TEST – Piège à phéromone – ALGOFLASH NATURASOL
Mes jeunes fruitiers vont réellement entrer en production cet année. Pour ne pas compromettre la véritable première récolte, j’utilise des pièges à phéromones. C’est d’une part pour mieux connaitre, et étudier les insectes et d’autre part pour limiter les accouplements des insectes et donc éviter que trop de larves ne soient déposés sur les feuilles et les fruits. Cela va dans le sens de la non utilisation des pesticides pour un jardinage au naturel !
- Ver des prunes, mirabelles et quetsches : Carpocapse (Cydia funebrana),
- Ver des pommes et des poires : Carpocapse (Cydia pomonella),
- Ver des mouches de la cerise (Rhagoletis cerasi)
Il est bien indiqué sur le paquet “Afin que les mâles soient piégés, le piège ne doit pas être installé directement dans l’arbre à protéger mais à proximité ou dans un arbre voisin”
Durée de l’exhalation des phéromones : jusqu’à 6 semaines.
Positionner le piège à hauteur d’homme pour visuellement controler facilement le piègage.
Je conserve les pièges non utilisés, emballés dans du cellophane au réfrigérateur. Ainsi, ils conservent, au mieux, leur plein pouvoir… d’attraction sexuelle !!!
Nota bene : En fin de saison (juillet/août), les larves se réfugient dans les cavités du tronc pour hiverner. J’utilise alors un pinceau, à l’automne, et badigeonne les charpentières de chaux style “Blanc arboricole” (voir l’article à ce sujet).