectueux vis à vis de l’animal. C’est également RESPECTER comme tirer profit de cette vie animale uniquement dédiée à votre bien-être personnel comme celui de votre famille.
Ce sacrifice possède néanmoins les valeurs fortes suivantes :
Réduire la souffrance animale, car vous ne consommez pas une bête qui provient de l’extérieur et dont vous ne savez rien (des conditions d’élevage comme celles d’abattage !!!)
Respecter la fin de vie de votre animal, (euthanasie : s’il est malade et condamné, ou souffrant (fin de vie, piquage des congénères qui résultera sur la mort de l’animal)
Consommer une viande dont vous maitriser la qualité (sans traitements et éventuellement Bio),
pouvoir REMERCIER votre animal de ce qu’il vous a procuré, tout au long de sa vie… avec comme point final et bouquet final, l’excellence de sa viande !
peut-être également être fier de produire sa propre nourriture dans un acte militant ou de survivalisme… (en réduisant son addiction consumériste en étant persuadé des conséquences sociales, environnementales, psychologiques ou économiquement négatives… )
BREF, COMMENT PROCÉDER :
Isoler l’animal afin de le mettre à la diète au moins 12 heures à l’avance (le but étant de réduire les résidus dans l’appareil digestif,
Saigner l’animal, le soir ou tôt le matin sera moins stressant pour lui, (pourquoi saigner et non pas trancher d’un coup un seul : le but et de ne pas avoir de sang dans les muscles après la mort de l’animal et éviter la coagulation intramusculaire),
Utiliser un couteau hyper-tranchant, un cône d’abattage (image 1, image 2) pour volaille ( fait MAISON avec le ré-emploi d’une bouteille en plastique de 3l ou 5l ou fabriqué en bois). Égorger la poule en tranchant sous le cou à une vertèbre… soit par 2 incision à 60° de part et d’autre de la trachée… soit par une seule incision de 120° (méthode “Al Zakat” du rite Islamique). Image pour aider.
Plumer l’animal : Il vous faut au mieux 3 contenants : un stérilisateur + une bassine d’eau froide + une poubelle noire de 80 litres pour le plumage. Process : Plonger 3 fois 10 secondes dans 20l d’eau très chaude produite dans le stérilisateur (55 à 58°c) mais surtout pas bouillant : lez but et de ne pas cuire la poule avant vidage). Plumer la poule dans la poubelle noire (les plumes enrichiront votre compost en azote). Procéder rapidement en été et refroidissez la poule en la plongeant dans la bassine d’eau froide,
Procéder au vidage :
Un poulet peut se cuire au four, une poule pondeuse NON !
Mieux vaut la cuire au pot… pas plus de 1h30 à 2 heures (mijoté et pas à fort bouillon, pour ne pas avoir une viande trop dure)… en suivant les conseils que j’approuve dans l’article, bien fait (et j’en ai lu quelqu’un pour comparer…) : http://chefsimon.lemonde.fr/gourmets/chef-simon/recettes/poule-au-pot–5
NB : On réservera en filtrant la marmite :
3 à 3,5 litres de “fond blanc” qui est au résultat le bouillon obtenu à la fin de la cuisson,
Découper la poule et réserver le tout : les pièces nobles (les 2 ailes, les 2 cuisses, les blancs) et dépiauter la carcasse au mieux,
Avec la carcasse dépiautée, les os (que l’on récupère lorsque l’on consomme la poule au pot, et l’ensemble des cartilages que l’on récupère, on peut aussi faire un BOUILLON ! Le process ci-dessous :
Après avoir cassée et broyée grossièrement la carcasse, on fera revenir les os dans un fond d’huile (d’olive ou de coco ou de graisse de la poule si on a eu l’idée de récupérer celle-ci surnageante après une nuit au réfrigérateur de la marmite ayant servi à cuire la poule entière), …après une légère réaction de Mayard, on verse le fond blanc dégraissé que l’on avait réservé à cet effet… et on laisse mijoter tant que l’on veut… le but étant de faire fondre les cartilages encore présents sur les os… Après refroidissement et filtration, on a un bouillon de fou : Très gustatif (pour y faire gonfler des pâtes vermicelles) et bon pour le corps (dégraissé et à teneur basique grâce à la fonte des cartilages) : Voilà de quoi vous réchauffer l’âme en procurant “un effet tampon” qui va neutraliser le surplus d’acide, souvent en excès dans nos organismes d’hommes modernes stressés !
NOTA BENE : Franchement si vous faites tout cela, vous aurez une semaine de nourriture pour 2 personnes (Sanguette + poule au pot + bouillon)… soit 14 repas !
Avec l’expérience, je préfère ainsi congeler la moitié de la poule au pot + 2 litres de fond blanc. Je consomme alors la deuxième moitié de la poule au pot
15/01/2018 : La chef, la “Coucou de Renne”, la plus ancienne de nos poules ne sort plus lorsque l’on ouvre la porte du poulailler pour laisser les poules gambader dans le jardin…
20/01/2018 : Une trentaine de plume par jours sont retrouvées dans le poulailler…
22/01/20108 : Prise de vue du déplumage, 10cm plus bas que l’anus. Les pattes sont rougeâtres mais ça ne ressemble pas à la galle des pattes (qu’on a déjà expérimentée en septembre 2015). Avant pourtant dominante, elle se met en retrait des 3 autres. L’endroit déplumée montre les plûmes encore entichées dans la peau (il reste uniquement que la hampe (calamus) rongée au niveau de l’ombilic supérieur.
C’est peut-être le résultat d’un piquage car cette poule semble avoir perdu son rang de “chef”. C’est la plus vielle des poules… et elle a fait son temps (cf article Taux de ponte)
J’ai remarqué au niveau du perchoir, les poules ne se positionnent plus de la même façon, il doit y avoir compétition pour l’accès à la meilleure place…
C’est peut-être une galle déplumante, mais on observe pas d’amas de ponte (comme ici), ni de rougeur trop prononcée au niveau de la zone déplumée… ou c’est peut-être le début de l’infestation…
(Petite parenthèse, rien à voir avec cet article) : un peu de vocabulaire pour décrire les différentes parties d’une plume :
huile de cade + huile d’olive (50/50, qsp 10ml à tamponner sur les zones déplumées qui sont souvent là ou la poule ne peut pas se gratter, 3 fois par semaine… puis 30/70 ensuite…
Poudre insectifuge ( à acheter),
Nettoyage du poulailler, et du bac d’épouillage,
Limiter le contact avec les oiseaux du ciel…
24/01/2018 : En allant nourrir les galinettes ce matin, j’ai attrapé ma “coucou de Rennes”. Comme il était très tôt et que la lumière du jour commençait juste à poindre, j’ai pu observé des acariens translucides sur ma poule que j’ai chopé encore sur le perchoir dans le noir, dans le poulailler… (plus de détails sur cet acarien hématophage, qui passe de translucides, puis orangés, rouges, marrons à noirs, en fonction de la digestion du sang qu’ils ont absorbé ! (En savoir plus sur la page du site ou j’ai pompé cette info, avec photos macro, pas rigolo…).
Comme, j’avais lu que la galle déplumante était du à des acariens microscopique, ce n’est peut-être pas la galle déplumante (pas d’amas de ponte non plus). Par contre, les acariens visibles produisent visiblement le même effet “déplumant”…
Le 26/01/2018 : J’ai enfin du temps pour régler ce souci d’acarien. Je décide de :
Nettoyer le poulailler à fond (brûler la paille et même celle récupérée dans les boxs de l’association “Les copains d’abord” car je suspecte que ces acariens proviennent soit des oiseaux du ciel, soit du nichage et de l’éclosion de larves dans les tubes des brins de paille rapportés depuis moins d’un mois….)
Inspecter les boiseries du poulailler, démonter les interstices et le placardage de polystyrène des portes du poulailler afin de voir s’il n’y a pas d’amas de ponte d’acariens, ni de déjections…
Utiliser mes appareils BERTHOUD, bruleur électrique et bruleur thermique à gaz pour assurer l’extermination des éventuels résidus de ponte d’acariens…
Passer au pinceau, les perchoirs avec de l’huile de cade vraie,
Traiter les poules à l’huile de cade (2 traitements par semaine : 1 pour 1, cade + huile végétale la semaine 1 et 30/70 la deuxième semaine) : pour éradiquer les bébéttes adultes, sur les poules.
Répandre de la terre de Diatomée dans le poulailler (20g soit 1/5 du produit “Rampa’Clac’Diatomée”, achetée hier à botanic® (10€ le pot de 100g) : la terre de diatomée sert ici pour tuer les larves et les œufs qui pourraient éclorent dans le temps… J’en épandrais également dans le bac d’épouillage…
Merde, il pleut, aujourd’hui (cf inondations dans la France entière!!!) : je suis contraints à attendre et à risquer une prolifération des acariens… J’en profite pour apprendre sur le Net et revoir ma technique pour “Tuer une poule” et “Vider une poule” car il faut se rendre à l’évidence… La poule “Coucou de Rennes”, (première victime de l’attaque des acariens “déplumants”), ne pond plus qu’une œufs par semaine… Elle a fait son temps ! Je voulais attendre que Charline emmène ses poules à l’abattoir… mais je ne veux pas risquer de lui emmener une poule contaminée…. Je vais le faire moi-même, à contre cœur car c’est une expérience difficile.
Le 28/01/2018 : Nettoyage complet du poulailler le matin avant d’aller manger le gâteau pour l’anniversaire de Nicolas à Pierrelatte l’après midi. PAS de trace de ponte d’acariens, pas de trace d’adulte non plus… Les autres (3) poules ne semble pas se gratter… J’ai quand même passer à l’huile de cade et olive (50/50), les barreaux et les boisures du poulailler. Changement de la litière et nettoyage minutieux au dessus du poulailler, là ou l’on stocke la paille… il y avait des centaines et des centaines de crottes de rats… Le poulailler est lavé, séché, décontaminé avec de la terre de Diatomée (avant de remettre les plaques “botanic® elles mêmes lavées méticuleusement. En bas du poulailler, on a gratté entre les cailloux pour extraire la poussière de fientes et la paille résiduelle. 3 heures de travail pour un poulailler qui brille “comme un sou neuf”. Les gamelles et abreuvoirs… idem.
Hier, Marie a ramené de la paille un peu mouillée… la botte repose sur une palette dans la serre… le temps de sécher et que les rats aient l’idée d’aller dormir ailleurs que d’investir le haut du poulailler… La dernière fois que le haut du poulailler était vide, un rat avait était tuer dans le poulailler, certainement attaqué par une poule… (c’est arrivé deux fois d’ailleurs !!!)
J’ai trouvé une idée pour facilité une des tâches hivernales qu’est l’amendement au naturel de certaines zones de culture : Utiliser les poules pour épandre son compost !
Oui, les poules en plus de vous donner de bons œufs peuvent vous aider au jardin. Malgré qu’elles aient plus l’aptitude à saccager mes semis et plantations si je ne les surveillent pas lors de mes rituels “lâcher de poules”, mes gallinettes se prêtent parfois aux travaux routiniers au jardin biologique : retourner la terre, manger la vermine, amender le terrain de leurs crottes… et aujourd’hui répartir uniformément du compost sur des zones de cultures !
Le but :
pour les poules : Trouver des vers et les supers larves d’oryctes,
pour moi : L’exploitation animale, j’exploite à fond mes poules ! Heu… ça fait un peu “Mac” ça…
Liens vers des articles connexes :
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Nous avons actuellement, au 22/11/2017, 4 poules pondeuses dans le poulailler partagé du Lou Cascarelet : Les 2 jeunes poulettes donnent de petits œufs depuis 2 à 3 semaines. Les plus vieilles donnent de plus gros œufs mais pondent moins souvent.
La question d’aujourd’hui : Est-il rentable de garder la plus ancienne poule (la coucou de Rennes), vu qu’elle pond moins et que de plus, l’hiver influant négativement sur le taux de ponte… elle va pondre encore moins…
J’ai trouvé les graphiques suivant sur le net :
Avant de conclure , il me faut connaître l’âge de mes poules (en semaines).
Coucou de Renne : achat poussin, mi avril 2015, soit 138 semaines.
La Grise : Début avril 2016, soit 82 semaines.
Rousse botanic : mi-mai 2017, soit 78 semaines
Rousse Galinard : ? estimée à 78 semaines également.
J’estime à 26 semaine, le premier œufs pondu, et à 140 semaines un taux de ponte inférieur à 50% (voir un œuf chaque 4 jours)…
120g d’aliment par poule/jour donne un oeufs de 60g.
4 poules, en pleine ponte mange environ 500g d’aliment. Soit 40c/jour pour avoir au mieux 4 oeufs.
Conclusion de mon expérience cette année : j’aurais du acheté des poules prêtes à pondre à Charline Gallinard plutôt que d’élever des poussins achetés à botanic® (un premier achat : les poussins achetés malades sont morts, puis le second achat, j’ai eu 67% de coqs !!!). (Article dédié à cette déception)
Cet article c’est juste prétexte à comptabiliser mon expérience avec les galinettes ! 7 ans ! 22 poules ! (dont 2 coqs !!!)
Au 18/09/2017 :
Expérience malheureuse à BOTANIC en 4 achats : 3 mécontentements !
10 poussins en 2011 achetés avec le poux rouge. Malgré l’achat d’une poudre et des semaines de traitement fastidieux, 3 sont mortes de septicémie avant que je déménage de Lirac pour Rochefort du Gard…
En 2017 : Sur 2 poussins achetés, 100% de mortalité (laryngotrachéite et mort en 10 jours).
En 2017 : Sur 3 poussins roux femelles : 2 mâles ! La jardinerie a bien voulu m’échanger mes 2 coqs contre des poules rousses
Ci-dessous, un récapitulatif du nombre de poules dont je me suis occupé jusqu’à présent : Pour mémoire.
N.B : 10 poules Rousses (cf Lirac & achetées infestées de poux rouges, une est morte en 2 jours, 2 autres en 2 semaines) + 3 Loucascarelet (dont cou-nu, Galles des pattes) + 2 (20/04/2015, 1 Rousse (bouffée par un chien), et 1 Coucou de Rennes) + 2 (Marens 05/04/2016) + 2 Rousses (mort en 10 jours car achetées le 08/04/2017 déjà porteuse d’une maladie virale laryngotrachéite (proche de la bronchite infectieuse) + 3 poussins dont 2 sont devenus coq, le 13 juin 2017. C’est donc 20 poules et 2 coqs au total !
Vendues lors du déménagement de Lirac (7), mortes malades (5), chien (1), tuées par mes soins (3 galles des pattes +1 achevée après chien + 1 avant suffocation par laryngotrachéite) ; vivantes à ce jour : 6 (1 Coucou de Rennes (04/2015) + 2 Marans (04/2016) + 3 poussins (06/2017)).
Une liste afin de répertorier les endroits où on peut acheter des œufs, poules pondeuses, poules ornementales, grains, paille, poulailler et accessoires pour le poulailler autour de Rochefort du Gard et ses environs.
Le but : faire marcher le commerce local et l’hyper local !
POULES ORNEMENTALES :
conseil à prendre auprès de Charline Gallinard , (un particulier) et sa magnifique basse-cour, à Rochefort du Gard,
Les poulettes de la calvette (bientôt d’ici quelques mois),
sinon à Alès…. (La ferme FAUQUE)
POULES PONDEUSES :
La ferme FAUQUE à Alès (12€ pièce prête à pondre)
NB : une vente de volailles est programmée pour le MARDI 26 SEPTEMBRE 2017 aux Jardins de l’ILE à Roquemaure, (de 9h00 a 12h00). Plus d’infos contacter : 04 66 90 20 27 !
BOTANIC : 20€ environ et plus ! Prêtes à pondre et/ou déjà pondeuse !!!
OEUFS : (Éviter : 1€/10 oeufs : poules en batterie à LECLERC ! à bannir !). Préférer :
2€/6 : Charline Gallinard (pour ses amis et voisins) à Rochefort du Gard, (poules élevées dans un paradis de verdure !)
POULAILLER :
L’association La JARRE Écocitoyenne vous aidera dans la construction de votre poulailler (schéma de montage, planche de récupération, conseil concernant l’élevage, DIY, RRR, ETC… !)
Do it yourself ! Construisez votre poulailler vous même grâce aux tutos sur le net.
Vente de poulailler : BOTANIC…
PAILLE pour le poulailler :
BOTANIC : 9KG, 24€90 !
Botte de 15/20Kg : 2€HT ; Simon FAGE Isle sur Sorgue (06.34.40.80.46). Vente aux professionnelles (cf site Agriaffaire.com). Les bottes de paille de cet agriculteur se vendent également chez XX à Hameau de Velorgues (Isle sur la sorgues / route de cavaillon pour 3€/la botte, livrée. (foin 35€/botte de 250Kg : représente 15 bottes à 3€ environ…) Tél : 06.47.19.85.81
CONSEILS concernant l’UNIVERS DES POULES : BOTANIC Saint Anthelme (Villeneuve lez Avignon) 04.90.15.94.00
La vengeance des poules d’être enfermées dans le poulailler : c’est de tout gratter dès qu’elles ont l’occas de sortir !
Tout y passe dès que j’ai le dos tourné : semis, plantation dans le potager…. fruits tombés au sol et ceux encore dans l’arbre, dans le verger… les feuilles compostées sous les arbustes se retrouvent dans les allées… QUE DES BÊTISES !
Mais Lise et moi, on se régale de les voir faire !!!
Aujourd’hui, pour les poules en libertés dans le jardin, c’est aussi le temps des vendanges au 31 août 2017.
Les poules sont des chasseuses-cueilleuses ! Elles chassent les insectes sont les feuilles des arbustes et cueillent les fruits à porter de becs : figues, raisins, prunes tout y passe !
Evolution chronologique d'un jardin d'un particulier et de jardins partagés associatifs (Asso LA JARRE ÉCOCITOYENNE) à Rochefort du Gard.